La société du jour: Lpb immobilier

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Lpb immobilier

La société Lpb immobilier a été créée le 1/12/2016, soit 7 années d'activités. Le siège de la société est basé à RODEZ 12000. Elle possède un seul établissement. Le gérant de la société est Pascal, Nicolas, Jacques BINOIS. Elle a un capital social de 1000 €. Son dernier bilan date du 26/3/2022. Lpb immobilier a choisi le statut juridique SAS, société par actions simplifiée. Elle opère sous le code NAF 68.10Z et évolue dans le secteur .

SAS, société par actions simplifiée, c'est quoi ?

Sigle

Le sigle ou acronyme SAS peut signifier :

Culture et société

Un sas (du latin médiéval s(a)etatium, « tamis », utilisé dans le sens de « destiné à trier le passage ») est un dispositif qui permet de passer d'un lieu à un autre, d'un environnement à un autre.

Patronyme

Sas est un nom de famille notamment porté par : Éva Sas, une personnalité politique française ; Jean Sas, un humoriste et animateur de radio et de télévision français.

Toponyme

Sas, Šas ou Saš est un nom de lieu notamment porté par : Šas, un village de la municipalité d'Ulcinj, dans le sud-est du Monténégro ; Saš, un village de la municipalité de Tutin, en Serbie ; Sas de Gand, une petite ville de Zélande, aux Pays-Bas.

68.10Z -

Le code APE - NAF 6810Z est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 35 616 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 6 003 salariés, essentiellement des agents immobilier et des hôteliers.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 6810Z : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 6810Z est : "Activités des marchands de biens immobiliers".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Activités des marchands de biens immobiliers, les salariés de cette branche sont essentiellement des agents immobilier et des hôteliers.

La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Pour être en conformité avec la loi, vous avez besoin de votre convention collective à jour en permanence des derniers accords, même non étendus. Voir les offres pour les conventions collectives du code NAF 6810Z.

Agents immobiliers faisant de la transaction ou gestion immobilière, la loi Hoguet vous impose d’être couvert par une assurance RC Pro.  Agents commerciaux immobiliers /mandataires, la loi Alur vous impose également d’être couvert par une RC Pro. Vous pouvez utilisez notre comparateur RC Pro afin de visualiser les différents contrats disponibles.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 6810Z. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Activités des marchands de biens immobiliers", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 6810Z est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers. 

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour les organismes de formation relevant de l'activité Activités des marchands de biens immobiliers :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Activités des marchands de biens immobiliers”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Lpb immobilier

L'établissement principal est domicilié au 3 imp du cimetiere, Rodez 12000. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Rodez 12000, il y a 44 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Rodez ?

Rodez (/ʁodɛs/ ou /ʁɔdɛz/ ; en occitan : Rodés, /ruˈðes/) est une commune française du Midi de la France, au nord-est de Toulouse. Elle est la préfecture du département de l'Aveyron en région Occitanie, siège de Rodez Agglomération, de la première circonscription de l'Aveyron ainsi que du conseil départemental de l'Aveyron. Ancienne capitale du Rouergue, la ville est siège du diocèse de Rodez et Vabres. Ses habitants sont appelés les Ruthénois, du nom des Rutènes, peuplade gauloise qui occupait jadis le territoire, l'ancien gentilé « Rodanois » ayant cédé la place à cette forme savante. Rodez constitue le principal bassin d'emploi du département, elle est aussi connue pour son club de football, le Rodez Aveyron Football (RAF).

Géographie

Situé dans le Sud-Ouest de la France, au cœur du triangle formé par Toulouse, Clermont-Ferrand et Montpellier, dans les contreforts ouest du Massif central, le pays ruthénois s'organise entre les vallées et hauts plateaux des Grands Causses et les collines humides du Ségala. Il s'étend autour de Rodez Agglomération, communauté d'agglomération de 55 000 habitants. Rodez est limitrophe de cinq autres communes. Le territoire de Rodez est un condensé d'une diversité géologique. Il est à cheval sur le socle ancien du Ségala formé de terres siliceuses acides, des Rougiers au sol constitué d'argilites rouges, et des causses composés de calcaires et de marnes. La ville a été construite sur un relief isolé de forme conique, localement appelé « Le Piton », et s’est peu à peu étendue sur les pentes avoisinantes. Sur le piton ruthénois, plusieurs voies de circulation présentent une pente importante ; la rue Saint-Martin a une pente moyenne de 23 %. Elle se situe dans une zone de sismicité 2, autrement dit à un niveau faible. La commune est traversée, en contrebas, par l'Aveyron et par le ruisseau de l'Auterne. Leurs rives sont des lieux de pêche importants ou de balades grâce aux espaces verts que propose le quartier de Layoule. Plusieurs secteurs de la commune sont soumis au risque d'inondation : Layoule, la Mouline. La presse locale retrace ces crues : mars 1901 mars 1930 décembre 1959 14 décembre 1981 décembre 2003 Le climat de Rodez fait partie de l'étage supra-méditerranéen. Sous l'influence d'un climat semi-continental en hiver, et méditerranéen en été, Rodez reste une ville froide par rapport aux autres villes du Midi de la France. Les hivers y sont vifs tout comme les étés souvent très chauds et ensoleillés. En période hivernale, Rodez connaît des épisodes neigeux assez ponctuels du fait de sa faible altitude (550 mètres environ), au contraire d'autres villes du nord du département, plus proches du plateau de l'Aubrac et donc plus élevées. En 2011, avec près de 2 400 heures/an de soleil et 304 jours de soleil par an, Rodez est au 2407e rang des villes en termes d'ensoleillement en France, soit nettement au-dessus de la moyenne nationale. Le 28 janvier 2006, Rodez a connu un important épisode neigeux. Un mètre de neige poudreuse et très adhérente s'est abattu sur l'agglomération, paralysant pendant plusieurs jours l'économie et la vie du Piton. La ville et l'agglomération se situent au bord de la RN 88, l'axe Toulouse - Lyon, voie indispensable à son développement économique et touristique et joue un rôle complémentaire avec les principales agglomérations de la région, Toulouse, Albi et Castres, avec lesquelles elle développe des liens de collaborations. Dès 2005, le département de l'Aveyron a poursuivi son désenclavement en termes d'outils de communication. La rocade de Rodez, ceinturant l'agglomération du Grand Rodez et aménagée progressivement en boulevard urbain à 2×2 voies, permet de desservir les lieux stratégiques de l'agglomération ruthénoise. Une continuité à 2x2 de voies sur l'ensemble de la rocade devait voir le jour dans le cadre du plan 2014-2018. Le projet a pris du retard mais avance. La préfète a signé en avril 2021 l'arrêté de Déclaration d'Utilité Publique concernant les trois giratoires dénivelés prévus aux Moutiers, à La Gineste et à Saint-Marc. À noter que le principe d'un grand contournement a finalement été écarté car seulement 10 % du trafic aurait ainsi été drainé, pour un coût de plusieurs centaines de millions d'euros.En 2009, l'aéroport de Rodez-Aveyron a connu une mutation avec l'agrandissement de son aérogare et l'ouverture de nouvelles destinations régulières internationales.

Urbanisme

Rodez est une ville ancienne, la voirie devient de plus en plus étroite au fur et à mesure que l'on se rapproche du Vieux-Rodez et les vestiges de l’ancienne ville forteresse restent fortement présents sous la forme de remparts. Son hyper-centre est étendu, au fil des nombreuses rues et ruelles piétonnes entre les places du Bourg, de l'Olmet, de la Cité ou de la Madeleine, on y découvre des maisons typiques dans un cadre historique le plus souvent préservé. Sur ces places se tiennent les marchés ou foires tandis que le passage du Mazel accueille un commerce quotidien de produits frais et de saison. Les rues piétonnes, très concentrées dans le vieux-centre, sont aujourd'hui un lieu de vie accompagné de nombreuses enseignes commerciales. Au-delà, l'avenue Victor-Hugo est une longue avenue rectiligne longée d'arbres, aboutissant sur un carrefour central, la place d'Armes, permettant d'accéder notamment aux boulevards situés à la périphérie du centre-ville. La circulation routière s'effectue tout autour des remparts situés sur les boulevards d'Estourmel, Belle-Isle, Denys-Puech et Flaugergues encerclant le centre et desservant par des rues parallèles ce cœur historique. Au-delà du Vieux-Rodez, la ville s'est étendue au cours du XXe siècle. Afin de répondre aux exigences de l’époque, de nouveaux quartiers et zones économiques se sont développés. Rodez a été, durant l'après-guerre, la ville moyenne qui a le plus bâti au-delà de ses boulevards circulaires. Finalement, la réalisation du viaduc de Bourran a permis l'extension de la ville au-delà de la vallée de l'Auterne. La ville de Rodez fait partie des Grands Sites d'Occitanie. Elle poursuit son travail pour obtenir le label Ville d'Art et d'Histoire et souhaite déposer sa candidature au patrimoine mondial de l'Unesco. Ainsi, le centre historique - et les aménagements en lien - ont pour but de répondre aux critères de ces institutions. La commune est divisée en cinq grands quartiers : Rodez dispose de nombreux logements locatifs. De plus, la moyenne des nouveaux logements est de quatre pièces. Son parc de logement reste assez jeune, 59 % des logements sont postérieurs à la Seconde Guerre mondiale. Malgré cela, l'urbanisme progresse de jour en jour et les habitations et autres locaux commerciaux augmentent de 23 % chaque année. En ce qui concerne le logement social et particulièrement la Loi SRU initiant un quota minimum de 20 % de logements sociaux pour les villes, Rodez était à 10 % en 2007, et stagne aux alentours des 12 % en 2011.

Toponymie

Durant l'Antiquité, sous l'occupation romaine, la cité était nommée Segodunum. Les racines sego « fort » et dunum « colline », d'où Segodunum « haute colline, place forte », sont à l’origine du nom gaulois de Rodez. Au Bas-Empire, la ville sera baptisée la Civitas Rutenorum, la ville des Rutènes. Puis, elle devint Ruteni et finalement Rodez. Rodez se prononce « Rodess » [ʀodɛs] en français local. On trouve l'explication de cette prononciation locale en regardant l'orthographe de la ville en occitan : Rodés, qui se prononce « Rroudéss » [rruˈðes]. Rodez a été graphié avec un z final à la place du s pour maintenir le e fermé de l'occitan et éviter qu'il ne devienne muet.

Histoire

Rodez est une ville deux fois millénaire : son existence remonterait au Ve siècle av. J.-C., lorsqu'une peuplade celtique d'Europe centrale, les Rutènes, s’arrêta au sud de l'Auvergne pour fonder l'un de ces oppida caractéristiques de la civilisation gauloise, celui de Segdunon romanisé en Segodunum. De nombreux éléments de patrimoines témoignent de la romanisation de Segodunum. Segodunum perdit son nom pour devenir Rogomatus Ruteniis (signifiant « le marché aux Ruthènes ») qui est devenu Rudez en occitan médiéval où le Z n'est là que pour indiquer que la finale est tonique (prononcé : [s]) Des travaux au début de l'année 2020 en bas de la rue Pasteur, à l'angle de la rue de l’Amphithéâtre, permettent l'excavation d'une nouvelle partie de l'antique amphithéatre romain de Segodonum. Cette nouvelle découverte témoigne des très nombreux vestiges de l'Antiquité présents à Rodez, comme en témoignent d'autres travaux place de la Cité ou du Sacré-Cœur. Alors que le christianisme se répandait dans la foulée de l'action évangélisatrice de Saint Amans, la ville n'échappa pas aux troubles des temps barbares qui suivirent la chute de l'Empire romain. Rodez a été successivement occupée par les Wisigoths, les Francs, les armées des ducs d'Aquitaine et des comtes de Toulouse, ainsi que par les Maures, qui l'investirent en 725 et mirent à bas l'église antique. Quelques siècles plus tard, ce seront les Anglais qui l'investiront lors de la guerre de Cent Ans. L'histoire de la ville resta marquée durant longtemps par une intense rivalité entre les comtes de Rodez, maîtres du Bourg, et les évêques de Rodez, maîtres de la Cité. Une muraille délimitait les deux secteurs. Chaque communauté avait un hôtel de ville, ses consuls, une administration propre ; chacune rivalisant de puissance, de rayonnement. Au bourg, la célèbre dynastie des comtes d'Armagnac et de Rodez, finit par acquérir des privilèges régaliens : battre monnaie à la tour Martelenque, porter la couronne comtale et persister à reconnaître un temps l'antipape Benoît XIII et ses héritiers Bernard Garnier et Jean Carrier. Cela amena inévitablement l'affrontement avec le roi de France en 1443. Le dauphin, futur Louis XI, vint occuper Rodez et soumettre le comte Jean IV. Plus tard, son fils aura une idée séditieuse en essayant de trahir Louis XI. Cela lui vaudra d'être massacré à Lectoure, avec sa famille, lors de sa fuite. Au début du XVIe siècle, Rodez fut marquée par l'évêque François d'Estaing (issu d'une des plus célèbres familles du Rouergue). Il termina les travaux de construction de la cathédrale Notre-Dame de Rodez. Lui ajoutant ce chef-d'œuvre architectural qu'est le clocher, culminant à 87 mètres, surmonté d'une Vierge, encore aujourd'hui le plus haut clocher plat de France. Les travaux furent achevés en quinze années de 1510 à 1526 et ce malgré la peste qui ravageait la ville. Cette rivalité entre les deux pouvoirs a quelque peu desservi le développement de la cité ruthénoise. Malgré les témoignages que sont ses nombreux chefs-d'œuvre gothiques réalisés du XIIIe au XVIe siècle, la ville n'a pas vraiment connu de longues périodes de prospérité. En 1589, Henri IV, comte de Rodez, attache la destinée du comté de Rodez à la Couronne. L'histoire de Rodez se calque alors sur celle de la France. Au long des XVIIe et XVIIIe siècles, Rodez devient une cité marchande prospère. Rodez était divisée en 6 paroisses : Notre-Dame (cathédrale, faubourg) Saint-Amans, comprenant le hameau de Pont-Viel, une grande partie du territoire de l'actuelle commune d'Olemps (Olemps, la Mouline, Toizac, Linars, Bénéchou) et une partie de la commune du Monastère (Foulhoubous) Sainte-Catherine la Madeleine (église démolie en l'an VI) Saint-Martin-des-Prés (secteur de Layoule) Saint-Félix : domaine de Saint-Félix, Calcomier, la Peyrinie, et toute la vallée du ruisseau de Fontanges située sur l'actuelle commune d'Onet-le-Château (Canaguet, Fontanges, Floyrac, Labro, Vabre, Puech Baurez, Flars) La Révolution ôtera à Villefranche-de-Rouergue, la vieille rivale de Rodez, son rôle de capitale administrative au profit de Rodez, qui devient préfecture et chef-lieu de district du nouveau département de l'Aveyron en raison de sa position centrale. Le patrimoine religieux de la ville n'est que partiellement dégradé. En juin 1792, les scientifiques de l'époque se soucient de connaître la mesure exacte du mètre. Rodez va être un élément « central » pour accomplir cette mesure. En effet, Jean-Baptiste Joseph Delambre est chargé de mesurer la distance entre Dunkerque et Rodez pendant que Pierre Méchain mesure celle entre Barcelone et Rodez. Ils devaient se retrouver à Rodez pour mettre en commun leurs mesures et déterminer la valeur du mètre. En 1793, à Montjouy et Barcelone, Méchain détecta une incohérence entre les longueurs relevées et le relevé astronomique de la position des étoiles. La guerre franco-espagnole l'empêcha de réitérer ses mesures. Cet écart (qui n'était en fait pas dû à une erreur de manipulation mais à l'incertitude des instruments utilisés) le plonge dans un profond trouble, et il met tout en œuvre pour éviter de devoir rendre compte de ses travaux à Paris. En 1799, il se résigne à se rendre à une conférence internationale qui salue son œuvre scientifique. En 1798, est créée la Société centrale d'agriculture de l'Aveyron. Sous la Restauration, l'affaire Fualdès défraye la chronique judiciaire, donnant lieu à de très controversés procès et exécutions capitales. Rodez a reçu à cette occasion de nombreux journalistes qui décriront les mœurs ruthénoises sous un aspect très subjectif et lui vaudront la réputation d'être « la ville où l'on égorge des gens comme des cochons » jusque dans les années 1920. Le XIXe siècle connaît également un renouveau culturel. En 1836, est fondée sur l'initiative d'Hippolyte de Barrau, la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron. Les principaux notables du département s'investissent dans la vie culturelle de la province. La modernisation de Rodez s'effectue très lentement au cours du XIXe siècle. Peu à peu, Rodez évolue en affirmant et développant son rôle de chef-lieu du département de l'Aveyron à partir du XXIe siècle, créant sa propre économie et son indépendance, tout en restant en lien avec Toulouse. C'est ainsi qu'à partir de cette période, de nombreux équipements sont apparus tels que l'hôpital Jacques Puel, le développement de la plate forme aéroportuaire de Marcillac, la connexion de Rodez au très haut débit, l'esplanade du foirail avec son multiplexe de cinémas, son musée Pierre-Soulages ou sa salle des fêtes.

Politique et administration

Rodez est le chef-lieu de la communauté Rodez Agglomération dont le siège est au 1 place Adrien-Rozier. Créée en 1964 et d'abord constituée en district, elle est ensuite devenue communauté d'agglomération le 20 décembre 1999. Aujourd'hui, elle compte huit communes. La commune, maillon important du sud du Massif central, est également proche d'autres villes situées au sud-ouest comme Toulouse ou Albi, ainsi que dans le centre et le nord du Massif central telles que Aurillac et Mende avec lesquelles elle forme le réseau de ville Estelle. Enfin, on note l'existence de l'Espace urbain Rodez-Decazeville. La ville de Rodez est le siège du conseil départemental de l'Aveyron et du conseil de la communauté Rodez Agglomération. L'agglomération dispose d'une caserne de sapeurs-pompiers, d'une police municipale, d'un SAMU et d'un SMUR, d'un Centre antipoison et d'une maison d'arrêt tandis que l'État administre la préfecture du département, la brigade de gendarmerie. La maison d'arrêt de Druelle a une capacité d'environ 100 détenus, uniquement des hommes, dont dix pour des personnes bénéficiant du régime de semi-liberté En 2021, il y avait 140 détenus. Enfin, toutes les administrations de l'État sont présentes à Rodez (hôtel des impôts, banque de France, sécurité-sociale, caisse d'allocations familiales…). Pour les juridictions, elle possède un tribunal d'instance et de grande instance doté de cours d'assises, d'un tribunal de commerce, d'un conseil des prud'hommes et d'un tribunal pour enfants. La Cour d'appel se situe à Montpellier. Rodez est le chef-lieu de trois cantons : Rodez-Nord regroupe les communes d'Onet-le-Château, Sébazac-Concourès et une petite partie de Rodez. Rodez-Est regroupe les communes de Sainte-Radegonde, du Monastère ainsi qu'une portion de Rodez. Rodez-Ouest regroupe les communes de Luc-la-Primaube, Olemps, Druelle et une partie du sud-ouest de Rodez. Au 1er janvier 2021, Rodez est jumelée avec : Bamberg (Allemagne) depuis 1970, située au sud du pays, dans le Land de Bavière. Le conseil municipal comporte 35 élus dont 28 LREM-PS et 7 pour l'opposition.

Population et société

La commune est située dans l'Académie de Toulouse. La ville administre cinq écoles maternelles et six écoles élémentaires communales. Le département gère deux collèges et la région trois lycées. L'enseignement supérieur est représenté par l'Institut national universitaire Jean-François-Champollion créé en 2015 et qui devrait disposer d'un nouveau campus en 2023. Siège de l'Armée de Terre de l'Aveyron situé à Rodez, près de Bourran. Les régiments dont le casernement fut à Rodez : 81e régiment d'infanterie de ligne (1879 - 1897) 122e régiment d'infanterie de ligne (1913)Éléments non endivisionnés : 322e régiment d'infanterie, issu du 122e régiment d'infanterie en 1914 124e régiment d'infanterie territoriale L'été, la ville propose de nombreuses animations et évènements festifs. Les trois musées et les nombreuses galeries d'Art (Galerie Sainte-Catherine entre autres) attirent de nombreux touristes. Enfin côté jeunes, des associations d'étudiants du Grand Rodez sont présentes et, de plus, tout au long de l'année, de nombreux bars-restaurants et bars-discothèques présents sur la ville participent à l'animation du piton ruthénois («terrasses en fêtes», par exemple).

Économie

Rodez s'affirme d'un point de vue économique et touristique au centre d'un triangle formé au sud-ouest par Toulouse, préfecture de région située à 130 kilomètres du piton ruthénois, au sud-est par Montpellier à 180 kilomètres et au nord par Clermont-Ferrand cependant plus éloigné, situé à 260 kilomètres. Ville de province supérieure à 20 000 habitants, Rodez est, selon l'INSEE la 13e entité urbaine de France la plus prospère juste derrière la plupart des villes d'Île-de-France telles que Saint-Cloud, Courbevoie, Paris ou encore Suresnes. 28e ville où il y a le plus «d'emplois sur place», Rodez est aussi la 91e commune de France en termes de jeunes entreprises viables par habitant (1 pour 116 habitants) et la 157e en termes de part des foyers imposés soit 58% (nettement supérieur à la moyenne nationale). Ce résultat peut s'expliquer par deux mécanismes. Premièrement, la diversité du tissu économique fait que les entreprises de Rodez touchent à des domaines nombreux et variés. D'autre part Rodez fut pendant de nombreuses années enclavée des grandes économies nationales sans moyen de communications compétents. Pour cela, elle s'est efforcée par ses propres compétences de produire et construire son propre panel d'entreprises afin de faire vivre son territoire.

Culture locale et patrimoine

La plupart des édifices importants de la ville sont situés dans ce que l'on appelle le Vieux-Rodez. De plus, de nombreux édifices, maisons, places, lieux de cultes, châteaux sont inscrits et protégés par l'État. Depuis le 3 février 2012, le piton ruthénois est classé parmi les « Grands Sites d'Occitanie »,. Rodez a également reçu le label Villes et Pays d'art et d'histoire et une commission de pilotage prépare la candidature de Rodez pour une éventuelle inscription au Patrimoine mondial de l'UNESCO,. Centre Culturel L'Amphithéâtre offre des fonctions de sport avec plusieurs salles de sports concernant plusieurs disciplines (escrime, escalade, badminton, danse, etc.) ainsi qu'une grande salle pouvant accueillir jusqu'à 3 000 personnes et étant modulable pour des congrès, salons, conférences, débats, colloques, spectacles ou encore représentations théâtrale. De plus, concernant spectacles, concerts et autres représentations artistiques, la programmation de l'établissement offre une grande place à des artistes internationalement reconnus. Maison de la Jeunesse et de la Culture offre des possibilités pour le théâtre et les spectacles, les animations, ou encore congrès et conférences, les expositions (jauge de plusieurs salles). Salle des Fêtes : près des Haras et du stade Paul-Lignon, la salle des fêtes de 2 800 m2 a été inaugurée le 7 janvier 2012 par son concepteur, Emmanuel Nebout et des représentants politiques. D'une architecture futuriste et originale, elle marque la césure totale entre le centre historique et ce nouveau quartier. Elle a la particularité d'offrir une vaste zone découverte et sa configuration lui permet d'accueillir grâce à ses équipements (loges, vestiaires, scène, moyens audio-visuels, grand écran, scène) des salons, expositions, fêtes, manifestations d'associations, d'entreprises. À cette salle, en est juxtaposée une autre (qui peut être scindée en deux). Elle peut faire office de vestiaire ou de bar, voire de salle de réunion. Enfin, dans les étages, 3 salles de réunions sont disponibles. L'ensemble du bâtiment entre en synergie et complémentarité avec la restructuration et l'agrandissement du stade Paul-Lignon, et d'une manière plus large, avec le Multiplexe et le Musée afin de répondre à des manifestations économiques ou culturelles. Palais des Congrès : boulevard de la République, il répond à une vocation économique pour les entreprises, les associations grâce à plusieurs salles de commission et un amphithéâtre et hall d'expositions. École nationale de musique du Grand-Rodez : Musiques, expositions, conférences et débats. Théâtre du Grand Rodez à Onet le Château, La Baleine : l'acoustique y est particulièrement étudiée pour le spectacle vivant et la parole (théâtre, musique symphonique, art lyrique). Cet édifice se situe sur la commune d'Onet-le-Château et peut également accueillir congrès et conférences avec un équipement de retransmission, d'image et de son doté des dernières technologies. Le théâtre ou plus exactement la salle de spectacle occupe 6 000 m2 pour 500 places au service de la culture. En effet, ce théâtre se compose de 3 niveaux sur 2 000 m2, entre locaux techniques, hall d’entrée, salle de spectacle de 2 000 m2 avec plateau de 240 m2, coulisses, deux loges collectives, trois loges individuelles, une loge rapide, bureaux d’administrations, une salle de répétition, deux régies (dont une mobile), vestiaires, deux ascenseurs pour personnes à mobilités réduites. Enfin cette salle de spectacle de 500 sièges est modulable pour 300 ou 500 places. Avec une programmation culturelle prestigieuse, cet édifice est un haut lieu de la culture en Occitanie. Parc des Expositions de Malan : Projet à vocation économique et culturelle, situé en bordure de la RN 88, ce lieu sera modulable en congrès, salons, spectacles en fonction des manifestations, pourra proposer des lieux d'animations et de restauration. Il pourra accueillir jusqu'à 3 000 personnes. Le chantier du parc des expositions de Malan débutera "avant la fin de l'actuel mandat de l’agglomération" soit avant 2020. Plusieurs salles municipales (camping municipal, Calcomier, Saint-Éloi, maison des associations grange de Vabres et parking Foch) pour des réunions, activités, manifestations. Henri de Sévery (NC-1396) né à Sévery, mort à Rodez, régent, vice-recteur et recteur du Comtat Venaissin, évêque de Saint-Jean-de-Maurienne puis évêque de Rodez. Gabriel-Maria Nicolas (1462-1532) franciscain mort à Rodez, cofondateur de l'ordre de l'Annonciation de la Vierge Marie. François d'Estaing (1501-1529), évêque de Rodez. Laurent Macte ou Macty, médecin originaire de Colmars (Alpes-de-Haute-Provence). Il quitta cette ville en 1564 pour étudier la médecine à Montpellier puis, en 1567, vint exercer sa profession à Rodez. Il a laissé un livre de raison évoquant les troubles de son époque et ses manifestations à Rodez. La Société des Lettres, Sciences et Arts de l'Aveyron a étudié et relaté dans le tome 25 de ses Mémoires en 1942 le « journal » de ce personnage. Laurent Macte est décédé le 11 septembre 1598 à Rodez. Ambroise Crozat, peintre né à Rodez dans la première moitié du XVIIIe siècle. Jean Calmette (1692-1740), jésuite, missionnaire en Inde, Indianiste, est né à Rodez. Jean-Chrysostôme de Villaret (né à Rodez en 1739-1824), évêque sous le Premier Empire. Charles Carnus (1749-1792), homme d'église, scientifique, spéléologue. Antoine Claude Dièche, général de division et révolutionnaire français, né à Rodez. Antoine Bernardin Fualdès (1761-1817), procureur assassiné. Sébastien Viala (1763-1848), général de brigade (1806), chevalier de l'Empire (lettres patentes du 22 octobre 1810), maire de Rodez. Jean-Alexis Béteille (1763-1847), général français de la Gendarmerie. Félix Hippolyte Monseignat du Cluzel, (1764-1840), homme politique, membre du Conseil des Cinq-Cents. Jean-Pierre Raymond Merlin, (1767-1838), conseiller général de l'Aveyron, député-maire de Rodez. Amans-Alexis Monteil (1769-1850), historien né à Rodez. Un lycée porte son nom. Jean-Joseph Tarayre (1770-1855), général français de la Révolution et de l’Empire, mort à Rodez. Raymond Gayrard, graveur et sculpteur, né en 1777 à Rodez, mort en 1858 à Paris (on lui doit la statue de Samson qui ornait la place d'Armes à Rodez). Hippolyte de Barrau (1794-1863), historien et fondateur de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron. Eugène de Barrau (1801-1887), frère du précédent, avocat, historien, vice-président de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, légitimiste. François Mahoux (Rodez, 22 juillet 1835 - Rodez, 4 avril 1901), sculpteur ruthénois qui a formé Denys Puech (1854-1942) et Marc Robert (1875-1962). Amans Joseph Fabre (1842-1916), écrivain, historien, député puis sénateur de l'Aveyron. Maurice Bompard (1857-1935), peintre, l’un des fondateurs de la Société des peintres orientalistes français. Certaines de ses œuvres sont exposées au musée Denys-Puech. Eugène Loup (1867-1948), peintre. Léon Froment (1869-1934), compositeur, folkloriste, organiste de la cathédrale, mort à Rodez. Eugène Raynaldy (1869-1938), homme politique français né à Rodez, il fut sénateur de l'Aveyron de 1930 à 1938. Joseph Bastide, avocat, bâtonnier du barreau de Rodez, député conservateur en 1936 et 1945. Raymond Bonnefous (1893-1977), chirurgien, maire de Rodez, sénateur de l'Aveyron (1946-1971) et président du conseil général (1949-1976). Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (1894-1967), né Henri Grialou dans le quartier du Gua, il devient prêtre et entre dans l'Ordre du Carmel. Il a fondé l'Institut Notre-Dame de Vie. Il est en cours de béatification. Antonin Artaud (1896-1948), écrivain et poète, interné de février 1943 à mai 1946 à l'asile départemental d'aliénés de Paraire. Roland Boscary-Monsservin (1904-1988), homme politique français né à Rodez. Maurice Andrieu, député de la Haute-Garonne né à Rodez. Idebert Exbrayat, pasteur, né en 1913 à Calvisson, organisa à Rodez le sauvetage de nombreux juifs durant l'Occupation ; il fut nommé, comme sa femme, Juste parmi les nations. Henri de Rudelle (1910-1974), adjudant de la 2e DB, Compagnon de la Libération. Auguste Anglès (1914-1983), écrivain, résistant et universitaire français né à Rodez. Pierre Soulages (1919-2022), peintre, né à Rodez. Un musée lui est consacré à Rodez depuis 2014. Jean Fabre, international de rugby à XV français, occupant le poste de troisième ligne aile au Stade toulousain durant les années 1960, né en 1935 à Rodez. Marc Censi, né à Rodez le 24 janvier 1936, homme politique, maire de Rodez de 1983 à 2008 et président du conseil régional de Midi-Pyrénées de 1988 à 1998. Anne-Marie Escoffier, actuelle ministre déléguée chargée de la Décentralisation, conseillère générale du canton de Rignac auprès du conseil départemental de l'Aveyron à Rodez, ancienne préfète et sénatrice de l'Aveyron entre avril 1999 et septembre 2001 et entre octobre 2008 et juillet 2012. Jacques Puel (1949-2008), premier cardio-chirurgien ruthénois à implanter une endoprothèse coronarienne, dénommé stent, chez l'homme en 1986. Bertrand Delanoë, ancien maire de Paris, a passé son adolescence à Rodez et étudia au lycée privé François-d'Estaing. Dominique Reynié (1960-), politologue, né à Rodez. Gilbert Pagès, né en 1961 rugbyman au Stade ruthénois, Castres Olympique et au Stade olympique millavois. Richard Ferrand, né à Rodez en 1962, personnalité politique. Coyote (1962-2015), dessinateur de BD notamment de la série des Litteul Kévin, est né à Rodez. Bernard Laporte, né à Rodez en 1964, ancien secrétaire d'État des sports, ex-sélectionneur de l'équipe de France de rugby à XV, ex-joueur de l'UA Gaillac, et du CA Bèglais, ex-entraîneur du Stade bordelais et du Stade Français, manager du RC Toulon, président de la Fédération française de rugby depuis décembre 2016. Frédéric Hantz, né en 1966 à Rodez, a commencé et terminé sa carrière de joueur de football dans le club local, puis y a commencé sa carrière d'entraîneur. Cyril Savy, né en 1968, rugbyman au Stade ruthénois, FC Grenoble, Castres Olympique et au Racing Club de France. Gaëtan Roussel, né le 13 octobre 1972 à Rodez, chanteur et fondateur du groupe rock Louise Attaque. Olivier Asmaker, ancien coureur cycliste et équipier de Laurent Jalabert, y a grandi. Cyril Lignac, cuisinier et animateur sur M6, est né le 5 novembre 1977 à Rodez, habitait Onet-le-Château et étudia en Aveyron. Julien Pierre, international de rugby, deuxième ligne de l'ASM Clermont Auvergne, né en 1981 à Rodez. Sabrina Viguier (°1981), footballeuse française qui joue actuellement pour l'Olympique Lyonnais et en équipe de France de football (dernière sélection en 2011). Alexandre Geniez, coureur cycliste professionnel y est né en 1988.

Pour approfondir

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