La société du jour: Renov'azur

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Renov'azur

La société Renov'azur a été créée le 28/9/2021, soit 2 années d'activités. Le siège de la société est basé à FREJUS 83600. Elle possède un seul établissement. Son dernier bilan date du 2/10/2022. Renov'azur a choisi le statut juridique SAS, société par actions simplifiée. Elle opère sous le code NAF 43.99C et évolue dans le secteur .

SAS, société par actions simplifiée, c'est quoi ?

Sigle

Le sigle ou acronyme SAS peut signifier :

Culture et société

Un sas (du latin médiéval s(a)etatium, « tamis », utilisé dans le sens de « destiné à trier le passage ») est un dispositif qui permet de passer d'un lieu à un autre, d'un environnement à un autre.

Patronyme

Sas est un nom de famille notamment porté par : Éva Sas, une personnalité politique française ; Jean Sas, un humoriste et animateur de radio et de télévision français.

Toponyme

Sas, Šas ou Saš est un nom de lieu notamment porté par : Šas, un village de la municipalité d'Ulcinj, dans le sud-est du Monténégro ; Saš, un village de la municipalité de Tutin, en Serbie ; Sas de Gand, une petite ville de Zélande, aux Pays-Bas.

43.99C -

Le code APE - NAF 4399C est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 123 941 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 184 305 salariés, essentiellement des maçons, des charpentiers et des couvreurs.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 4399C : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 4399C est : "Travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment, les salariés de cette branche sont essentiellement des maçons, des charpentiers et des couvreurs.

La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Pour être en conformité avec la loi, vous avez besoin de votre convention collective à jour en permanence des derniers accords, même non étendus. Voir les offres pour les conventions collectives du code NAF 4399C.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 4399C. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 4399C est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) ont été remplacés par le guichet unique qui centralise désormais l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité. Le nouveau registre d'immatriculation des entreprises est le RNE (Répertoire National des Entreprises). Le guichet unique est accessible via le site de l'INPI.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Registre National des entreprises.

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour l'organisme de formation relevant de l'activité Travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Renov'azur

L'établissement principal est domicilié au 384 av andre leotard, Frejus 83600. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Frejus 83600, il y a 860 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Frejus ?

Fréjus (prononcé [fʁeʒys] ) est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Située sur la rive de la mer Méditerranée, à l’embouchure de l’Argens et du Reyran, c’est le chef-lieu du canton de Fréjus, le siège associé du diocèse, une station balnéaire et touristique de la Côte d’Azur, une ville d'art et d'histoire et la cofondatrice de l’« Association des villes et métiers d’art ». À l’origine nommée Forum Julii, la place publique de Jules (sous-entendu César), ville romaine fondée en 49 av. J.-C. pour s’opposer à la toute-puissance de Massilia, puis colonie voulue par Auguste en 27 av. J.-C. sous le nom de Colonia Octavanorum pour accueillir les vétérans de la Legio VIII Augusta. Équipée sous Tibère, elle déclina jusqu’au IVe siècle, date de la constitution de l’évêché. Cité d’accueil du triomphe de Charles Quint en 1536, pôle agricole varois depuis le Moyen Âge, ville de garnison depuis le XVIe siècle, base aéronavale de départ de Roland Garros en 1913, frappée en 1959 par le cataclysme du barrage de Malpasset, Fréjus est avec la commune de Saint-Raphaël, le pôle économique, culturel et touristique de l’est du Var et le site de la plus grande concentration française de vestiges antiques après Arles. Ses habitants sont appelés les Fréjusiens ou Forojuliens en français, les Frejulencs en provençal selon la norme classique et les Frejulen selon la norme mistralienne. Au 1er janvier 2020, Fréjus est la 4e ville du Var avec une population de 55 750 habitants, au cœur de la communauté d'agglomération Var Estérel Méditerranée, 2e du département avec 116 830 habitants.

Géographie

Fréjus est située à l’extrémité est du département du Var, dans la plaine alluviale commune à l’Argens et au Reyran, entre le massif des Maures à l’ouest et celui de l’Esterel. Elle cerne d’ouest en est le golfe de Fréjus sur la mer Méditerranée. La commune s’inscrit dans un croissant orienté du sud-ouest au nord-est autour du golfe et de Saint-Raphaël, qui entrerait dans un rectangle de dix-sept kilomètres et douze kilomètres de côté. Avec une surface de plus de cent kilomètres carrés, c’est la plus grande ville de l’est-varois. Le territoire est inégalement occupé, le site historique de Fréjus est au centre, fortement urbanisé, la plaine de l’Argens, marécageuse et occupée par des cultures la sépare de la station balnéaire de Saint-Aygulf au sud-ouest, le massif de l'Esterel la sépare des villages de Saint-Jean-de-l’Esterel et Saint-Jean-de-Cannes au nord-est. De plus, sur les 10 520 ha que comporte le territoire, 5 771 sont des espaces naturels non agricoles, soit plus de 54 %, en grande partie la forêt de l'Esterel. Comparativement, les espaces construits ne représentent que 36 % du territoire avec trois-mille-sept-cent-quatre-vingt-trois hectares. L’Institut national de l'information géographique et forestière donne les coordonnées géographiques 43°26'02" N et 06°44'10" E au point central de son territoire. Elle est en totalité incluse dans l’espace urbain Nice-Côte-d'Azur, dans le Territoire Var Esterel du conseil général du Var. Elle se trouve au centre de son aire urbaine qui regroupe Fréjus, Saint-Raphaël et Puget-sur-Argens. Le territoire de Fréjus est traversé au nord par l’autoroute A8 (La Provençale) (le péage du Capitou est situé sur son territoire), au sud par l’ancienne nationale 98 qui parcourt tout le littoral entre La Valette-du-Var et Roquebrune-Cap-Martin, au centre par l’ancienne Nationale 7 qui entre en centre-ville, venant du Puget-sur-Argens en direction des Adrets-de-l’Esterel en empruntant le chemin de l’ancienne voie romaine Via Julia Augusta. La voie ferrée de la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière) emprunte le même chemin mais s’en écarte pour rejoindre Saint-Raphaël sur le littoral. L’axe routier composé des départementales D559 (ancienne nationale 98), DN7 (ancienne nationale 7), D 100 et D 37 forme maintenant une rocade pour l’agglomération de Fréjus - Saint-Raphaël, la D 98 étant la pénétrante qui relie les deux centres-villes. Fréjus est située à six-cent-quatre-vingt-onze kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, cent-onze kilomètres à l’est de Marseille, soixante-quatorze kilomètres au nord-est de Toulon, vingt-cinq kilomètres au sud-est de Draguignan, cinquante-cinq kilomètres à l’est de Brignoles, vingt kilomètres au nord-est de Saint-Tropez, vingt-six kilomètres au sud-ouest de Cannes et soixante-quinze kilomètres au sud-ouest de la frontière italienne. Le fleuve Argens traverse la commune du nord-ouest au sud, où il se jette dans la mer. La plaine au sud de la ville est formée par le lit majeur de l'Argens : il s'agit d'une vaste plaine inondable dans laquelle le fleuve, au fil des siècles, s'est déplacé à diverses reprises. Les étangs de Villepey et celui des Esclamandes sont pour partie les vestiges d'anciens tracés du lit. L'ancienne base aérienne, devenue « base-nature » a été construite sur certains de ces anciens méandres, et le port moderne de Fréjus se trouve au débouché d'un ancien parcours du fleuve. Cette plaine inondable est aujourd’hui occupée par de nombreuses installations, notamment des terrains de camping. À l'amont immédiat de la commune, le débit de l'Argens est mesuré à la station de Roquebrune-sur-Argens. Le plus grand débit instantané connu y a été de 1 150 m3/s lors de la crue du 6 novembre 2011. La commune est parcourue par plusieurs autres cours d'eau : le Reyran du nord au sud ; le Pédégal qui la sépare à l'est de Saint-Raphaël ; le Gonfaron dans le quartier Le Cocq ; le Valescure dans le quartier du même nom, situé le long du cours d'eau ; le Gargalon au nord ; la Vernède, le Compassis, la Grande, et la Petite Garonne,, à l'ouest de la ville.Le Reyran est le plus puissant des cours d'eau de la commune, après l'Argens. Il a longtemps été un affluent de celui-ci, et il en est le principal dans la commune. Depuis l'artificialisation totale de son lit, il partage avec le fleuve un petit estuaire commun. Après la catastrophe de Malpasset, le cours aval du Reyran a en effet subi de lourds travaux d'aménagement : création d'un lit mineur artificiel (gabarit uniforme, fond et berges en béton), construction de deux digues latérales au plus près de lit mineur, protégées par un glacis bétonné côté cours d'eau. Ces aménagements ont eu pour effet de supprimer totalement la mobilité naturelle du cours d'eau, ainsi que le cortège végétal des berges, et d'empêcher les débordements lors des crues. Cette situation a favorisé le développement de l'urbanisation le long de la rivière, dans des zones désormais soumises à un risque de rupture éventuelle des digues. Le débit moyen du Reyran est mesuré par une station hydrométrique gérée par l’État. Cette station a été créée en 1970 et est couplée à un pluviomètre. Le module du cours d'eau est de 0,595 m3/s. Son débit moyen minimal annuel sur trois jours (VCN3) est de 0,003 m3/s. Son plus fort débit instantané pour la crue biennale est de 52 m3/s et de 140 m3/s pour la crue cinquantennale. Le plus fort débit instantané de crue est de 237 m3/s pour la crue du 3 octobre 2015. Des rigoles ont été aménagées entre l'Argens et le Reyran pour irriguer les cultures. De nombreux torrents éphémères dévalent les pentes de l’Esterel pour alimenter le Reyran. Ruisseaux : Un ruisseau parcourt approximativement le tracé de l'ancien canal du port antique et se jette dans la mer à Fréjus-Plage. Un autre encadre la base nature et se jette dans le Reyran. Ruisseau de Suveret, Ruisseau de Valbonnette, Ruisseau du Gabre de Gourin, Ruisseau du Perthus.Plusieurs plans d’eau sont répartis sur le territoire : les étangs de Villepey à l'ouest de l'Argens qui occupent deux cent cinquante hectares protégés, au nord ; l'étang des Esclamandes au sud de l'estuaire actuel de l'Argens, et dont il était l'estuaire au XIXe siècle ; le lac de l'Avellan de sept hectares et demi, réservoir pour la lutte contre les feux de forêt (PENA) ; le lac du barrage de Saint-Esprit dans le quartier de la Tour de Mare ; le lac Aurélien dans le parc de la villa ; le réservoir du Gargalon constitue également une réserve d'eau intercommunale, ; deux petits étangs dans la zone humide qui s'étend entre la base-nature et la plage. À l’inverse des communes voisines de Saint-Raphaël et Roquebrune-sur-Argens, le littoral de Fréjus est plat et constitué d’une plage de sable blond presque continue sur une longueur de six kilomètres entre Saint-Aygulf et Saint-Raphaël. S’ajoutent les plages des Petit et Grand Boucharel et la plage du Pébrier sur la côte découpée des Maures à Saint-Aygulf. Le mont Vinaigre à 618 mètres est le point culminant de la commune, suivi par le sommet du Marsaou à 548 mètres. Le site historique de la ville est construit sur un petit promontoire nommé la butte Saint-Antoine dans la plaine du Reyran. Il existe trois zones de sismicité dans le Var : la zone 0 à risque négligeable (c’est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d’une partie des communes du centre Var. Le risque de tsunami, lié à un séisme en mer, reste modérée selon le Bureau de recherches géologiques et minières (amplitude des vagues pouvant dépasser 1,50 m) ; la zone 1a à risque très faible (concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire, au massif de l'Esterel) ; la zone 1b à risque faible (ce risque le plus élevé du département, qui n’est pas le plus haut de l’évaluation nationale, concerne vingt-et-une communes du Nord du département). La commune de Fréjus, est en zone sismique de très faible risque « 1a ». Au sud et au sud-est, Fréjus est baignée par son golfe dans la mer Méditerranée. Au sud-ouest de la station de Saint-Aygulf se trouve le quartier des Issambres dépendant de Roquebrune-sur-Argens. À l’ouest se trouve le village de Roquebrune-sur-Argens, toujours à l’ouest et au nord-ouest la commune est limitrophe du Puget-sur-Argens, au nord du quartier militaire de Caïs se trouve Bagnols-en-Forêt et la communauté de communes du Pays de Fayence. À l’est de Fréjus ville et plage se trouve Saint-Raphaël, du littoral jusque dans les hauteurs de l’Esterel. Toujours dans l’Esterel, les hameaux de Saint-Jean-de-l’Esterel et Saint-Jean-de-Cannes sont séparés par la route nationale 7 des Adrets-de-l’Esterel au nord-est et de Mandelieu-la-Napoule à l’est. Fréjus est située sur la Côte d’Azur et bénéficie d’un climat méditerranéen aux étés chauds et secs et aux hivers doux et humides. Le mistral souffle parfois, bien que la commune soit abritée par les massifs des Maures et de l’Esterel. Elle peut être plus exposée au levant ou au sirocco qui surviennent heureusement rarement. En moyenne annuelle, la température s’établit à 14,4 °C avec une moyenne maximale de 19,6 °C et une minimale de 9,1 °C. Les températures nominales maximales et minimales relevées sont de 28 °C en juillet-août et 3 °C en décembre et janvier, valeurs douces grâce à la présence de la Méditerranée. L’ensoleillement record s’établit à 2 748 heures par an avec une pointe à 355 heures en août. Autre valeur importante, caractéristique du climat méditerranéen, les précipitations totalisent 823 millimètres sur l’année, très inéquitablement réparties avec moins de quinze millimètres en juillet et plus de cent quinze millimètres en octobre. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1919 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Fréjus comporte plusieurs quartiers : le centre ancien, Gallieni, Valescure, La Magdeleine, la Tour de Mare, le Capitou, Sainte-Brigitte, les grands ensembles de Villeneuve, de l’Agachon, de la Gabelle et la de Provence, Port-Fréjus et Fréjus-Plage. S’ajoutent le quartier militaire Le Cocq avec les lotissements de Caïs, Vernèdes, Colombier et Montourey, et trois villages éloignés. La station balnéaire de Saint-Aygulf se trouve au sud-ouest de Fréjus. Fréjus comprend deux quartiers prioritaires de la politique de la ville : La Gabelle à l'est et L'Agachon à l'ouest, avec 2 500 et 1 000 habitants respectivement environ.

Urbanisme

Fréjus est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine de Fréjus, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes et 99 692 habitants en 2020, dont elle est ville-centre,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fréjus, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,. La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du 3 janvier 1986, dite loi littoral. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit,,. Le Schéma de cohérence territoriale (SCoT) de la Communauté d'agglomération Var Estérel Méditerranée (CAVEM) est devenu l’outil de conception et de mise en œuvre de projets d’aménagement et de développement durable à l’échelle des 5 communes de l’agglomération : Les Adrets-de-l'Estérel, Fréjus, Puget-sur-Argens, Roquebrune-sur-Argens et Saint-Raphaël. L'occupation des sols simplifiée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est la suivante : forêts et milieux semi-naturels (55,5 %), territoires artificialisés (25,8 %), territoires agricoles (17,7 %), surfaces en eau (1,0 %). Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de cette même base.

Toponymie

Le nom de la commune tire ses origines du nom de la colonie romaine Forum Julii, pouvant se traduire par place (publique) de Jules, devenue Forum Julium au IIe siècle, transformé en Foro Julii depuis la Table de Peutinger et apparaissant sous le nom Frejurio en 1024, la commune trouve son nom actuel à partir de 1416. Avant 1801, le nom s’écrivait Frejus sans accent aigu. La commune est parfois donnée pour être la capitale du Fréjurès. Le nom de la commune s’écrit Frejús en occitan provençal selon la norme classique et Freju(s) selon la norme mistralienne (prononcé [fʁɛjy]). Le lieu-dit Malpasset tirerait son nom de l’époque où il était risqué de traverser ce passage à travers l’Esterel en diligence à cause des nombreux brigands présents dans les collines.

Histoire

L’origine de l’occupation de Fréjus remonte peut-être au peuple celto-ligure qui occupait plus loin vers l'est le port naturel d’Ægytna. Des vestiges d’un mur de défense sont encore visibles sur le mont Auriasque et au Bonnet de Capelan. À cette époque, le paysage était différent, la Mer Méditerranée s’avançait deux cents mètres plus avant dans les terres, la butte de Fréjus en était séparée par des marais, qui se prolongeaient jusqu’au confluent du Reyran et de l’Argens.

Politique et administration

Fréjus est le bureau centralisateur du canton de Fréjus. David Rachline (RN) en est le maire depuis le 5 avril 2014. La commune est rattachée à la cinquième circonscription du Var représentée par le député Philippe Michel-Kleisbauer (MoDem). Quarante-cinq élus siègent au conseil municipal. La commune de Fréjus dispose du code postal 83600, le quartier de Saint-Aygulf du 83370. L’Insee lui attribue le code 83 1 13 061. La commune dépend des tribunaux d’instance, de commerce et du conseil de prud’hommes situés sur son territoire, du tribunal de grande instance de Draguignan et de la cour d'appel d'Aix-en-Provence. Elle est la ville marraine du TCD Foudre de la Marine nationale depuis 1991 et de l’escadron de transport 3/60 Esterel de l’Armée de l’air depuis 1968.

Équipements et services publics

La commune est rattachée à l’académie de Nice et dispose sur son territoire de treize écoles maternelles (Aulézy, Caïs, Les Moussaillons à Fréjus-Plage, Françoise Dolto, Aurélien, Jean Monnet à Saint-Jean-de-Cannes, Les Lutins, Paul Roux, René Char, Théodore Aubanel, les Oliviers, Valescure et Villeneuve), douze écoles élémentaires (Aurélien, Turcan, des Eucalyptus, Les Chênes, Caïs, de Fréjus-Plage, Théodore Aubanel, Jean Giono, Honoré de Balzac, Jean Monnet à Saint-Jean-de-Cannes, René Char et Paul Roux), trois collèges (des Chênes, André Léotard et Villeneuve), du lycée général et technologique Albert-Camus et du lycée professionnel Gallieni. S’ajoutent un institut médico-éducatif et un CFA. Six centres de loisirs accueillent les enfants, neuf crèches et un réseau d’assistantes maternelles accueillent les jeunes enfants. La FCPE et deux groupes indépendants de parents d’élèves agissent sur la commune. Vingt associations participent à l’éducation des jeunes de la commune dont les Guides et Scouts d’Europe et les Scouts et Guides de France. En association avec Saint-Raphaël, la commune accueille sur son territoire le Centre hospitalier intercommunal Fréjus-Saint-Raphaël (Centre hospitalier Bonnet) d’une capacité de 515 lits disposant de l’ensemble des services traditionnels et de services spécialisés en psychologie, anti-toxicomanie et cardiologie. Le SMUR est implanté dans l’hôpital et assure le traitement des urgences de l’agglomération. La commune dispose aussi de deux cliniques (Les Lauriers et Héliades Santé), de plusieurs maisons de retraite (Hotelia, La Respelido, L’Acampadou, Jean Lachenaud, etc.) et d’un centre de thalassothérapie à Port-Fréjus. Deux cent trente-six médecins, trente et un chirurgiens-dentistes et vingt et un pharmaciens sont répartis sur le territoire de la commune. De nombreuses associations sont représentées et œuvrent socialement, dont le Lions Club, AIDES, la Croix-Rouge française, Les Restos du Cœur, le Secours catholique ou l’Unicef. Autres établissements de santé proches : Centre hospitalier universitaire de Nice, Centre hospitalier intercommunal Toulon-La Seyne-sur-Mer, Hôpital d'instruction des armées Sainte-Anne à Toulon, Centre hospitalier de la Dracénie à Draguignan. Principale ville de l’est-varois, Fréjus accueille de nombreux services publics d’État. Elle dispose aussi de tribunaux (instance, commerce et prud’hommes), d’un centre des impôts et d’une trésorerie, d’une antenne de la Direction départementale de l'Équipement, d’une maison de l'emploi regroupant Anpe et Assedic, une antenne de la CPAM et de la CAF, un centre technique et administratif EDF et GDF, une agence centrale postale et six agences réparties dans le centre-ville, à Fréjus-Plage, Villeneuve, la Tour de Mare, la Gabelle et au Pin de la Lègue. Deux offices notariaux, une étude d’huissier de justice sont installés sur la commune, sept avocats rattachés au barreau de Draguignan y exercent. Fréjus dispose pour sa sécurité d’une police municipale, d’un commissariat de police, d’une gendarmerie et gendarmerie maritime, et d’un centre de secours et d’incendie dont l'équipement a été renforcé,. Pour assurer la sécurité urbaine, la commune a mis en place un système de vidéosurveillance.

Population et société

La commune dispose de diverses infrastructures à caractère culturel. Les trois musées (archéologique, d’Histoire locale et des Troupes de marine) rayonnent sur le département, les salles d’exposition que sont l’Espace Albert Caquot, la Villa Aurélienne, l’espace culturel Paul-Vernet, la Maison des Métiers d’Art, la salle Charles Denis ou la salle polyvalente de Saint-Jean-de-Cannes permettent une diffusion auprès de la population. Les loisirs culturels sont possibles par le cinéma Le Vox, deux écoles de musique, une médiathèque sur deux sites à la villa Marie et à Saint-Aygulf, cinq compagnies théâtrales. Le théâtre antique, rebaptisé Philippe Léotard, est encore utilisé pour de nombreuses représentations, devenant ainsi un théâtre de verdure. Les arènes accueillent des spectacles, des concerts. Un théâtre, dénommé "Le Forum" et réalisé avec la ville de Saint-Raphaël dans le cadre de la communauté d’agglomération a été livré en février 2010 avec deux salles, la première d’une capacité de huit cent cinquante places et la seconde, de cent soixante places. La ville est membre fondateur du réseau Villes et Métiers d’Art, elle adhère également au label Villes et Pays d’Art et d’Histoire du ministère de la Culture qui garantit la pertinence, la qualité de la mise en valeur du patrimoine et des métiers d’art, notamment pour la peinture, la sculpture sur bois, le marouflage, la mosaïque et la poterie. En 2004, la commune a organisé des rencontres urbaines mêlant compétitions de freestyle, de slam et de graffitis. Quatre-vingt-douze associations contribuent à l’animation culturelle de la commune. La commune dispose d’installations sportives destinées à diverses disciplines et réparties sur son territoire. Deux pôles se détachent, la base nature au sud avec une piscine, un skatepark, trois stade dont un de rugby et deux de football, une piste cyclable, un parcours de santé et le centre Gallieni, situé dans le quartier du même nom, à l’est composé d’une piscine, d’un stade d’athlétisme, de football, de dix courts de tennis, et d’un plateau d’évolution. S’ajoutent à ces installations sept halles ou salles de sport, quatre stades, trois salles polyvalentes, douze plateaux d’évolutions, un club nautique et une école de voile. Le sport est fortement ancré dans la tradition municipale, plusieurs clubs évoluent à un niveau national dont : l'EFC Fréjus - Saint-Raphaël en troisième division du championnat de France de Football l’AS Fréjus pour le volley-ball. Le Club athlétique Raphëlo-Fréjusien (CARF) ou CA Saint-Raphaël-Fréjus, le club de rugby à XV qui évolue en Championnat de France de 2e division fédérale.De nombreux sportifs évoluant en divisions nationales ou internationales dans de nombreuses disciplines y sont nés et y ont été formés. Cent dix-neuf (dont la SASEL à Saint-Aygulf) associations animent et encadrent la pratique sportive dans la commune. Le 16 juillet 1993, Fréjus a accueilli dans les arènes l’épreuve de quart de finale de la Coupe Davis entre l’équipe française (Henri Leconte et Arnaud Boetsch) et l’équipe indienne, épreuve qui fut remportée par le couple indien. Chaque année, le Roc d'Azur, compétition et salon international de VTT se déroule sur le site de la base nature. Il a accueilli en 2013 plus de 20 000 participants et autant plus de visiteurs. Fréjus est le siège du diocèse qui encadre les paroisses catholiques du département. La commune accueille donc le groupe épiscopal dont subsistent la cité épiscopale et la cathédrale Saint-Léonce. Fréjus est aussi le siège du diocèse de Fréjus-Toulon de l’Église catholique qui couvre le Var, rattaché à l’archidiocèse de Marseille. S’ajoutent à cette cité plusieurs édifices religieux catholiques : la chapelle Saint-François de Paule, la chapelle Sainte-Brigitte du Reyran, la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption, la chapelle Notre-Dame-de-Jérusalem, l’église du Sacré-Cœur et l’église Saint Roch. Le culte protestant est représenté dans la commune par un centre évangélique et une église biblique baptiste. Une synagogue accueille le culte israélite, la pagode Hông Hiên Tu, plus ancienne pagode bouddhiste de France, le culte bouddhique vietnamien, et la mosquée de Fréjus dans le quartier de la Gabelle, le culte musulman,. La mosquée Missiri construite à proximité des camps militaires ne reçoit plus de fidèles. Trois cimetières (Saint-Léonce, Saint-Étienne et la Colle de Grune à proximité de l’ancien barrage de Malpasset) accueillent les dépouilles. S’ajoute le Mémorial des guerres en Indochine qui regroupe des restes de soldats. Monuments commémoratifs : Monument aux morts : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954) - AFN-Algérie (1954-1962),. Poilu monumental. Le Mémorial des Guerres d’Indochine. Monument aux morts de la guerre de 1914-1918, boulevard de la Mer. Monument aux morts de la guerre de 1914-1918, carré des marins. Le quotidien Var-Matin diffuse une édition locale spécifique pour Fréjus - Saint-Raphaël. La commune est aussi dans le bassin d’émission de TMC Monte Carlo et France 3 Côte d’Azur. La radio locale Mosaïque FM y est implantée.

Économie

Fréjus est un pôle économique important du département et de la région, situé à mi-chemin entre les zones d’emploi de Toulon et du Grand-Cannes. Elle a de tous temps figuré parmi les lieux d’attrait économique par le nombre d’entreprises présentes mais aussi au titre du tourisme, des activités militaires ou des services publics. Facilement accessible par la route (A8, RN7), par le train (gare de Fréjus, gare de Saint-Raphaël-Valescure), elle bénéficie de nombreuses facilités pour le développement économique. La commune est, avec sa voisine Saint-Raphaël, le centre d’un bassin d'emploi défini par l’Insee qui regroupe dix-neuf communes. Le centre commercial Géant Casino, les concessions Satac (Renault) et Bacchi (Citroën) avec respectivement vingt-sept et vingt-deux millions d’euros de chiffre d'affaires en 2004 et six cents autres entreprises pour un total de 3 934 emplois sont réparties sur les cinq zones industrielles (Lou Gabian, Les Esclapes, Saint-Pons, Le Capitou et La Palud) auxquelles s’ajoute le pôle de compétitivité Capénergies. En 1999, l’ensemble des acteurs économiques proposaient 28 318 emplois. De fait, 86 % de la population active occupait un emploi salarié, dont 62 % habitant et travaillant à Fréjus. Une répartition par catégories socio-professionnelles permettait de dégager des taux de 38 % pour la population « employés », 22 % pour les « ouvriers », 21 % pour les « professions intermédiaires ». Les cadres et professions intellectuelles supérieures ne représentaient ainsi que 8 % de la population active et les artisans ou commerçants que 10 %. Malgré un tissu économique riche, le taux de chômage atteignait 13,6 % en 2005 avec 4 829 demandeurs d’emploi, en baisse par rapport à 1999 avec un taux de 19,4 % et le revenu moyen par habitant ne s’élevait qu’à 15 187 € par an en 2004. Vingt-deux associations agissent sur l’économie de la commune, la municipalité a mis en place un service d’aide à la recherche d’emploi. Plusieurs marchés sont organisés sur la commune, mercredi et samedi en centre-ville, mardi et vendredi à Fréjus-Plage et Saint-Aygulf, jeudi à la Tour de Mare et Port-Fréjus, samedi aux arènes et dimanche à Fréjus-Plage. S’ajoutent en saison touristique des marchés nocturnes à Fréjus-Plage, Port-Fréjus et Saint-Aygulf. Fréjus est l'une des villes les plus endettées de France, avec une dette de 127 millions d'euros en 2019. Surtout, d’après une étude du cabinet Michel Klopfer sur les finances des collectivités, la capacité de désendettement de la ville est passée de 12 années en 2015 à 39,7 années en 2019, alors que la moyenne nationale est de 8,1 années. Le cabinet souligne dans son rapport qu'« au vu des comptes publiés par le ministère de l’Intérieur et le ministère des Comptes publics, la situation financière de Fréjus s’est très nettement dégradée depuis trois ans. Le taux d’épargne, qui tournait autour de 13 % à 17 % entre 2013 et 2015, est tombé quasiment à zéro depuis 2016. La capacité de désendettement s’est considérablement rallongée en nombre d’années. Sous réserve d’une analyse plus approfondie, cela caractérise une situation de surendettement sur trois années successives, 2016, 2017, 2018. »

Culture locale et patrimoine

La commune de Fréjus est située au cœur de vastes espaces protégés. Quatorze mille hectares du massif de l'Esterel, dont une partie sur le territoire de la commune sont protégés par l’Office national des forêts (ONF), les étangs de Villepey sont eux protégés par le Conservatoire du littoral au titre de la flore, de la faune sauvage et de l’intérêt historique qu’ils représentent, les abords de Fréjus et la vallée du Reyran, l’embouchure de l’Argens sont inclus dans des sites du réseau Natura 2000. Les étangs de Villepey et leurs écosystèmes furent fortement endommagés par les inondations à répétitions survenues dans le var depuis 2010. Le pavillon bleu a été décerné au Port-Fréjus pour la qualité de ses eaux grâce notamment à l’opération « Port propre ». Les plaisanciers sont en outre sensibilisés au respect du sanctuaire marin Pelagos pour la préservation des mammifères marins. La base Nature François-Léotard, construite sur l’ancienne base militaire d’une superficie de cent vingt hectares, les jardins du Clos de la Tour (six hectares) et de la Villa Marie (deux hectares) en centre-ville, les parcs Aurélien et Aréca participent à la qualité de l’environnement de la commune récompensée par trois fleurs au concours des villes et villages fleuris. Le safari de l’Esterel, un parc zoologique de vingt hectares créé en 1971 accueille plus de cent trente espèces sauvages des cinq continents. Des promenades guidées sont organisées dans les étangs de Villepey et la forêt de l'Esterel, le sentier littoral et le sentier de grande randonnée GR 49 traversent la commune. La commune dispose d’un service municipal destiné à la préservation de l’environnement et au développement durable. Elle accueille sur son territoire deux stations d’épuration sur le Reyran et à Saint-Jean-de-Cannes, une déchèterie. Elle a mis en place une politique de tri sélectif et de développement des énergies renouvelables avec l’aide aux particuliers souhaitant s’équiper de panneaux solaires et la construction de nouveaux bâtiments communaux respectant les normes de haute qualité environnementale (groupe scolaire Aurélien, maison de retraite L’Aubier de Cybèle...). Le patrimoine de Fréjus est riche des époques variées d’occupation du territoire par l’Homme. Ce patrimoine est en partie mis en valeur dans le cadre du classement ville d’art et d’histoire. La première trace d’occupation encore visible date de l’occupation des Ligures avec le dolmen de L’Agriotier à Saint-Aygulf. L’époque architecturale la plus riche de Fréjus est sans conteste la création de Forum Julii, colonie romaine avec de nombreux bâtiments, qui en fait la plus riche concentration de France après Arles. Les plus remarquables sont : l’amphithéâtre, ; l’aqueduc, ; le théâtre,.L’ancienne ville, inscrite en partie aux monuments historiques, abrite de nombreux éléments architecturaux : les restes de remparts, les portes de Rome, du Reyran, d’Orée, la place Agricola avec la porte des Gaules, les citadelles sur la Butte Saint-Antoine, et la plate-forme avec une citerne et des thermes,,,, un exèdre sur la butte Saint-Antoine, un pavement de la Via Aurelia qui passait par la cité, des colonnes,, les restes du port antique, avec les restes du quai nord, du môle et la lanterne d’Auguste, une mosaïque intitulée « Au combat des coqs » dans une propriété privée, des égouts sous l’actuelle rue Jean-Jaurès. Ailleurs sur le territoire, on trouve un mausolée du IVe siècle rue de La Tourrache dans le quartier de Villeneuve, des vestiges d’une villa suburbaine à La Rose des Sables, un pont aux Cantonniers et un autre à trois arches aux Esclapes ,, un atelier de foulons à l’Arsenal, des vestiges à Villepey, une nécropole dans le quartier Sainte-Brigitte, en mer, des viviers sur la côte de Saint-Aygulf permettaient de conserver des poissons vivants. En 2015 , des fouilles archéologiques furent menées lors de la destruction de l'ancien stade du Centre-ville ont révélé la présence de plusieurs villas romaines[réf. nécessaire]. À partir du IVe siècle, Fréjus devint un des premiers évêchés de France. De cette époque ne restent que peu de vestiges sinon les fondations de la cathédrale, et le baptistère du Ve siècle,. Le Moyen Âge fut riche à Fréjus et il en reste de plus nombreux édifices, dont les vestiges de la chapelle Saint-Lambert du XIe siècle, le cloître roman de l’évêché datant du XIIe siècle,,, tout comme la nef et le bas-côté gauche de la cathédrale. Le narthex, le clocher et la façade fortifiée datent du XIIIe siècle. Les décorations comme les peintures du cloître ou le plafond en menuiserie, les arcades de la galerie de la cathédrale datent eux du XIVe siècle dans un style gothique rayonnant. L’hôtel de ville date lui aussi du XIVe siècle avec sa bibliothèque, les archives dans l’ancienne chapelle et la tour carrée de défense. Enfin, les stalles, la porte voûtée et la grille de la sacristie remontent au XVe siècle. L’ensemble constituait la cité épiscopale de Fréjus. De la période de la Renaissance subsistent la porte d’entrée de la cathédrale, le crucifix et la représentation de la Nativité et la chapelle Saint-François de Paule, tous du XVIe siècle, les statues de saints dans la cathédrale, une porte monumentale d’hôtel dans la rue Sieyès, la chapelle de l’ancien couvent rue Montgolfier et la chapelle Saint-Aygou du XVIIe siècle. Le XVIIIe siècle a laissé l’hôtel des Quatre Saisons avenue du général De Gaulle,, l’Auberge des Adrets, repaire du bandit Gaspard de Besse, le château de Villepey et la chapelle Sainte-Brigitte du Reyran. Le XIXe siècle a été marqué par la construction des Villa Marie, et Villa Maria,, du château Aurélien et de la batterie de Saint-Aygulf, de l’ancien hôpital aujourd’hui devenu le palais de justice, de la fontaine des Cinq Continents sur la place Paul Vernet, de l’école Turcan, de la gare, de la Villa Clythia, le Grand Hôtel Coirier à Valescure,. Enfin, le XXe siècle a vu la commune s’enrichir du château Gallieni, de la mosquée Missiri en 1930, de l’immeuble Le Lido dans un style vénitien en 1934, du mémorial de l’Armée Noire, du barrage de Malpasset en 1954,, du mémorial des combats d’Indochine à côté de la pagode Hông Hiên Tu, de la chapelle Cocteau en 1963, de Port-Fréjus et du lycée Albert-Camus par l’architecte Norman Foster en 1993. La mosquée Missiri construite en 1930, la chapelle Notre-Dame-de-Jérusalem dite « Cocteau » construite en 1963 par l’architecte Jean Triquenot et les bâtiments de la coopérative La Fréjusienne construits en 1921 par l’architecte Henri Draperi bénéficient du label « Patrimoine du XXe siècle ». Plusieurs manifestations sont organisées dans la commune au cours de l’année. On compte des fêtes traditionnelles religieuses comme la Bravade en avril ou mai, précisément le troisième week-end après Pâques, en l’honneur du saint-patron François de Paule qui dure trois jours les samedi, dimanche et lundi matin, la fête de la saint Pons la dernière semaine de mai, la fête de la Saint Jean en juin, la fête du raisin en août où une grappe de raisin est pressée dans le calice, la fête votive de Saint-Aygulf en septembre, celle de la Tour de Mare et enfin Noël avec la foire aux santons en décembre et la Messe de minuit avec sa crèche vivante le 24 décembre. S’y ajoutent des manifestations de traditions locales avec le carnaval en février, la fête du vin en mai, la fête de l’Omelette Géante organisée conjointement avec Dumbéa. La commune relaye des manifestations nationales comme la Fête de la musique, les Journées européennes du patrimoine ou le Téléthon. Des manifestations sportives sont organisées avec la fête du nautisme en mai, la Feria de la Côte d’Azur la deuxième semaine d’août, la manche du championnat de France de Off-shore la dernière semaine d’août dans le golfe, le Roc d'Azur en septembre, le festival international de cerf-volant en octobre. Des expositions ou des salons régionaux avec le salon du cheval en avril, ainsi que l’exposition canine internationale, le salon de la carte postale en juillet, le Salon de l’Automobile en septembre, le salon Home & Décoration en novembre. Des manifestations culturelles comme le festival de court métrage en janvier, la Nuit des Musées en mai, le festival de théâtre Les Nuits Auréliennes entre juillet et août, le festival d’art pyrotechnique Les Nuits de Port-Fréjus. La commune est membre du l'Union des villes taurines françaises. Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Fréjus : Quintus Roscius Gallus (126-62 av. J.-C.), acteur romain, y vécut. Caius Cornelius Gallus (67-26 av. J.-C.), poète romain et premier préfet d'Égypte, y serait né selon saint Jérôme. Julius Agricola (40-93), général romain conquérant de la Grande-Bretagne, y est né. Graecinus, agronome latin, natif de Fréjus au début de l’ère, auteur de De Vineis. Bertran de Saint-Martin (?-1277), en fut l'évêque. Jacques Duèze (1244-1334), en fut l'évêque puis cardinal et pape sous le nom de Jean XXII. Guillaume de Roffiac (? - 1364), évêque de la cité et 14e recteur du Comtat Venaissin. Charles Quint (1500-1558), organisa un triomphe à Fréjus en 1536. André Hercule de Fleury (1653-1743), nommé Monsieur de Fréjus, en fut l’évêque, puis cardinal, académicien, précepteur et Premier ministre de Louis XV.Marc-Antoine Désaugiers (1739-1793), compositeur, y est né. Barnaba Chiaramonti (1742-1823), pape sous le nom de Pie VII s'y arrêta en 1809 et 1814. Emmanuel-Joseph Sieyès (1748-1836), homme politique, ambassadeur et académicien, y est né. Joseph Barthélémy Sieyès La Baume (1749-1830), homme politique français, député du tiers état, et frère du précédent, né à Fréjus. Gaspard de Besse (1757-1781), voleur surnommé le « Robin des Bois provençal », y avait son repaire. Napoléon Bonaparte (1769-1821), y séjourna en 1799 et 1814. Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, y est né. Charles Texier (1802-1871), archéologue, y vécut et dirigea les fouilles du port. Augustin Grisolle (1811-1869), médecin, y est né. Laura Fredducci (1812-1885), peintre, y est née. Carolus-Duran (1837-1917), peintre, vécut à Saint-Aygulf. Il repose au cimetière Saint-Léonce de Fréjus. Fédéric-Henri Oury (1842-1921), en fut l'évêque. Raoul Gineste (1842-1914), né Adolphe Clovis Augier, médecin, poète d'expression française et occitane, écrivain français. Joseph Gallieni (1849-1916), maréchal y séjourna et s'est marié au château Gallieni en 1882, quartier de la gabelle . Alfred Léon Gérault-Richard (1860-1911), journaliste et homme politique, y est mort. Gustave Bret (1875-1969), compositeur et organiste, y vécut. Il repose au cimetière Saint-Léonce de Fréjus Jules Formigé (1879-1960), architecte, citoyen d’honneur de la ville pour les travaux qu'il y entreprit. René-Émile Godfroy (1885-1981), amiral et grand officier de la Légion d’honneur, y est mort. Antoine Béthouart (1889 - 1982), général de l'armée de terre française, y est mort. Lamine Senghor (1889 - 1927), politicien sénégalais, y est mort. Germaine Michel-Jaffard (1896-1973), résistante. Marcel Capron (1896-1982), homme politique, y est mort. Mikhaël Ivanhov (1900-1986), fondateur de la secte Fraternité blanche universelle, y est mort. Henri Mazerat (1903-1986), centralien, en fut l'évêque. André Léotard (1907-1975), haut fonctionnaire, conseiller à la Cour des comptes, y est né et en fut maire et conseiller général. Il repose au cimetière Saint-Léonce de Fréjus Pol Thibaux (1914-1963), officier des forces françaises libres, compagnon de la Libération, y est mort. Michel Klein (1921-), vétérinaire, y exerça et créa le parc zoologique de Fréjus. Paul Roux (1921-1991), enseignant, Capoulié du Félibrige de 1982 à 1989, y a vécu et y est inhumé. Daniel Miart (1927-1989), aviateur et résistant, y est mort. Marc Modena (1927-2011), navigateur et explorateur y est né et y vécut. Larry Collins (1929-2005), écrivain et journaliste, y est mort. Jacques Melzer (1934-2006), saxophoniste et chef d'orchestre, y vécut et y est mort. Philippe Léotard (1940-2001), acteur. François Léotard (1942-2023), homme politique, ministre de la Culture et de la Défense, en fut maire, député et conseiller général. Il repose au cimetière Saint-Léonce de Fréjus Mireille Best (1943-2005), écrivain, y a résidé. Annie Chancel dite Sheila (1945-), y séjourna dans sa propriété de Saint-Aygulf. Claude Carrara (1947-), footballeur international, y est né. Pierre Maille (1947-), homme politique, y est né. Michel Daerden (1949-2012), homme politique belge, y est mort. Dominique Rey (1952-), en est l'évêque. Ahmed Otmane (1961-), figure du banditisme, y fut arrêté en 1989. Franck Sorbier (1961-), créateur de la haute couture, y est né et y vécut. Pierre Imbert (1964-), majoral du Félibrige, y a vécu. Odiah Sidibé (1970-), athlète, y est née. Yacine Douma (1973-), judoka, y est né. Guillaume Delmotte (1977-), joueur de rugby à XV international, y est né. Mario Espartero (1978-), footballeur, y est né. Julien Absalon (1980-), coureur cycliste, y vécut. Steven Dauliach (1981-), champion du monde de motomarine, y vit. Cécile Ravanel (1981-), coureuse cycliste, y est née. Willy William (1981-), chanteur et DJ, y est né. Jean-Philippe Grandclaude (1982-), joueur de rugby à XV international, y est né. Marc Andreu (1985-), joueur de rugby à XV international, y est né. Xavier Corosine (1985-), basketteur, y est né. Adil Rami (1985-), footballeur international, joua à l'Étoile sportive fréjusienne. Jean-Baptiste Bernaz (1987-), athlète de l'équipe de France de voile, y est né. Kevin Constant (1987-), footballeur international, y est né. Gustave Tamba (1991-), boxeur de l’ASML Fréjus. Layvin Kurzawa (1992-), footballeur, y est né. Christopher Tolofua (1993-), joueur de rugby à XV international, y est né. Mouez Hassen (1995-), footballeur, y est né. Stéphane Steeman, humoriste belge, y est mort le 23 janvier 2015. Manon Aubry, femme politique membre du mouvement La France insoumise, tête de liste aux européennes de 2019, y est née. La devise de la commune, inusitée aujourd’hui, est « Julius Cæsar Nominavit, Napoleo Magnus Illustravit » en latin, ce qui peut se traduire par Jules César lui donna son nom, Napoléon Ier la rendit célèbre. Fréjus est réputée pour ses pêches et sa production d’anchois. Le Côtes de Provence Fréjus est une sous-zone de l’appellation d'origine contrôlée. Dans le langage juridique des appellations viticoles françaises, on dit que l’AOC Côtes de Provence Fréjus est une dénomination viticole de l’AOC Côtes de Provence. La spécialité communale reste les Pavés du Cloître, un bonbon feuilleté aux amandes entourées d’une fine coque caramélisée. Le roi René Ier de Naples aurait possédé une maison assise sur les remparts de la commune. Saint François de Paule, sur la route du château de Plessis-lez-Tours, serait passé par la commune, touchée par la peste, aurait guéri les habitants et empêché l’épidémie d’y revenir. Il a créé le couvent Notre-Dame-de-la-Pitié et est devenu le saint patron de la commune. Au XVIIIe siècle, le voleur Gaspard de Besse surnommé le Robin des Bois provençal eut son repaire à l’auberge des Adrets. Une légende raconte que le 9 octobre 1799, Napoléon Ier de retour de la campagne d'Égypte aurait débarqué à Fréjus. Cette ville ne disposant plus de port à l’époque, il a plus probablement débarqué dans celui de Saint-Raphaël, village de pêcheurs non reconnu à l’époque, comme l'atteste la construction de la pyramide commémorative. Martin Bidouré (1825-1851), héros de l’insurrection contre le coup d’État du 2 décembre 1851, aurait été fusillé deux fois. Laissé pour mort puis soigné une première fois à l’hôpital d’Aups, il fut exécuté à nouveau. Une rue porte son nom. Depuis 1905, Fréjus est la seule ville à l'est du Rhône pratiquant des corridas de taureaux. À l'issue des travaux de restauration de l’amphithéâtre, la tauromachie ne devrait plus y être accueillie. Le 23 septembre 1913, l'aviateur Roland Garros partit de Fréjus pour accomplir la première traversée de la Méditerranée en avion et se posa à Bizerte en Tunisie. En 1958, des scènes d'extérieur du film Toi, le venin de Robert Hossein furent tournées sur la plage de Saint-Aygulf. En 1975, des scènes d'extérieur du film Dupont Lajoie d’Yves Boisset ont été tournées sur les plages de Saint-Aygulf et Fréjus-Plage. Fréjus a servi de décor aux artistes peintres dont Georges Huet pour Vue de Fréjus, matinée de décembre en 1890 et Roger Montane pour Grand vent à Saint-Aygulf en 1985. Une partie du film Risque Maximum (1996) avec Jean-Claude Van Damme a été tournée à la base Nature de Fréjus. Le film Mon âme par toi guérie de François Dupeyron, sorti en 2013, a été tourné en partie sur la commune. La série télévisée "Les Revenants" (saison 2) diffusée sur Canal + et réalisée par François Gobert a été tournée en juin 2015 au barrage de Malpasset à Fréjus. La série télévisée "Section de recherches" (épisodes 132 et 133) diffusée sur TF1 a été tournée en juin 2017 à la base Nature à Fréjus. Le film "Johnny English 3" avec Rowan Atkinson et réalisé par David Kerr a été tourné en octobre 2017 sur la plage de Saint-Aygulf à Fréjus.

Voir aussi

Aubenas, Histoire de Fréjus, Louis Leydet, 1881 Dossiers du service régional de l'inventaire de PACA : Fréjus Les recherches archéologiques sur Fréjus, Fédération et ressources sur l'Antiquité (FRANTIQ) H. Espitalier, Les évêques de Fréjus, 1891 Jules Charles-Roux, Fréjus, Bloud, 1909 Jules Formigé, « Fréjus : FORUM JULII OCTAVANORUM COLONIA », dans Congrès archéologique de France. 95e session. Aix-en-Provence et Nice. 1932, Paris, Société française d'archéologie, 1933 (lire en ligne), p. 244-263 Docteur Donnadieu, « Les fouilles récentes du « Forum Julii » à Fréjus », dans Congrès archéologique de France. 95e session. Aix-en-Provence et Nice. 1932, Paris, Société française d'archéologie, 1933 (lire en ligne), p. 264-276 A. Donnadieu, Fréjus, le port militaire du Forum Julii, 1935 Carte archéologique de la Gaule 83-3 : Fréjus, par C. Gébara, avec la collaboration de Patrick Digelmann et d’Yvon Lemoine. Les recherches archéologiques de Paul-Albert Février sur la commune de Fréjus : Le groupe épiscopal de Fréjus, Paris (1981), Les derniers travaux réalisés dans le groupe épiscopal de Fréjus. Dans : Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France (1988) p. 257-264, La ville chrétienne. Le groupe épiscopal de Fréjus. Dans : De Lascaux au Grand Louvre. Archéologie et histoire de France p. 248-251, Fréjus, le développement d'un groupe cathédral, Archéologie en France métropolitaine. Fixot Michel; Février Paul-Albert; Rivet Lucien. Dans : Le Courrier du CNRS vol. 73 (1989) p. 73-74, Fréjus. Dans : Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle 2 p. 43-47, Les fouilles des abords de la cathédrale de Fréjus et la topographie urbaine. Février Paul-Albert; Fixot Michel; Rivet Lucien. Dans : Provence historique vol. 35 (1985) p. 267-277, Aux origines des villes médiévales de Fréjus, Aix et Vaison. Dans : Bulletin des anthropologues de Basse-Normandie vol. 6 (1981) p. 1-2, Les derniers travaux archéologiques effectués à Fréjus (Var). Dans : Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France (1976) p. 25-30, Fêtes religieuses de l'ancien diocèse de Fréjus. Dans : Provence historique vol. 11 (1961) p. 163-189 Récentes découvertes archéologiques de Fréjus. Dans Provence historique, 1952, tome 3, fascicule 9, p. 71-74. Marcel Foucou, Fréjus, regards sur une cité, Serre, 1982 (ISBN 978-2-84135-021-6) Jean Corret, L'Aéronautique navale à Fréjus : Saint-Raphaël de 1912 à 1995, Ardhan, 1995 (ISBN 978-2-9507663-2-8) Isabelle Beraud, Cherine Gebara et Lucien Rivet, Fréjus Antique, Paris, Imprimerie nationale, 1998, 116 p. (ISBN 978-2-85822-979-6) Puchal et Dumas, L'imagier de Fréjus, Patrimoine Cnmhs, 2001 Desirat, Les Chapelles de Fréjus, Serre, 2002 (ISBN 978-2-86410-217-5) Pierre Excoffon, Ville et campagne de Fréjus romaine, Paris/Aix-en-Provence, Éd. Errance, centre Camille Jullian, coll. « Bibliothèque d'archéologie méditerranéenne et africaine », 2010, 306 p. (ISBN 978-2-87772-462-3 et 2-87772-462-X)) Fréjus Ville romaine Jules Charles-Roux, Fréjus, Livre Histoire, 2004 (ISBN 978-2-84373-019-1) Robert de Madron, Aqueduc romain de Mons à Fréjus, Envol, 2004 Ludovic et Jean-Paul Vieu, Les Arènes romaines de Fréjus, 2000 ans d'histoire, un siècle de tradition taurine, Campanile, 2005 (ISBN 978-2-912366-60-3) Sauze et Fixot, La cathédrale saint-Léonce de Fréjus, Le groupe épiscopal de Fréjus, Patrimoine Cnmhs, 2004 (ISBN 978-2-85822-724-2) Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, 1er novembre 1987, 495 p. Le port romain et la lanterne d'Auguste Fréjus - Le port romain et la lagune de l’Argens, sur wikisource.org/ Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée-IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9) Le patrimoine de Fréjus sur le site Petit patrimoine Les monuments romains de Fréjus en randonnée urbaine Fréjus sur www.provence7.com/ Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet Inventaire national du patrimoine naturel de la commune Liste des sites archéologiques, sur inpn.mnhn.fr/ Cavités souterraines Fichiers topo Site officiel Ressources relatives à la géographie : Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative à plusieurs domaines : Annuaire du service public français Ressource relative à la musique : MusicBrainz Ressource relative aux organisations : SIREN Site de l'office du tourisme Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA] Site de la Direction régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Fréjus Portail des communes de France Portail de la Rome antique Portail du Var