La société du jour: Alo immo 82

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Alo immo 82

La société Alo immo 82 a été créée le 25/5/2020, soit 2 années d'activités. Le siège de la société est basé à MONTAUBAN 82000. Elle possède un seul établissement. Le gérant de la société est Alexandre, Cédric ISSANCHOU. Elle a un capital social de 1000 €. Son dernier bilan date du 10/6/2020. Alo immo 82 a choisi le statut juridique SAS, société par actions simplifiée. Elle opère sous le code NAF 68.20B et évolue dans le secteur .

SAS, société par actions simplifiée, c'est quoi ?

Sigle

Le sigle ou acronyme SAS peut signifier :

Culture et société

Un sas (du latin médiéval s(a)etatium, « tamis », utilisé dans le sens de « destiné à trier le passage ») est un dispositif qui permet de passer d'un lieu à un autre, d'un environnement à un autre.

Patronyme

Sas est un nom de famille notamment porté par : Éva Sas, une personnalité politique française ; Jean Sas, un humoriste et animateur de radio et de télévision français.

Toponyme

Sas, Šas ou Saš est un nom de lieu notamment porté par : Šas, un village de la municipalité d'Ulcinj, dans le sud-est du Monténégro ; Saš, un village de la municipalité de Tutin, en Serbie ; Sas de Gand, une petite ville de Zélande, aux Pays-Bas.

68.20B -

Le code APE - NAF 6820B est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 1 633 149 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 23 905 salariés, essentiellement des agents immobiliers.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 6820B : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 6820B est : "Location de terrains et d'autres biens immobiliers".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Location de terrains et d'autres biens immobiliers, les salariés de cette branche sont essentiellement des agents immobiliers.

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La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Agents immobiliers faisant de la transaction ou gestion immobilière, la loi Hoguet vous impose d’être couvert par une assurance RC Pro.  Agents commerciaux immobiliers /mandataires, la loi Alur vous impose également d’être couvert par une RC Pro. Vous pouvez utilisez notre comparateur RC Pro afin de visualiser les différents contrats disponibles.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 6820B. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Location de terrains et d'autres biens immobiliers", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 6820B est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers. 

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour les organismes de formation relevant de l'activité Location de terrains et d'autres biens immobiliers :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Location de terrains et d'autres biens immobiliers”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Alo immo 82

L'établissement principal est domicilié au 1900 rte de l aveyron, Montauban 82000. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Montauban 82000, il y a 2196 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Montauban ?

Montauban est une commune française du Quercy, chef-lieu du département de Tarn-et-Garonne en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aveyron, le Tarn, le Tescou, le canal de Montech, le Grand Mortarieu, le ruisseau de Frézal, le ruisseau de l'Angle, le ruisseau de la Tauge, le Petit Mortarieu, le ruisseau de Dagran, le ruisseau de Gesse, le ruisseau de Laffitte, le ruisseau de la Garrigue, le ruisseau de Miroulet et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »), un espace protégé (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Montauban est une commune urbaine qui compte 61 372 habitants en 2019. Elle est dans l'agglomération de Montauban et fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Montalbanais ou Montalbanaises. Montauban est la commune la plus peuplée du département de Tarn-et-Garonne et la sixième plus peuplée d'Occitanie. En 2016 la commune compte 60 444 habitants, appelés les Montalbanais. En 2016, l'unité urbaine comptait 78 754 habitants et l'aire urbaine 111 499 habitants. La commune est connue pour être le lieu de naissance de plusieurs hommes et femmes célèbres : Jean-Auguste-Dominique Ingres, l'un des plus grands peintres du XIXe siècle, la ville étant d'ailleurs surnommée « la Cité d'Ingres », Antoine Bourdelle, le sculpteur, Olympe de Gouges (1748-1793) femme de lettres et femme politique, et enfin Jeanbon Saint-André (1749-1813) qui participa entre autres à l'adoption du drapeau tricolore français moderne. L'épisode historique connu sous le nom « les 400 coups » s'y est déroulé lors du siège de la ville huguenote, par Louis XIII, en 1621.

Géographie

La commune de Montauban est située au centre du département de Tarn-et-Garonne, sur l'axe de communication entre la mer Méditerranée et l'océan Atlantique. Elle se présente comme une vaste plaine découpée en terrasses par les plaines alluviales du Tarn, de l’Aveyron, et du Tescou. Un réseau hydrographique secondaire vient à son tour former de nombreux vallons. Le paysage a été façonné par les mouvements de ce réseau hydrographique. La présence d’alluvions (dépôts de sédiments charriés par un cours d’eau) sur une large partie du territoire de la commune atteste de ce phénomène. L’altitude varie entre 75 et 80 mètres pour les points les plus bas de la commune (aux abords des lits mineurs du Tarn et de l’Aveyron), et entre 180 à 210 mètres pour les points les plus hauts, situés sur les plateaux. Vers le sud par temps clair, la chaîne de montagnes pyrénéenne est visible. Elle est à la croisée de grands itinéraires européens, comme les axes majeurs est-ouest E80 Rome - Lisbonne ou nord-sud E9 Paris - Barcelone. Géographiquement, elle se situe à 177 kilomètres du pic d'Aneto (3 404 mètres), point culminant des Pyrénées, 215 kilomètres de la mer Méditerranée à Gruissan dans l'Aude à l'est, 287 kilomètres de l'océan Atlantique à Capbreton dans les Landes à l'ouest ainsi qu'à 236 kilomètres d'Andorre. Montauban est limitrophe de quatorze autres communes. La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par l'Aveyron, le Tarn, le Tescou, le canal de Montech, le Grand Mortarieu, le ruisseau de Frézal, le ruisseau de l'Angle, le ruisseau de la Tauge, le Petit Mortarieu, le ruisseau de Dagran, le ruisseau de Gesse, le ruisseau de Laffitte, le ruisseau de la Garrigue, le ruisseau de Miroulet, constituant un réseau hydrographique de 181 km de longueur totale,. L'Aveyron, d'une longueur totale de 291 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir traversé 60 communes. Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont Lozère et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, après avoir traversé 98 communes. Le Tescou, d'une longueur totale de 48,8 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-de-Montmiral et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn sur le territoire communal de Montauban, après avoir traversé 13 communes. Le canal de Montech, d'une longueur totale de 10,9 km, prend sa source dans la commune de Montech et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Il se jette dans le Tarn sur le territoire communal, après avoir traversé 3 communes. Le Grand Mortarieu, d'une longueur totale de 19,3 km, prend sa source dans la commune de Montauban et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Villemade. Le ruisseau de Frézal, d'une longueur totale de 11,3 km, prend sa source dans la commune de Montauban et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il se jette dans l'Aveyron sur le territoire communal. Le ruisseau de l'Angle, d'une longueur totale de 12,4 km, prend sa source dans la commune de Génébrières et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de la Tauge à Saint-Étienne-de-Tulmont, après avoir traversé 5 communes. Le ruisseau de la Tauge, d'une longueur totale de 19,5 km, prend sa source dans la commune de Monclar-de-Quercy et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Lamothe-Capdeville, après avoir traversé 7 communes. Le climat de Montauban est, selon la classification de Köppen, de type subtropical humide, en bordure avec un climat océanique (le seuil entre ces deux types est une température moyenne de 22 °C pour le mois de l'année le plus chaud). Les températures sont plutôt douces en hiver et chaudes l'été ; la température minimale a été atteinte le 9 janvier 1985 avec −20 °C et la température maximale en août 2003 avec 42 °C. En saison estivale, Montauban connaît souvent des sécheresses comme pendant les canicules de 2003, 2006, 2012, ou encore en 2015 où des restrictions d'eau ont été mises en place par la préfecture. On compte environ 40 à 50 gelées par an. La moyenne annuelle des précipitations est de 639 mm, mais il n'est tombé que 425 mm de pluie en 1967 et en revanche 1 005 mm en 1959. La neige est présente sur Montauban environ sept jours par an. Il en est tombé 15 cm en janvier 1985 et 14 cm les 28 janvier et 29 janvier 2006. La neige est restée au sol dix jours consécutifs en février 2012 avec des températures avoisinant −12 °C. Le vent est faible en Tarn-et-Garonne mais sa direction dominante reste ouest-nord-ouest. La présence du vent d'autan est marquée. En novembre 1982, le vent d'autan a soufflé à Montauban à plus de 120 km/h, 140 km/h en décembre 1999, 130 km/h en 2009, lors de la tempête Klaus et 133 km/h lors d'une mini-tornade en juin 2006. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1885 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La commune de Montauban est découpée en 4 zones et 24 quartiers : Est : Fonneuve, Ramier, Les Chênes-Aérodrome, Lalande-Montplaisir, Saint-Martial, Clos Maury-Canteloube. Sud : Médiathèque-Beausoleil haut, Carreyrat, Beausoleil bas-Zac Tempé, Le Fau-Vignarnaud, Sapiac-Pech Boyer. Ouest : Villebourbon, Cours Foucault-Issanchou, Villenouvelle, Gasseras-Verlhaguet-Nivelle, Albasud, Quai Poult-Port Canal. Nord : Hippodrome-Saint-Hilaire-Capou, Falguières, Birac, Albanord-Marché gare, Pomponne. Hors zone : Centre-ville et Faubourgs.

Urbanisme

Montauban est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine de Montauban, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes et 80 020 habitants en 2019, dont elle est ville-centre,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (27,9 %), terres arables (25,6 %), zones urbanisées (24,4 %), cultures permanentes (7,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,6 %), forêts (4,2 %), prairies (1,6 %), eaux continentales (1,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Toponymie

Attestée sous la forme Monte albano en 1267. En occitan (languedocien), le nom de la commune s'orthographie Montalban (prononce Moun-tal-BA), mais se prononce localement avec une assimilation du L en U donc Montauban (moun-taw-BA). L'origine étymologique telle qu'elle est citée dans la charte de fondation, en 1144, ne fait aucun doute: il s'agit de mons albanus qui en latin signifie bien mont blanc. On a souvent opposé mons albanus à mons aureolus qui dans les sources nomme le site de l'abbaye de Montauriol qualifié ainsi de mont doré. Une explication très hypothétique affirme que la ville de Mons albanus est située sur un rebord de coteau où l'on trouvait de nombreux saules, dont le dos des feuilles est blanc, et qui donnaient une impression de mont blanc. Paul Burgan et André Lafon évoquent « la malice d'une telle appellation » qui serait due à la fondation de cette ville neuve et du château comtal en l'opposant « ironiquement » au mont doré de l'abbaye qui rejetait catégoriquement la création d'une ville neuve. Durant la Révolution française, la commune porte le nom de Rive-Civique.

Histoire

Le site de fondation initiale de la ville est délimité sur trois côtés par des cours d'eau : le Tarn à l'ouest, le Tescou au sud-ouest (jusqu'au confluent avec le Tarn) et le ruisseau de la Garrigue (la Mandoune) au nord-est (jusqu'au confluent avec cette même rivière). Au sud, sur une hauteur surplombant le Tescou, se dressait depuis le IXe siècle l'abbaye de Montauriol (peut-être fondée autour de 820 ou de 830), affiliée à l'ordre bénédictin sous le nom initial de Saint-Martin, puis de Saint-Théodard (Sanctus Audardus) depuis la fin du Xe siècle. De cette époque, date le premier noyau de peuplement autour de l'abbaye (village de Montauriol : Mons Aureolus). Au nord, à une quinzaine de kilomètres, les ruines de l'antique ville gallo-romaine de Cossa semblent être ignorées. En octobre 1144, le comte de Toulouse, Alphonse Jourdain, fonde Montauban, souvent considérée comme une des premières bastides avec un plan type qui sera ultérieurement généralisé pour l'ensemble des bastides du Sud-Ouest notamment par les comtes de Toulouse. Ce développement des bastides ne pourra se faire qu'à partir de 1229, date du traité de Meaux-Paris qui mit fin entre autres aux villages fortifiés (Castéras, Castelnau, etc.) pour asseoir le pouvoir étatique et démanteler ainsi l'emprise seigneuriale qui persistait sur les campagnes françaises au Moyen Âge. Le comte lui donne le nom de Montalba, le « mont des Saules » ou « mont Blanc », par opposition au nom de l'abbaye voisine de Montauriol, le « mont Doré ». La cité, construite comme toutes les autres bastides qui suivront, est tracée selon un plan orthogonal avec les rues coupées à angle droit qui rejoignent le cœur de la ville avec une place centrale dont l'actuelle place Nationale qui est affectée au commerce, et une place annexe pour l'église. Tentée par le catharisme, Montauban reste fidèle au comte de Toulouse. La petite ville nouvelle croît de façon spectaculaire, et l'ancien évêque de Cahors Jacques Dueze, devenu le pape Jean XXII, fonde l'évêché de Montauban en 1317, émancipant définitivement la ville de l'espace d'influence de l'abbaye de Moissac. La seconde moitié du XIIIe siècle est une époque de prospérité et qui confirme l'essor commercial déjà présent au XIIe siècle. C'est alors que sont lancés de grands travaux publics : l'église Saint-Jacques achevée en 1280 et le pont Vieux bâti de 1304 à 1335. Ce dernier est équipé de deux tours de défense à ses extrémités et d'une chapelle en son centre. Au début du XIVe siècle, Montauban est en pleine expansion économique. Mais la guerre de Cent Ans va brutalement freiner cet essor. La ville passe pour quelques années aux mains des Anglais après plusieurs batailles. Le Prince de Galles, Édouard de Woodstock, dit aussi le Prince Noir, fait édifier un château au bord des rives du Tarn. En plus, à la guerre de Cent Ans vient s'ajouter la grande épidémie de peste de 1348, et le petit Âge glaciaire qui affectent la France dont Montauban. Dès 1368, la ville est à nouveau française et ne garde plus qu'un souvenir de l'occupation anglaise avec la salle du Prince Noir aux immenses voûtes d'ogives situées dans l'actuel musée Ingres. En mai 1472, par ses lettres patentes, le roi Louis XI confirme les privilèges de la ville, à la suite de la mort du duc de Guyenne, son frère. Dans les années 1530 et suivantes, la population de Montauban se convertit au protestantisme, et devient une des capitales du protestantisme français avec La Rochelle puis devient entièrement huguenote au début des guerres de religion. En 1559, la messe pour la mort d’Henri II n’est dite qu’au bout de huit mois. En janvier 1561, le culte protestant est public ; au mois d’août, les moines catholiques sont dans l’impossibilité de prêcher. L’évêque est chassé, et tous les consuls de la ville sont protestants. En 1562, lors de la première guerre de religion, Montauban résiste à trois tentatives de siège de Blaise de Monluc. Les églises ne sont rendues aux catholiques, en 1563, que sous la menace. Aussi, quand Charles IX fait son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume – son frère le duc d’Anjou, futur Henri III, qui y fait de fréquents séjours et les cardinaux de Bourbon et de Lorraine –, il est exigé que les Montalbanais rasent leurs fortifications pour accueillir le roi. Après négociations, ce démantèlement est accepté et le roi fait son entrée le 20 mars 1565. Il est accueilli dans la liesse. Si l’évêque Jacques II des Prés-Montpezat peut revenir, il ne reste pas. Un premier temple est construit en 1565 qui a été démoli en 1615 pour construire le Grand temple de Montauban ou Temple neuf à l'emplacement de la chapelle de Lautier de l'hôpital Saint-Jacques suivant les plans de Pierre Belleville, architecte de Toulouse. Sa construction a été terminée avant le 24 mai 1617. L'ameublement du temple n'a été fait qu'en avril 1618. Un second temple existait à Montauban, appelé Temple de l'École jusqu'en 1598, construit en 1609. C'est dans le Grand temple que le duc de Rohan prend la parole, le 11 juillet 1621, pour faire promettre aux calvinistes montalbanais de se défendre. Le Temple neuf est démoli en 1665 par l'intendant Claude Pellot commis pour cela par un arrêt du Conseil. En 1570, la paix de Saint-Germain, signée entre le roi Charles IX et l’amiral Gaspard de Coligny, octroie aux protestants quatre places fortes : La Rochelle, Cognac, Montauban et La Charité-sur-Loire. Une nouvelle enceinte est construite. En 1598, Henri IV, ayant accordé par l'édit de Nantes des droits religieux aux protestants de France, garantit à ces derniers des « places de sûreté » au nombre de 51, plus des lieux de refuge. Montauban est l'une des principales places de sûreté, avec Nîmes et La Rochelle. Elle acquiert ainsi le droit de se protéger en bâtissant et en entretenant des fortifications. Cette même année, une université protestante, l'Académie de Montauban et de Puylaurens, y est installée. Daniel Chamier, pasteur drômois et rédacteur des articles secrets de l'édit de Nantes, y enseigne. Elle est fermée en 1685, lors de la révocation de l'édit de Nantes. En 1621, le duc de Luynes, connétable de France qui mène la guerre contre les protestants, lève le siège de Montauban malgré une forte concentration d'artillerie. Pendant 96 jours, la ville, sous l'égide du consul Jacques Dupuy, est déterminée à résister au siège de l'armée royale. Elle aurait subi le feu nourri de 400 pièces dont le clocher de l'église Saint-Jacques garde encore quelques traces. L’historien Max Largarrigue a démontré que cet épisode, connu comme « les Quatre Cents Coups de Montauban », est en partie légendaire. La ville reconstruit à partir de 1614, les « couverts » qui portent le nom de place Nationale ; mais, en 1629, après la prise de La Rochelle, Montauban doit se soumettre. Dernière citadelle et place de sûreté calviniste, Montauban engage des tractations avec Richelieu dès la prise de La Rochelle et se rend sans résistance le 20 août 1629 à l'armée royale, Richelieu entre dans la ville avec son monarque et son ministre accueillis par les habitants aux cris de « Vive le roi, vive le cardinal » et rétablit le culte catholique à l'église Saint-Jacques. Les remparts sont détruits par l'autorité royale. La ville devient alors une capitale régionale, et chef-lieu d'intendance en 1633 ainsi que d'un tribunal des Finances, la cour des Aides en 1661, Généralité du Bas-Quercy en 1636. En 1635, Richelieu dote la Généralité de Montauban de onze "élections" et quatre "Pays d'États" du nord du Rouergue aux Pyrénées. Les onze "élections" sont : Figeac, Cahors, Villefranche, Montauban, Rodez, Millau, Verdun, Lomagne, Armagnac, Astarac, Comminges. Les quatre "Pays d'État", pyrénéens, sont les ressorts de Foix, Donnezan, Nébouzan et Quatre-Vallées. À l'instar du territoire qu'elle commande elle atteint son apogée économique au XVIIIe siècle avec ses minoteries, ses tissages de la soie et de la laine, son dynamisme industriel est remarquable. Dans le même temps, la population subit les dragonnades (occupation des régiments de dragons chez l'habitant, à la suite de la révocation de l'édit de Nantes, en 1685). En 1716, la Généralité de Montauban est scindée en deux : Auch devient la capitale d'une Généralité comprenant les cinq "élections" suivantes : Verdun, Lomagne, Armagnac, Astarac, Comminges et les quatre "pays d'État" pyrénéens. Certains protestants quittèrent la France comme cet ancêtre de Paul Pechell qui immigra en Irlande. Paul Pechell, son petit-fils, né à Owenstown, dans le comté de Kildare, entre dans l'armée britannique en 1744 dans le Premier régiment des Dragons. Officier distingué, servant en Flandres, il épouse en 1752 Mary Brooke de Paglesham dans l'Essex. Thomas Gainsborough fait son portrait vers 1780. Il est aujourd'hui conservé au Metropolitan Museum de New York. Ces persécutions n'empêchent pas qu'en 1700, elle compte environ 30 000 habitants (Toulouse en compte environ 48 000), 15 000 ouvriers textiles et 2 000 ouvriers de minoteries en 1750. Afin de ré-implanter durablement le catholicisme dans la ville sont édifiés un nouveau palais épiscopal sur les ruines du château du Prince noir, une cathédrale de style classique en pierres de taille, un collège jésuite (l'Ancien Collège), et l'église Saint-Étienne de Sapiac. Montauban connaît un âge d'or et prend le visage qu'on lui connaît encore aujourd'hui : les nombreux hôtels particuliers de style classique en brique toulousaine, la place Nationale (rebâtie dans le style actuel après un incendie en 1614), le creusement du canal du Midi (puis le canal de Montech), le cours Foucault. Les consuls autorisent l'implantation d'un théâtre sur l'emplacement actuel du théâtre Olympe-de-Gouges. Les tours fortifiées du Pont Vieux sont détruites et un arc de triomphe à la gloire du roi est édifié à l'extrémité du pont. De nouveaux quartiers prennent forme autour du centre ancien : Villebourbon (à dominante industrielle et artisanale), Villenouvelle. La Cour de la Bourse des marchands est créée en août 1712 pour juger des différends commerciaux. Cette cour a continué jusqu'en 1790. La loi du 19 décembre 1790 a transformé les « juges consulaires » en « juges de commerce ». L'édit de mars 1710 donné à Versailles prévoit la création de 20 nouvelles juridictions consulaires. Le 11 mars 1710, un arrêt de Conseil du roi a nommé Jean-Jacques Clément, bourgeois de Paris, pour mettre en place ces juridictions. L'intendant de la généralité de Montauban, Gaspard-François Legendre de Lormoy, convoque 29 personnes le 3 septembre 1710 pour choisir les juges de cette cour. Pour une raison inconnue, il faut attendre août 1712 pour que cette cour soit mise en place. Cette Cour est séparée de la Cour de la Bourse des Marchands de Toulouse ce qui a entraîné une protestation des membres de cette cour dans une lettre du 12 août 1712. Fin 1790, Montauban est reléguée par les Constituants comme chef-lieu de district, malgré d'abondantes tractations pour que la ville puisse être chef-lieu de département. Après des hésitations en décembre 1790 entre l'affectation du district de Montauban entre les départements de Haute-Garonne (chef-lieu Toulouse) et du Lot (chef-lieu Cahors), la Constituante vote l'annexion de Montauban au département du Lot (15 janvier 1791). Le district de Montauban regroupe les cantons de Montauban, Mirabel, Lafrançaise, Montpezat, Puylaroque, Caylus, Bruniquel, Nègrepelisse et Caussade. Montauban devient sous-préfecture à la création de l'administration préfectorale, en 1800. Les déboires administratifs de la ville n'empêchent pas deux Montalbanais de connaître à Paris une notoriété nationale : Olympe de Gouges, femme de Lettres déjà sous l'Ancien Régime, revendique les Droits des Femmes et des Citoyennes, mais lance contre Robespierre des attaques qui la mènent à l'échafaud. Jeanbon Saint André, ancien pasteur calviniste, entre au Comité de Salut Public. Il fait adopter le drapeau tricolore sous la forme que nous connaissons encore aujourd'hui. Il doit de survivre au 9 thermidor d'être envoyé en mission en province à cette date. Il continue sous Napoléon une carrière préfectorale interrompue par son décès en 1813 à Mayence. Durant la Révolution, le palais épiscopal de Montauban est confisqué par les révolutionnaires et la ville l'acquiert aux enchères pour en faire son hôtel de ville. En 1805, le maire est le Baron Joseph Vialètes de Mortarieu, dont Ingres réalisa le portrait cette année là. Il faudra attendre 1808 (sénatus-consulte du 21 novembre), pour que Napoléon Ier crée un nouveau département, le Tarn-et-Garonne, dont Montauban devient le chef-lieu. La nouvelle circonscripton compte seulement 3 545 km² et 238 882 habitants. Le premier préfet est Félix Le Peletier d'Aunay. La même année, la faculté de théologie protestante de Montauban rattachée à l'université de Toulouse, ouvre ses portes pour former les pasteurs réformés. Ses enseignants les plus connus furent Jules Pédezert, Charles Bois, Émile Doumergue et Jean Monod. Elle devient autonome en 1906, du fait de la séparation des Églises et de l'État en 1905 et est transférée à Montpellier en 1919, devenant la faculté de théologie protestante de Montpellier. Sa bibliothèque est divisée : la partie théologique revient à la faculté de Montpellier, tandis que la partie littéraire et humaniste, riche en ouvrages des XVe et XVIe siècles, est confiée à la Bibliothèque universitaire de Toulouse. En 1809, Montauban fit partie des « bonnes villes », qui remplacèrent, sur leur blason, les fleurs de lys par trois abeilles, symbole de Napoléon. La ville stagne économiquement et connaît ensuite un déclin industriel fortement concurrencée par la Flandre, l'Angleterre et le Nord-Pas-de-Calais dans la production de tissus. Malgré tout, Montauban profite de la croissance économique du Second Empire puis de la Belle Époque, Ses vieux quartiers sont restaurés, et la ville se modernise, sur les rives du Tarn (Villebourbon, Sapiac) les crues de 1766, 1870 et 1930 sont particulièrement destructrices alors que la vieille ville, située en hauteur, n'est pas touchée. Cependant des avenues, le long desquelles des immeubles viennent s’agglomérer, sont tracées : les faubourg Lacapelle et faubourg du Moustier notamment. Le musée Ingres est ouvert en 1851 et s'agrandit progressivement dans tout l'ancien palais épiscopal. De nouvelles églises de style néogothique sont édifiées dans les quartiers récents : Saint-Orens à Villebourbon et Saint-Jean-Baptiste à Villenouvelle. Le quartier de Villenouvelle est relié au centre ancien par un nouveau pont, celui des consuls de style néo-médiéval, qui enjambe le ruisseau Lagarrigue en 1898. Au sud de ce nouveau pont, la place Lefranc devant le théâtre est agrandie et aérée. Une bibliothèque de style Beaux-Arts est bâtie au cœur de la vieille ville, en face du musée Ingres. Un riche particulier fait construire le château de Montauriol et son parc où siège depuis 1974 le conseil départemental de Tarn-et-Garonne. L'hôtel de Préfecture est bâti. Villebourbon confirme son statut de quartier industriel, avec l'édification de deux moulins (Sapiacou et glacière de Palisse) et des biscuiteries Poult, bâtiment de style néo-mauresque. Le jardin des plantes est aménagé en 1861. Le réseau ferré français est en plein essor : en 1856 le premier train de la ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville s'arrête à Montauban en 1864 la gare de Montauban-Villenouvelle est ouverte aux voyageurs et en 1884 la nouvelle gare de Montauban-Villebourbon entre en service. À la fin de la période, quelques années avant la Première Guerre mondiale, un second pont est édifié sur le Tarn, le pont Neuf. Montauban perd de nombreux soldats dès les premiers jours du conflit : dans la forêt de Bertrix (Belgique), la 33e division d'infanterie, basée à Montauban, perd près de 2 400 hommes dans la seule après-midi du 22 août 1914 et en tout plus de 2 800 hommes avant la fin du mois. Un monument aux morts spectaculaire sera édifié par le sculpteur Bourdelle sur le cours Foucault. Quelques bâtiments de style Art déco comme le bâtiment des postes (allée de l'Empereur) sont à remarquer, ainsi que les anciennes halles (place Lalaque) ou les galeries Lafayette (hyper-centre). De façon plus classique et rappelant la place Nationale, le théâtre se voit doté d'une nouvelle façade. La ville est desservie par les Tramways de Tarn-et-Garonne, en service de 1913 à 1933. À la fin de l'hiver 1929-1930, un épisode cévenol succède à plusieurs jours de pluie. Fin février 1930 le Tarn gonfle très sérieusement, et une crue dévastatrice de 11,5 mètres ravage Montauban et Moissac début mars. Les secteurs de Villebourbon et de Sapiac sont complètement immergés. On dénombre plus de 200 décès et 3 000 logements détruits (dont la majeure partie sur Moissac et Montauban). Cette crue centennale, voire millénaire, fut nommée « l'inondation du siècle » et sert de référence au plan de prévention des risques liés aux inondations. Montauban est touchée en 1996 par une autre crue de moindre importance. À la suite de cet événement, des digues et barrages sont bâtis en bordure du Tarn pour éviter et atténuer les effets dévastateurs d'une nouvelle crue. « Si dès la fin 1936, quelques centaines de familles espagnoles de réfugiés débarquent à Montauban pour fuir la guerre civile, ce sont des milliers de républicains qui transitent par la gare de Villebourbon avant de gagner le camp de Septfonds. » Dans ce cortège, Manuel Azaña, président de la République espagnole, « après avoir échappé à la Gestapo près du Pyla, parvient dans une ambulance à Montauban. » Finalement mis en résidence surveillée dans une chambre de l'hôtel du Midi à la demande du gouvernement de Vichy, « Azaña à qui l'on refuse un exil au Mexique », meurt d'épuisement, le 3 novembre 1940. « Le préfet Durocher lui refuse des obsèques ostentatoires, la visite du Maréchal Pétain deux jours à peine après ses obsèques n'y était, sans doute, pas étrangère ». En 1940, plusieurs dizaines de milliers de réfugiés de toute l'Europe du Nord, et en particulier des sujets belges affluent. « Carrefour, Montauban devenait un terminus pour ces milliers d'exilés qui avaient tout quitté pour ne pas revivre les horreurs et exactions allemandes de la Seconde Guerre mondiale ». Parmi ces réfugiés, « il y avait aussi Mona Lisa, La Joconde de Léonard de Vinci qui échappait au pillage et trouvait refuge avec toute une partie des collections du Louvre et du musée de Versailles dans les épais murs du musée Ingres ». Sous la garde du futur académicien André Chamson, une plaque commémorative le rappelle au 30, rue de la Comédie. Au printemps 1941, une enquête de police vise à localiser et à arrêter les membres de la direction et des militants du Parti communiste autrichien (KPÖ). Au printemps 1944, une partie du 4e régiment SS « Der Führer » de la division Das Reich y est cantonnée, avant d’être appelée en Normandie et de commettre de nombreuses exactions et massacres en route, dont celui d’Oradour-sur-Glane. Le père Léonide Chrol, prêtre orthodoxe dans la ville, convainc les soldats du Reich, Tchétchènes ou Ingouches pour la plupart, qu'ils quittent Montauban sans effusion de sang — car il parlait leur langue. De nouvelles infrastructures voient le jour à Montauban : salle de concert Eurythmie sur l'ancien site de la gare Villenouvelle (2000), coulée verte sur l'ancienne ligne de chemin de fer (2002), médiathèque (2012), golf (2012), complexe aquatique (2013). Fermé à la navigation depuis 1990, le canal de Montech est rouvert en 2003. En 2006, un incendie détruit le moulin de Sapiacou. Le boulevard urbain Ouest est progressivement édifié à partir de 2010, avec notamment l'inauguration du pont de l'Avenir en 2011. Montauban est desservie par les TGV, mais le réseau LGV n'arrivera pas à Montauban avant 2024. Le tracé de la ligne est déjà défini et une gare LGV devrait être bâtie au sud de la ville. Le 17e régiment du génie parachutiste (RGP) est une unité militaire d'élite française unique en Europe basée au quartier Doumerc à Montauban. Il reprend les traditions du 17e régiment colonial du génie qui s'était illustré lors de la Seconde Guerre mondiale. Le 17e régiment du génie parachutiste fait partie de la 11e brigade parachutiste au profit de laquelle il assure toutes les missions spécifiques du Génie d'assaut parachutiste dans un cadre d'emploi aéroporté, héliporté et mécanisé, telles que le franchissement d'assaut, la reconnaissance dans la profondeur, l'aide au déploiement, ainsi que les opérations de déminage et de dépollution (munitions, obus, engins explosifs…). Il est présent sans discontinuer depuis 1975 sur tous les théâtres opérationnels (Liban, Tchad, Nouvelle-Calédonie, Guyane, Pakistan, Kurdistan, Koweït, Cambodge, Somalie, Rwanda, Gabon, Mozambique, ex-Yougoslavie, Albanie, Kosovo, Afghanistan, Mali…). Pour ces différents engagements le 17e RGP a été cité trois fois à l'ordre de l'armée et deux fois à l'ordre du corps d'armée, et trois de ses compagnies à l'ordre de l'armée (la 2) et à l'ordre du corps d'armée (la 1 et la 3). De plus, Montauban possède une Base de Défense (BDD) regroupant quelques unités militaires de Montauban, Agen et Castelsarrasin.

Politique et administration

La commune fait partie de la première circonscription de Tarn-et-Garonne, du Grand Montauban et est chef-lieu de trois cantons : Montauban-1, Montauban-2 et Montauban-3. Cette sous-section présente la situation des finances communales de Montauban. Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Montauban s'établit à 88 228 000 € en dépenses et 91 878 000 € en recettes : En 2013, la section de fonctionnement se répartit en 65 844 000 € de charges (1 135 € par habitant) pour 70 985 000 € de produits (1 224 € par habitant), soit un solde de 5 141 000 € (89 € par habitant), : le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels pour une valeur totale de 34 352 000 € (52 %), soit 592 € par habitant, ratio inférieur de 23 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (772 € par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 562 € par habitant en 2010 et un maximum de 592 € par habitant en 2013 ; la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux pour 28 327 000 € (40 %), soit 488 € par habitant, ratio inférieur de 12 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (553 € par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio augmente de façon continue de 419 € à 488 € par habitant.Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Montauban. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012 : la taxe d'habitation sans variation 12,86 % ; la taxe foncière sur le bâti sans variation 28,28 % ; celle sur le non bâti égale 88,29 %.La section investissement se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance : des dépenses d'équipement pour une valeur de 14 449 000 € (65 %), soit 249 € par habitant, ratio inférieur de 39 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (406 € par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 224 € par habitant en 2012 et un maximum de 325 € par habitant en 2011 ; des remboursements d'emprunts pour une valeur totale de 6 296 000 € (28 %), soit 109 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate.Les ressources en investissement de Montauban se répartissent principalement en : nouvelles dettes pour une valeur de 2 500 000 € (12 %), soit 43 € par habitant, ratio inférieur de 71 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (149 € par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 43 € par habitant en 2013 et un maximum de 106 € par habitant en 2012 ; subventions reçues pour une valeur de 1 951 000 € (9 %), soit 34 € par habitant, ratio inférieur de 53 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (73 € par habitant).L'endettement de Montauban au 31 décembre 2013 peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette, l'annuité de la dette et sa capacité de désendettement : l'encours de la dette pour un montant de 48 022 000 €, soit 828 € par habitant, ratio inférieur de 35 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (1 282 € par habitant). Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 758 € par habitant en 2010 et un maximum de 828 € par habitant en 2013 ; l'annuité de la dette pour une valeur de 7 265 000 €, soit 125 € par habitant, ratio inférieur de 21 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (158 € par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 108 € par habitant en 2011 et un maximum de 125 € par habitant en 2013 ; la capacité d'autofinancement (CAF) pour un montant de 8 037 000 €, soit 139 € par habitant, ratio inférieur de 16 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (166 € par habitant). Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 113 € par habitant en 2009 et un maximum de 179 € par habitant en 2010. La capacité de désendettement est d'environ 5 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum d'environ 4 années en 2012 et un maximum d'environ 13 années en 2001. Gourbeyre (Guadeloupe) Pawhuska (États-Unis) Yoqneam (Israël) Khémisset (Maroc) Kozarac (Bosnie-Herzégovine) Avola (Italie)

Population et société

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans, En 2019, la commune comptait 61 372 habitants, en augmentation de 5,96 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Montauban compte de nombreux établissements d'enseignement, dont des antennes des trois universités de Toulouse. Universités et écoles supérieures : Université de Montauban, antenne de l'université de Toulouse 1 Sciences sociales Université de Montauban, antenne de l'université de Toulouse 2 Arts appliqués Université de Montauban, antenne de l'université de Toulouse 2 Département Archives et Médiathèque (DAM) Université de Montauban, antenne de l'université de Toulouse 3 Licences Professionnelles "Instrumentation et Systèmes Innovants pour une Agriculture Eco-responsable". École de commerce et de gestion de Montauban (EGC)Lycées : Lycée Pierre-Marie-Théas (privé) Lycée professionnel privé Skhole d'art (coiffure, esthétique) Lycée Jules-Michelet Lycée général et technologique Antoine-Bourdelle (plus gros établissement de l'académie de Toulouse) Lycée professionnel Antoine-Bourdelle Lycée agricole de Capou, spécialité arboriculture/horticultureCollèges : Collège Institut familial (privé) Collège Saint-Théodard (privé) Collège Notre-Dame (privé) Collège Olympe-de-Gouges (Montplaisir), triple champion de France de rugby (public) Collège Jean-Jaurès (Villebourbon) Collège Ingres Collège Manuel-Azaña Montauban compte un centre hospitalier, situé rue Léon-Cladel. Cet hôpital accueille un Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI), qui forme infirmiers et aide-soignants. Trois cliniques privées se situent également à Montauban : la clinique Cave, la clinique croix Saint-Michel du Dr Boyé et la clinique du Pont de Chaume. La ville accueillait chaque année le festival Alors… Chante! !. qui s'installe à partir de 2016 à Castelsarrasin sans trouver le succès escompté et dîsparaît en cette année. Elle accueillait aussi tous les mois de juillet un festival de jazz, le Jazz à Montauban et en Tarn-et-Garonne. Depuis 1991, le Festival de littérature Lettres d'Automne, à la mi-novembre, accueille un écrivain pendant deux semaines. Depuis 1994, chaque deuxième weekend du mois de septembre, les 400 coups s'installe à Montauban. Elle est la plus importante de la région et la 5e plus grande fête de France avec plus de 200 manèges et réunissant plus de 50 000 personnes. Durant les 3 jours de fêtes on peut y retrouver des manèges à sensation, des concerts, des défilés, des cavalcades, des bandas, un feu d'artifice...etc. Depuis 2009, le festival International de Magie se produit à Montauban dans la salle Eurythmie. Depuis 2015, le festival Montauban en Scènes créé par la ville de Montauban propose tout l'été une programmation équilibrée et diversifiée d’une quarantaine d’événements mêlant musique, danse, humour, spectacles pour enfants, arts de la rue, ateliers découverte, etc. Depuis 2019, le Festival Mars en Danse se produit au théâtre Olympe-de-Gouges. Depuis 2015, la ConspiraSon asso organise une soirée de musique électronique, les 21 juin, au square Picard Depuis 2019, un festival de Gwoka se déroule le deuxième samedi d'août "Place au Gwoka"Événements : 2 août 1995 : Intervilles, le jeu télévisé phare de l'été en France des années 1990 - 2000 s'est installé dans le centre-ville de Montauban pour affronter la ville de Tarbes. Montauban remporte la victoire avec un score de 8 - 5. 19 juillet 1998 : Montauban accueille la 8e étape du Tour de France que le français Jacky Durand remporte, après 190,5 km depuis Brive. 7 juillet 2016 : Montauban accueille la 6e étape du Tour de France. C'est le britannique Mark Cavendish qui remporte cette étape, après 190,5 km depuis Arpajon-sur-Cère. 2-3 décembre 2016 : Montauban est désignée comme Ville ambassadrice pour la 30e édition du Téléthon. Durant ces deux jours la ville a organisé des défis ainsi que des animations diffusés en direct de la Place Nationale sur France Télévisions. Montauban a été ville étape de la Route du Sud (voir son palmarès et statistiques) et ville étape du Tour de France 1998, elle a aussi accueilli le Trophée de France des Jeunes Cyclistes 2018. Au niveau des infrastructures, la ville possède le Stade Sapiac d'une capacité de 11 000 places, le Stade de la Fobio de 5 000 places, un complexe aquatique de 2 700 m2, 2 golfs, l'hippodrome des Allègres ainsi que de nombreux terrains et gymnases. Club USM Omnisports : US Montauban, club de rugby à XV champion de France en 1967, dont la section professionnelle est le MTG XV (Montauban Tarn-et-Garonne XV) rugby à XV évoluant en Championnat de France de rugby de Pro D2 en 2021-22. Champion de France de deuxième division en 2001 et 2006. Le club évolue au stade Sapiac. Le club du MTG XV a été rétrogradé et redevient amateur avec toujours les mêmes couleurs, le vert et noir. Désormais, la fédération a interdit de nommer le club MTG XV mais USM. Le club retrouve le monde professionnel et évolue en Pro D2 depuis l'exercice 2014-2015. L'US Montauban Cyclisme 82, évoluant au niveau élite, champion de France amateurs 1997 et club formateur de nombreux coureurs professionnels. Organisateur du Tour de Tarn-et-Garonne. L'USM Tennis de Table avec plusieurs joueurs dans le top français et une équipe évoluant en Pré-nationale. L'USM Boxe L'USM Escrime, peu connue mais forte de ses résultats en compétition nationale chaque année. L'USM Handball L'USM Rugby à XV féminin L'USM Boule Lyonnaise L'USM Pétanque L'USM Équitation L'USM Golf L'USM Volley-ball L'USM Pom-pom girl qui anime les mi-temps des rencontres à domicile de l'USM Rugby Le Racing club montalbanais l'autre club de rugby à XV, fondé en 1968, qui évolue en fédérale 2 depuis 2012. Kin-ball Montalbanais Montauban Football Club, club de football évoluant en DHR. Le club évolue au stade Georges-Pompidou anciennement nommé stade de la Fobio. Les « Gerfauts de Montauban », club de football américain. Le Montauban athlétisme. Le club de plongée CANOM, spécialisé dans la plongée enfants Le MBC (basket-ball) évoluant en Nationale 3 Masculine. L'Association tennis Montauban, organisateur d'un tournoi Future. Les Jeunes Espoirs montalbanais (JEM) : école de football, créée en 1986 et réputée pour sa formation des jeunes (n'avait pas d'équipe seniors jusqu'en 2018) . Le Baseball Club montalbanais (Les « Orioles de Montauban ») L'Union nautique montalbanaise, club d'aviron. Le Dojo montalbanais, un club majeur de la région en judo. L'Association montalbanaise de sauvetage et secourisme : natation sportive, sauvetage, formation BNSSA Le MN82, un des plus grands clubs de natation de France, avec 1 142 licenciés en 2011. Né de la fusion des deux principaux clubs tarn-et-garonnais, le Cercle des Nageurs Montalbanais et les Dauphins Montalbanais, Montauban Natation 82 a vu le jour le 12 juin 2007. ULM 82, le plus grand club ulm du Tarn-et-Garonne à Albefeuille-Lagarde, école de pilotage et baptême de l'air. Player's Montauban: Club de pétanque de la cité d'Ingres, créé en 1991, avec un titre de champion de France de Jeu provençal, dès 1992.Montauban est également une ville qui possède un club d'Handisport : le Montauban Handisport qui comprend, notamment, une section de rugby à XIII fauteuil : Les Pandas . Ceux-ci disputent le championnat Élite 1 (première division) à la fin des années 2010. Culte catholique Culte protestant et évangéliqueÉglise protestante unie de France Temple le Fau, chemin du Carreyrat de Poulidets. Temple des Carmes, grand-rue Sapiac. Église protestante réformée évangélique Temple de la Faculté, quai Montmurat. Église réformée évangélique, Temple Saint-Martial de Chaussous, chemin Saint-Martial. Temple le Fau, chemin du Carreyrat de Poulidets. Église baptiste, chemin Saint-Martial. Église évangélique protestante, rue du Pré. Église évangélique chrétienne, route d'Auch. Assemblée de Dieu de Montauban (rue du Chateauvieux) Église évangélique, boulevard Gustave Garrisson.Culte musulmanLa mosquée As-Salam de MontaubanAutres cultesSalle du royaume des témoins de Jéhovah, chemin du Long. Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, rue de la Mandoune. Cimetière Urbain Cimetière du Pont du Chaume Cimetière du Fau Cimetière de Saint-Martial Cimetière de Falguières Cimetière de Fonneuve Cimetière de Gasseras Cimetière de Pouty Cimetire de la Molle

Économie

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 609 €, ce qui plaçait Montauban au 25 470e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole. En 2009, 50,9 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables. En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 35 990 personnes, parmi lesquelles on comptait 70,5 % d'actifs dont 61,2 % ayant un emploi et 9,3 % de chômeurs. On comptait 34 409 emplois dans la zone d'emploi, contre 28 756 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 22 213, l'indicateur de concentration d'emploi est de 154,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre trois emplois pour deux habitants actifs. Au 31 décembre 2010, Montauban comptait 6 186 établissements : 343 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 343 dans l'industrie, 501 dans la construction, 3 958 dans le commerce-transports-services divers et 1 041 étaient relatifs au secteur administratif. En 2011, 668 entreprises ont été créées à Montauban, dont 363 par des autoentrepreneurs. Le centre-ville et Villebourbon comprennent près de 3 958 entreprises.[réf. nécessaire]À noter également que Montauban est située à seulement une dizaine de kilomètres de la zone « Grand Sud Logistique », réalisée par le conseil général de Tarn-et-Garonne (450 ha - 2 000 emplois à terme), sur le territoire des communes de Campsas, Labastide-Saint-Pierre et Montbartier. Montauban est le siège : de la chambre de commerce et d'industrie de Montauban et de Tarn-et-Garonne ; de la biscuiterie Poult ; de la société d'équipements électro-acoustiques Bouyer ; de l'entreprise de sécurité et d'authentification Prooftag ; de l'un des trois sites français de la société APEM, leader en interfaces homme-machine, spécialisée dans la production des claviers professionnels ; des luminaires Delmas ; de la société d'agro-alimentaire Les Fils de A. Doumenge ; de l'entreprise Nature Bijoux, création, vente et importateur de bijoux de pierre naturelle à l'international ; du quotidien départemental d'informations locales Le Petit Journal, édité à Montauban et comprenant douze éditions (Tarn-et-Garonne, Aude, Aveyron, Lot, Lot-et-Garonne, Gers, Pyrénées-Orientales, Hérault, Midi-Toulousain, Comminges, Hautes-Pyrénées, Ariège) ; de la société Dragées Pécou, entreprise de dragées ; du syndicat patronal CGPME Midi-Pyrénées ; du quotidien d'information régional La Dépêche du Midi édition Tarn-et-Garonne, dont le siège est à Toulouse ; de la société Guéry Motos Sport, importateur des cyclomoteurs et motos espagnols Rieju pour la France ; de la Compagnie Funéraire d'Occitanie ( PF82 ) de la caisse primaire d'assurance maladie.Zone Industrielle de Montauban À Montauban il existe trois zones industrielles : Zone industrielle d'Albanord (ou d'Aussonne) : cette zone d'activité est la plus étendue de la ville. Elle regroupe plus de 400 entreprises et environ 4 000 emplois. D'autres projets existent, tels que la création de la ZAC "Les Prades" sur 25 hectares dans la continuité d'Albanord. Ce projet a pour but de rassembler des concessions automobiles et des entreprises artisanales. Les travaux de VRD se sont achevés en septembre 2016. Renault, Volvo, Citroën, Midi-Pyrénées Électricité se sont déjà installés. De plus, Leroy-Merlin a ouvert un magasin de plus de 11 000 m2 fin 2016 sur Albanord. Enfin, un retail park surnommé "Les Portes de Montauban" sera livré fin 2016. Plusieurs dizaines d'enseignes devraient s'installer. Un pôle artisanal porté par le promoteur Chambéry Transaction Investissement projette 3 600 m2 de surfaces commerciales. De son côte, la mairie envisage de réaliser un pole consacré à l'habitat durable. Zone Industrielle de Sapiac : Cette zone d'activité est plus petite que celle d'Albanord. Elle regroupe 131 entreprises et emploie 1 280 salariés. Zone Industrielle d'Albasud : ce site compte 230 entreprises et 3 700 emplois.

Culture locale et patrimoine

Montauban est classée ville d'art et d'histoire.