La société du jour: Afpi insertion poitou charente

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Afpi insertion poitou charente

La société Afpi insertion poitou charente a été créée le 19/11/2012, soit 11 années d'activités. Le siège de la société est basé à ANGOULEME 16000. Elle possède un seul établissement. Son dernier bilan date du 29/8/2022. Elle emploie 10 à 19 salariés. Afpi insertion poitou charente a choisi le statut juridique Association déclarée. Elle opère sous le code NAF 85.59A et évolue dans le secteur .

85.59A -

Le code APE - NAF 8559A est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 52 978 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 88 302 salariés, essentiellement des formateurs, des chargés de formation et des tuteurs en entreprise.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 8559A : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 8559A est : "Formation continue d'adultes".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Formation continue d'adultes, les salariés de cette branche sont essentiellement des formateurs, des chargés de formation et des tuteurs en entreprise.

La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Pour être en conformité avec la loi, vous avez besoin de votre convention collective à jour en permanence des derniers accords, même non étendus. Voir les offres pour les conventions collectives du code NAF 8559A.

Cette assurance est recommandée pour tous, même si elle n’est imposée qu’aux professions réglementées. La RC Pro couvre les dommages corporels, matériels et immatériels causés à autrui dans le cadre professionnel. Ces dommages peuvent être coûteux, et vous devrez payer de votre poche si vous n’êtes pas couvert. Vous pouvez effectuer un devis en ligne sans engagement et sans laisser vos coordonnées sur notre comparateur RC Pro.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 8559A. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Formation continue d'adultes", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L’activité 8559A est une activité non-commerciale, par conséquent le régime est celui des bénéfices non commerciaux (BNC) et non la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) ont été remplacés par le guichet unique qui centralise désormais l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité. Le nouveau registre d'immatriculation des entreprises est le RNE (Répertoire National des Entreprises). Le guichet unique est accessible via le site de l'INPI.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Registre National des entreprises.

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour les organismes de formation relevant de l'activité Formation continue d'adultes :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Formation continue d'adultes”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Afpi insertion poitou charente

L'établissement principal est domicilié au 33 rue de l'arsenal, Angouleme 16000. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Angouleme 16000, il y a 103 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Angouleme ?

Angoulême est une commune française, préfecture du département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine. Établie sur un éperon dominant un méandre de la Charente et les confluents de celle-ci avec la Touvre et l'Anguienne, la ville est surnommée le balcon du Sud-Ouest. La commune compte moins de 50 000 habitants (41 970 en 2013), mais elle est le centre d'une agglomération rassemblant près de 110 000 habitants (107 652 en 2012, au 60e rang des plus grandes agglomérations en France) au sein d'une conurbation qui s'étend sur une quinzaine de kilomètres d'est en ouest. Angoulême fait aussi partie d'une communauté d'agglomération appelée GrandAngoulême comportant plus de 140 000 habitants en 2017. Ancienne capitale de l'Angoumois sous l'Ancien Régime, Angoulême a longtemps été une place forte convoitée en raison de sa position de carrefour de voies de communication importantes, et a subi de nombreux sièges. De son passé tumultueux, la cité, juchée sur son éperon rocheux et reconnue ville d'art et d'histoire, a hérité d'un remarquable patrimoine historique, religieux et urbain qui attire de nombreux visiteurs et touristes de passage. Aujourd'hui, Angoulême occupe le centre d'une agglomération demeurant parmi les plus industrialisées entre Loire et Garonne (industrie papetière établie au XVIe siècle, fonderie et électromécanique développées à une période plus récente). C'est également une ville commerciale et administrative, dotée d'un centre universitaire, et d'une vie culturelle remarquablement animée. Celle-ci est dominée par le célèbre Festival international de la bande dessinée qui contribue largement au renom international de la cité, ainsi que par le Festival du film francophone.

Géographie

Angoulême, ville acropole, est située sur un éperon calcaire, appelé localement le Plateau, et dominant une boucle de la Charente, limitée en amont par la confluence de la Touvre et en aval par celles de l'Anguienne et des Eaux Claires.

Urbanisme

Angoulême est une commune urbaine,. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes et 109 055 habitants en 2017, dont elle est ville-centre,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,. Le Champ de Mars, place centrale de la ville, accueille depuis septembre 2007 une galerie marchande souterraine. La rocade Est a été ouverte en 2004 (2010 pour la dernière tranche), ce qui a désenclavé plusieurs quartiers. La déviation de la N10 qui contourne la ville depuis 1973 assure en plus le rôle de rocade Ouest depuis 2004[réf. nécessaire], date à laquelle le projet initial par Fléac-Linars a été abandonné. Des opérations de réhabilitation de logements collectifs ont été réalisées dans le cadre de l'opération de renouvellement urbain de l'État. Les quartiers de la Grande Garenne, Basseau, Ma Campagne, Bel-Air et Grand-Font sont intégrés au sein de trois quartiers prioritaires, rassemblant un total de 7 444 habitants en 2018. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (80,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (56,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,4 %), forêts (9,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), prairies (2,6 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Le vieil Angoulême est la partie ancienne, entre le rempart et le centre-ville aux ruelles tortueuses et petites places. Le centre-ville, situé aussi sur le plateau, a été dépeint par Honoré de Balzac dans Illusions perdues : « en haut la noblesse et le pouvoir ». Château, mairie, préfecture, cathédrale et riches demeures s'y côtoient. Mais contrairement au vieil Angoulême, l'ensemble du centre-ville a été très remanié au XIXe siècle. Autour, les anciens faubourgs étaient au nombre de cinq, l'Houmeau, Saint-Cybard, Saint-Martin, Saint-Ausone et la Bussatte. Le quartier de l'Houmeau est quant à lui désigné sous la plume de Balzac par « en bas le commerce et l'argent » ; car ce quartier vivait du commerce, des bateliers et de leurs gabares. Le port de l'Houmeau fut créé en 1280 sur la rive gauche du fleuve, au pied du plateau. Il marquait le début de la partie navigable, qui allait d'Angoulême à la mer. Saint-Cybard, sur la rive droite de la Charente, s'est créé près de l'abbaye de Saint-Cybard située sur l'autre rive puis est devenu un quartier industriel et ouvrier avec ses papeteries, en particulier Le Nil. Saint-Martin, Saint-Ausone, est un quartier formé de deux anciennes paroisses à l'extérieur des remparts. La Bussatte dont le Champ de Mars est une esplanade transformée aujourd'hui en centre commercial, jouxte Saint-Gelais. Aujourd'hui, la ville compte quinze quartiers : Centre-ville ; Vieil Angoulême ; Saint-Ausone - Saint-Martin ; Saint-Gelais ; La Bussatte - Champ de Mars ; L'Houmeau ; Saint-Cybard ; Victor-Hugo, Saint-Roch est marqué par la présence militaire ; Basseau est un quartier qui s'est créé au XIXe siècle avec le port de Basseau, les usines dont la poudrerie nationale en 1821 et la papeterie Laroche-Joubert en 1842, puis le pont en 1850 ; Sillac - la Grande-Garenne est à la fois pavillonnaire et construit d'ensembles HLM ; Bel-Air, la Grand Font est le quartier de la gare et de l'ensemble immobilier des années 1950 de la Grand Font ; La Madeleine, qui lui est proche, a été totalement reconstruit après les bombardements de 1944 ; Ma Campagne est une zone détachée de la commune de Puymoyen en 1945 et construite en habitat collectif à partir de 1972 ; Le Petit Fresquet, lui aussi détaché de Puymoyen, est semi-rural. Frégeneuil est dans le même cas. Le territoire de la commune d'Angoulême est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle.

Toponymie

Le nom de la ville est attesté pour la première fois chez le poète Ausone dans une lettre à son disciple Tétrade, vers la fin du IVe siècle (vers 380 – 390) sous la forme Iculisma ; on trouve aussi à peine plus tard Eculisna, civitas Ecolismensium vers 400,, Ecolisima (sur une monnaie mérovingienne), Ecolisina et Aquilisima en 511, Ecolisna et Ecolisina dans le même texte, l'Histoire des Francs de Grégoire de Tours au VIe siècle, Egolisina au Xe siècle, Equalisma, Engolma, Egolesma, Engolisma,, Engolesme fin XIIe siècle. L'évolution du c en g et la nasalisation de la consonne initiale n'apparaissent donc que tardivement, autour de l'an mil. Ce nom est resté longtemps incompris, ce qui a engendré diverses tentatives d'explications étymologiques, sans rapport avec les formes anciennes bien attestées, et peu probables phonétiquement : Elle serait issue d'incolumissima « très saine et sûre », or, il n'y a aucune trace d'un [n] dans les formes les plus anciennes et pas de trace d'un groupe [mi] non plus. Elle serait une altération d'In collisnâ qui signifierait « sur la partie supérieure de la colline ». Or, un toponyme n'est jamais formé à partir de la préposition latine in ; quant au mot colline en français, il passe pour un emprunt à l'italien collina à l'époque de la Renaissance (attesté pour la première fois en 1555). En outre, le suffixe -isnâ n'a pas servi à produire des dérivés à partir de mots latins et on ignore même s'il existe. Enfin, les altérations indépendantes des évolutions phonétiques régulières se produisent sous l'effet de l'analogie ou plus précisément de l'étymologie populaire, c'est-à-dire l'analogie avec d'autres noms semblables et fréquents dans la région ou la tentative de relier le toponyme à un terme faisant sens.Quelques hypothèses mieux fondées ont été proposées : L'identification de la forme primitive comme étant Eculisna, puis l'alternance des formes anciennes en -isna et -isma conduit Ernest Nègre à préférer les premières en -isna. Le premier élément serait Ecul-. Selon lui, on ne saurait ni affirmer de la celticité de ces deux éléments, ni de leur sens. L'altération en *Angulisma aurait été causée par l'attraction paronymique du nom de personne germanique Angelisma, dont l'existence est confirmée par Marie-Thérèse Morlet. On peut cependant reconnaître un suffixe -isma dans la forme la plus anciennement attestée, qui représenterait une évolution du suffixe surperlatif gaulois -isama que l'on retrouve dans le nom de la divinité gauloise Belisama, très fréquent en toponymie dans les types toponymiques Blesme, Bellême, etc., dont l'évolution de la finale -esme, -ême est semblable à celle d'Angoulême,. Dans cette perspective, le premier élément Icul- / Ecol- peut-être rapproché du radical gaulois ico/eco signifiant « eau, source » avec un caractère sacré : on connaît notamment par une dédicace le nom de la déesse Icauna à l'origine du nom de l'Yonne. Avec le suffixe superlatif -isma, Iculisma serait donc « la bien arrosée ».Cette dernière hypothèse est confirmée par un rapprochement proposé récemment par Pierre-Henri Billy entre le nom de la ville et le nom de l'Anguienne, le ruisseau dont la vallée longe au sud l'éperon sur lequel Angoulême est installée. Appelée fluvium Inguine au XIe siècle, puis Enguena au XIIe siècle, Pierre-Henri Billy analyse ce nom comme formé du radical eco- ou ico- et du suffixe hydronymique -enna, ce qui aboutirait à une forme initiale *Equenna. Une évolution identique à celle ayant affecté le nom de la ville aurait alors abouti à Enguena. Le nom de la ville serait formé sur celui du ruisseau avec ajout du suffixe superlatif -isama : *Equennisama> *Equennisma, qui aurait ensuite évolué en *Equelisma par dissimilation consonantique, puis Iculisma. Le nom d'Angoulême renverrait alors à « la très sacrée Icauna », déesse des sources, lesquelles sont effectivement nombreuses à la base du plateau sur lequel la ville est installée (sources alimentant l'Anguienne en particulier). À l'époque de la Révolution française, la ville est connue sous l'appellation transitoire de Montagne-Charente,. Le quartier de la Bussatte tiendrait son nom du bas latin buxetta / buxettum qui signifie « lieu planté de buis », équivalent des Boissay de langue d'oïl. Le quartier de l'Houmeau aurait été un « petit orme » ou « ormeau » ; le terme est vraisemblablement issu du bas latin ulmellum. Sillac serait issu du bas latin Siliacum ce qui signifie que le village aurait été construit autour de la propriété (suffixe -acum) d'un gallo-romain nommé Silius.Le nom de la ville en saintongeais est Engoulæme[réf. nécessaire].

Histoire

Politique et administration

La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'agenda 21 en 2008. Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué quatre fleurs à la commune. Angoulême est divisée en trois cantons : le canton d'Angoulême-1, formé avec la commune de Fléac, il compte 18 435 habitants dont 14 727 Angoumoisins ; le canton d'Angoulême-2, également composé de la ville de L'Isle-d'Espagnac, celui-ci est peuplé par 19 042 habitants dont 13 528 Angoumoisins ; le canton d'Angoulême-3, incluant la localité de Soyaux, est habité par 23 121 habitants parmi lesquels 13 826 Angoumoisins. GrandAngoulême regroupe depuis le 1er janvier 2017, 38 communes au lieu de 16 auparavant au sein de l'ancienne Communauté d'agglomération du Grand Angoulême. La population de l'agglomération est de 103 501 habitants en 2006 (102 368 en 1999). Celle-ci a évolué à 106 371 habitants en 2014, puis après la fusion, la nouvelle intercommunalité compte, d'après les relevés de 2015, 139 833 habitants. La fiscalité est d'un taux de 39,21 % sur le bâti, 76,9 % sur le non bâti, et 27,51 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2018). La communauté d'agglomération prélève 19,20 % de taxe professionnelle. En 2017, selon le budget principal voté en mars 2015, le budget municipal global s'équilibre à 145 939 836 €. La ville disposait de 22 emprunts d'un montant global 63 236 222 € d'un taux moyen de 3.55 % pour une durée moyenne de cinq ans et trois mois. Le désendettement en 2017 fut de 1 043 417 €. Rapportées au nombre de la population, les recettes réelles de fonctionnement se montent à 1 671,27 €/hab. et les dépenses à 1 492,66 €/hab.. L'encours de la dette est de 1 439,89 €/hab.. Angoulême a contracté quatre emprunts dont trois dit « toxiques » auprès de la banque Dexia. Le premier signé en 2006 de 16 325 575 € courant jusqu'en 2024 à taux variable indexé sur la parité dollar-yen ; le second signé en 2007 de 15 524 429 € et le troisième de 12 994 927 €, tous deux indexés sur la parité euro-franc suisse. À eux seuls, ces trois emprunts toxiques constituent la moitié de la dette de la municipalité. C'est pourquoi la ville s'est engagée dans une politique constante de désendettement qui donne de bons résultats puisque la dette est passée de 121 053 000 € en l'an 2000 (soit 2 613 €/hab.) à 88 149 000 € en 2006 (soit 1 953 €/hab.) puis à 72 602 000 € en 2013 (soit 1 635 €/hab.). En 2017, l'endettement tombe à 63 236 022 €. Enfin, Angoulême a contesté les emprunts toxiques en 2012 pour « défaut de conseil », et « erreur dans le calcul des taux d'intérêt ». Le jugement rendu par le tribunal de Nanterre le 4 juillet 2014 a condamné la banque Dexia à rembourser la ville à hauteur de 3,4 millions d'euros. Toutefois, la loi rétroactive sur les emprunts toxiques du 29 juillet 2014 rend caduque toute contestation judiciaire des emprunts toxiques. Le 9 février 2016, un accord a été signé entre la mairie et l'ex banque Dexia qui permet, en échange d'une indemnité d'1,8 million d'euros versée à la banque Dexia, une renégociation des montants des remboursements des trois emprunts litigieux. Leurs taux flottants deviennent ainsi fixes. La ville est jumelée avec neuf autres villes à travers le monde : Bury (Royaume-Uni) depuis 1959 ; Chaves (Portugal) depuis 2017 ; Chicoutimi (Québec) depuis 1969 ; Guelendjik (Russie) depuis 1977 ; Hildesheim (Allemagne) depuis 1965 ; Hoffman Estates (États-Unis) depuis 1996 ; Ségou (Mali) depuis 1984 ; Turda (Roumanie) depuis 1994 ; Vitoria-Gasteiz (Espagne) depuis 1967.

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Angoumoisins et ses habitantes les Angoumoisines.

Enseignement

Le Centre universitaire de la Charente, nommé Campus des Valois, est une antenne de l'université de Poitiers. Il rassemble : une faculté de droit et sciences sociales une faculté des sciences du sport le CEPE - IAE de Poitiers l'IUT d'Angoulême l'Université des spiritueux un site départemental de l'École supérieure du professorat et de l'éducation Conservatoire Gabriel-Fauré dirigé par Jacques Pési. 56 professeurs, 40 disciplines et 1 015 élèves en 2010 ; Isfac : centre de formation dispensant 8 BTS en alternance ainsi que des formations à destination des entreprises ; CNAM : antenne du Conservatoire national des arts et métiers ; EMCA : École des métiers du cinéma d'animation ; EGC : École de gestion et de commerce ; CIFOP : centre de formation professionnelle de la Chambre de commerce et d'industrie d'Angoulême (commune de L'Isle-d'Espagnac) ; EIA : École d'ingénieur par l'apprentissage – CESI ; ENJMIN : École nationale du jeu et des médias interactifs numériques ; EESI : École européenne supérieure de l'image ; CREADOC : documentaire de création ; Aftral: Centre de formation par alternance dans le domaine du transport et de la logistique.

Sports

L'équipe féminine de handball du Angoulême Charente handball, issue de l'ancienne section handball du Sporting club d'Angoulême est en championnat de France de handball féminin de Nationale 1 lors de l'exercice 2015-2016 ; Le Soyaux Angoulême XV Charente, issu de la fusion en 2010 entre le SCA Rugby et le club voisin du Rugby club de Soyaux, qui évolue en Pro D2 pour la saison 2016-2017 au stade Chanzy ; L'Angoulême Charente FC est le club de football local. Il évolue aujourd'hui en National 2 au stade Lebon ; Le TTGF est le club de tennis de table qui évolue en National 1 (3e division du championnat de France) pour la saison 2009-2010[réf. nécessaire] ; L'ACA (Aviron Club Angoulême), basé à Bourgine ; Le G2A (Grand Angoulême Athlétisme) appartient au top 30 des meilleurs clubs français. Son équipe d'interclubs évolue en Nationale 1A (2e division nationale)[réf. nécessaire]. Club Golf de l'Hirondelle. Situé entre le bois de Saint-Martin et Sillac, il doit son nom à la rue de l'Hirondelle qui autrefois en était la seule route d'accès.

Santé

Toutes les spécialités médicales et paramédicales sont présentes. Le Centre hospitalier d'Angoulême, encore appelé hôpital de Girac, se trouve sur la commune de Saint-Michel ; La clinique Saint-Joseph est la seule restant sur la commune d'Angoulême. Les autres cliniques (Victor-Hugo, Sainte-Marie, Saint-Cybard, etc.) se sont regroupées sur un seul site : le centre clinical de Soyaux.

Médias

La Charente libre est le journal local du département. Il appartient au Groupe Sud Ouest ; Sud Ouest est le grand journal régional distribué dans les deux Charentes et en Aquitaine. Son siège est à Bordeaux. Plusieurs radios locales sont présentes sur Angoulême : Forum (94.1 FM) est une radio régionale basée à Orléans. Elle appartient au Groupe 1981 ; Mixx FM (94.7 FM) est une radio commerciale basée à Cognac qui émet en Charente et en Charente-Maritime ; RCF Charente (95.8 FM) est la radio du diocèse d'Angoulême. Elle s'appelait « Radio Accords » avant 1999, année où elle a intégré le réseau RCF ; Attitude (98.3 FM à Angoulême et 90.7 FM à Ruffec) est la radio associative d'Angoulême. Jusqu'en 2004, Elle s'appelait « Radio Quartier Orange » ; Alouette (99.7 FM) est une radio régionale émettant d'une partie de la Bretagne au Limousin. Ses studios se trouvent aux Herbiers, en Vendée ; France Bleu La Rochelle (101.5 FM) émet à Angoulême depuis 2001. Elle a remplacé Le Mouv' à la suite du « plan Bleu ». DMAXradio est une webradio située dans le quartier Saint-Martin.Les autres radios musicales NRJ, Nostalgie, Fun Radio, RTL2, RFM, Virgin Radio, Skyrock… émettent en passif (programme parisien sans décrochage local). Les radio généralistes privées RTL (106.2 FM), Europe 1 (106.7 FM) et RMC (105.0 FM) sont présentes à Angoulême. Angoulême dispose de trois émetteurs de télévision gérés par l'opérateur TDF : Le Four Lachaux à Saint-Saturnin (il couvre la ville ainsi qu'une bonne partie à l'ouest d'Angoulême), Petit Beauregard au sud de l'agglomération et la Grand Font couvrant l'Est angoumoisin. Les trois diffusent notamment France 3 Poitou-Charentes et France 3 Pays de la Loire.

Cultes

Cathédrale Saint-Pierre, place Saint-Pierre ; Église Saint-André, rue Taillefer ; Église Notre-Dame d'Obézine, rue de Montmoreau ; Église Saint-Ausone ; Église Saint-Jacques de l'Houmeau, rue André Lamaud ; Église Saint-Martial, place Saint-Martial ; Église Sainte-Bernadette, rue Marguerite d'Angoulême ; Église Saint-Pierre Aumaître, rue Pierre-Aumaître ; Église Saint-Cybard, place Mulac ; Église du Sacré-Cœur, rue Archambault ; Église Saint-Paul, boulevard Jean Moulin. Temple protestant d'Angoulême, rue de Bélat ; Centre paroissial protestant Pasteur, rue de Périgueux ; Église évangélique, rue Fontchaudière ; Église évangélique libre, rue de la Corderie ; Église adventiste du septième jour, impasse Parmentier. L'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours possède un lieu de culte, rue du Père-Marquette. Mosquée : 55, rue de la Charité.

Marchés

Le marché des Halles, ou Marché couvert. Avec sa grande verrière et son architecture fin XIXe siècle, il est inscrit monument historique depuis 1993 ; Le marché Victor Hugo ; Le marché de Saint-Cybard ; Les quartiers de Basseau et Ma Campagne ont aussi leur marché.

Économie

Angoulême compte seize entreprises réalisant plus de dix millions d'euros de chiffre d'affaires dont : Leroy-Somer : Moteurs et alternateurs - le plus gros employeur de Charentes a été cédé en 2016 par l'Américain Emerson au Japonais Nidec. Rousselot : Fabrication et commercialisation de gélatines alimentaires, des peptides de gélatine et de collagène. Geoffroy : Transports à câbles, système d'alimentation pour bovins, ovins et caprins, équipements vinicoles, élévateur à godets basculants, équipement industriel. Charente Automobile Distribution : Concession Renault. Sajon : Surface à dominante alimentaire du réseau Intermarché. Industrie électrique et électronique, en particulier Leroy-Somer ; Papier et emballage ; Fabrication d'armement pour la Marine.Angoulême est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie d'Angoulême. Elle gère l'aéroport d'Angoulême - Brie - Champniers. Studios prestataires et producteurs d'animation ; Image et bande dessinée (festival d'Angoulême).

Culture locale et patrimoine

Angoulême et le pays Angoumois sont classés Ville et Pays d'Art et d'Histoire. La vallée de la Charente en amont d'Angoulême est zone Natura 2000 avec des espèces remarquables présentes : il a été dénombré 64 espèces d'oiseaux remarquables. Parmi eux se trouvent des espèces de marais et zones humides, et à Angoulême, il est fréquent de voir sur la Charente des oiseaux plongeurs et nageurs, des cygnes (cygne tuberculé), des grèbes (grèbe à cou noir, grèbe castagneux, grèbe esclavon, grèbe huppé), des oies (oie cendrée), des canards (canard chipeau, canard pilet, canard siffleur, canard souchet), des sarcelles (sarcelle d'été, sarcelle d'hiver), et des fuligules (fuligule milouin, fuligule morillon). Il est plus rare de voir des limicoles. Les sternes (sterne pierregarin), les mouettes (mouette rieuse), le grand cormoran, remontent par périodes de tempête très en amont sur le fleuve. L'île Marquet et le bois de la Poudrerie, enfin dépollué, vont être rendus à la population. Les sentiers de randonnée et l'ancienne voie de halage devenue en partie la coulée verte permettent des promenades au bord du fleuve. Musée des Beaux-Arts d'Angoulême ; Musée du papier ; Le musée de la Société archéologique et historique de la Charente ; Musée de la Résistance et de la déportation ; Le musée de la Bande dessinée (CIBDI) ; Une antenne décentralisée du Fonds régional d'art contemporain de Nouvelle-Aquitaine. En 1983, est créée à l'École régionale des Beaux-Arts d'Angoulême (EESI), la première section bande dessinée en France ; Angoulême abrite la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image, qui enregistre l'ensemble des bandes dessinées parues en France. Dans les locaux de la Cité se trouve aussi l'ENJMIN, première école financée par l'État en Europe ayant pour sujet clef les jeux vidéo et les médias interactifs ; Angoulême, rebaptisée « Ville de l'Image » ou « Capitale de la BD », est connue pour ses « Murs peints » en BD qui rythment le centre-ville ; L'Espace Franquin. Le 7 janvier 2020, la statue de Lucien, personnage de Frank Margerin, retrouve sa place en surplomb de l'entrée de la gare.Murs peints d'Angoulême le théâtre, scène nationale ; l'espace Carat (parc des expositions et des congrès du Grand Angoulême – manifestations, concerts) ; La Nef (salle de concerts) ; le conservatoire Gabriel-Fauré, qui possède un auditorium et une médiathèque ; l'Alpha, médiathèque du Grand Angoulême, ouverte et inaugurée le 19 décembre 2015 ; la Cie des Marionnettes d'Angoulême. Fin janvier : festival international de la bande dessinée ; Avril : festival international du film court ; Fin mai : Musiques métisses ; Fin août : festival du film francophone ; Fin septembre : Circuit des Remparts ; Fin octobre : Piano en Valois ; Fin novembre : Gastronomades ; Début novembre : Le Grand Festival de la Danse. La gastronomie angoumoisine est peu différente de la gastronomie charentaise en général. On y retrouve le grillon charentais, sorte de rillettes à la texture plus épaisse, les « cagouilles », nom local des escargots, souvent servis cuits au pineau des Charentes, et les plats à base des alcools locaux, le pineau et le cognac. Unités actuellement en garnison à Angoulême : 1er régiment d'infanterie de marine ; 515e régiment du train.Unités militaires ayant été en garnison à Angoulême : 107e régiment d'infanterie, (avant) 1906-jusqu'à ? ; 1939-1940 ; 21e régiment d'artillerie, 1906 ; 34e régiment d'artillerie, 1906 ; 41e régiment d'artillerie divisionnaire, 1939-1940 ; 502e régiment de chars de combat, 1939-1940. Blanche et Marie de Jacques Renard avec Miou-Miou et Sandrine Bonnaire, tourné à Angoulême et Rouillac, sorti en 1985 ; L'Enfant de l'aube avec Thierry Lhermitte tourné a Angoulême et Cognac ; La maison des enfants de et avec Sandrine Bonnaire tourné a Angoulême en 2002 (série) ; SOS 18 tourné à Angoulême et les alentours ; Père et Maire tourné dans les communes d'Angoulême et Magnac-sur-Touvre (dans la série, Angoulême est appelé Ville-Grand) ; Mon fils d'ailleurs de Williams Crépin, avec Clémentine Célarié, en 2004 ; Et toi, t'es sur qui ? de Lola Doillon, en 2007 ; Mammuth de Benoît Delépine et Gustave Kervern ; Aux quatre vents de Jacques Doillon ; Mourir d'aimer de Josée Dayan, avec Muriel Robin ; Au bas de l'échelle d'Arnaud Mercadier, avec Vincent Elbaz, Claude Brasseur, Bernadette Lafont et Helena Noguerra ; Victoire Bonnot avec Valérie Damidot et Shirley Bousquet tourné au collège-lycée Saint-Paul ; Les Mensonges de Fabrice Cazeneuve avec Hippolyte Girardot et Marilyne Canto, tourné à Angoulême et Puymoyen, diffusé en 2010 ; Code Lyoko Évolution, tourné mi-2012 au lycée Guez de Balzac ; Le Grand Soir tourné à Angoulême et à la ZAC des Montagnes de Benoît Delépine et Gustave Kervern avec Albert Dupontel et Benoît Poelvoorde, 2012 ; Indiscrétions de Josée Dayan avec Muriel Robin, tourné pendant l'été 2013 à Angoulême, Saint-Même-les-Carrières et Bassac, diffusé en novembre 2013 ; Hard Corner : film de Benjamin Daniel, tourné en 2014. Lola et ses frères de Jean-Paul Rouve, en 2017. La Loi de... Marion, téléfilm avec Sandrine Bonnaire tourné en 2018. The French Dispatch, film de Wes Anderson tourné en 2018. Nées à Angoulême : Isabelle Taillefer (1186-1246), dite Isabelle d'Angoulême. Dernière descendante de la lignée des comtes Taillefer d'Angoulême, elle devint reine d'Angleterre en 1200 par son mariage avec Jean sans Terre ; Jean d'Orléans (1400-1467), le « bon comte Jean d'Angoulême ». Petit-fils du roi Charles V de France, fils du duc Louis d'Orléans et de Valentine Visconti, frère du célèbre poète Charles d'Orléans et grand-père du roi François Ier, le Comte Jean a laissé le souvenir d'un homme sage, instruit et très religieux. Après 32 années de captivité en Angleterre, il s'installa dans son comté à Angoulême puis à Cognac. À l'issue de la guerre de Cent Ans, il entreprit dans ses terres une œuvre de reconstruction. Sa popularité fut immense, ce qui explique le qualificatif de « bon comte ». Il repose dans la cathédrale Saint-Pierre d'Angoulême depuis 540 ans ; Mellin de Saint-Gelais, né vers 1491 à Angoulême, et mort en octobre 1558, il fut un poète français de la Renaissance, qui eut les faveurs de François Ier ; Marguerite d'Angoulême, reine de Navarre, mécène et femme de lettres, sœur aînée de François Ier, née à Angoulême et connue localement sous la dénomination de « Marguerite de Valois » par sa naissance ou « Marguerite de Navarre » par son mariage ; Hélie du Tillet, maire d'Angoulême en 1502, père de l'historien Jean du Tillet ; André Thévet (1504-1592), explorateur et écrivain. Il rapporta du Brésil « l'herbe angoumoisine », ou tabac, introduit plus tard à la cour de France par Jean Nicot ; François Ravaillac (1578-1610), assassin du roi Henri IV ; François Garasse (1585-1631), auteur de La Doctrice curieuse des beaux esprits de ce temps — ou prétendus tels ; Jean-Louis Guez de Balzac (1597-1654), écrivain ; Théodore Janssen (1658-1748), 1er baronnet de Wimbledon, financier et homme politique britannique ; Marc-René de Montalembert (1714-1800), militaire et diplomate, créateur de la fonderie de Ruelle ; Jean-Baptiste Vallin de La Mothe (1728-1799), l'un des architectes préférés de l'impératrice Catherine II de Russie. L'église Sainte-Catherine, le Petit Ermitage (aujourd'hui musée de l'Ermitage) et l'Académie impériale des beaux-arts de Saint-Pétersbourg comptent parmi ses chefs-d'œuvre ; Guillaume Resnier (1729-1811), général français et l'un des pionniers de l'aviation et du vol à voile, est né et mort à Angoulême ; François Bareau de Girac (1730-1820), évêque de Rennes avant la Révolution ; André de Resnier (1734-1794), général des armées de la République y est né ; Charles-Augustin Coulomb (1736-1806), physicien français, on a donné son nom à l'unité de charge électrique ; Cybard Florimond Gouguet (1752-1831), général des armées de la République et de l'Empire ; Jean Nestor de Chancel (1753-1794), général guillotiné pendant la Terreur ; Jean Rivaud (1755-1803), général des armées de la République, né et mort dans la commune ; Jean Chemineau (1771-1852), né à Grelet, général des armées de la République et de l'Empire ; Besson-Bey (1782-1837), de son vrai nom Jean-Victor Besson, vice-amiral et major-général de Méhémet Ali en Égypte ; Philippe Albert, (1788 à Angoulême - 1868 à Paris), homme politique. Jules Trousset (1842-1905?), encyclopédiste, historien et géographe ; Octave Callandreau (1852-1904), astronome ; Raoul Verlet (1857-1923), sculpteur français ; Edmond Durandeau (1878-1960), architecte français ; Gaston Boucart (1878-1962), peintre, né et mort à Angoulême ; Lucie Valore (1878-1965), peintre, née à Angoulême, y a épousé Maurice Utrillo en 1935 ; René Sudre (1880-1968), journaliste scientifique Paul Iribe (1883-1935), dessinateur et décorateur français considéré comme l'un des précurseurs de « l'art déco » ; Joseph Trigeaud (1903-1946), officier des Forces aériennes françaises libres, Compagnon de la Libération ; Robert Couturier (1905-2008), sculpteur ; Paul Cognasse (1914-1993), artiste peintre, verrier, et sculpteur ; Maurice Duverger (1917-2014), juriste, politologue et professeur de droit français, spécialiste du droit constitutionnel ; Jacques Mitterrand (1918-2009), général de l'armée de l'air et administrateur de sociétés ; Pierre Desgraupes (1918-1993), journaliste et dirigeant d'une chaîne de télévision ; Jean-Pierre Audour (1936-2017), publicitaire ; Jean-Pierre Parenteau, né en 1944, ancien coureur cycliste professionnel français ; Louis Marmoz, né en 1944, professeur d'université, spécialiste des sciences de l’éducation, éditeur et directeur de publications scientifiques ; Christian Mousset, né en 1944, ancien directeur du festival Musiques Métisses, fondateur des labels Label Bleu et Marabi, commandeur des arts et lettres ; Jean-Michel Boucheron, né en 1946, homme politique et député-maire d'Angoulême ; Claude Arpi, né en 1949, écrivain et journaliste français ; Guillaume Faye (1949-2019), essayiste, journaliste et théoricien politique français ; Dominique Bagouet (1951 – 1992), danseur et chorégraphe français de danse contemporaine ; Florence Reynaud, née en 1954, romancière por la jeunesse ; Jean-Louis Gauthier, né en 1955 coureur cycliste français ; Jean-Jacques Eydelie, né en 1966, joueur professionnel de football ; Bruno Maïorana, né en 1966, dessinateur de bande dessinée ; Claire Désert, née en 1967, pianiste, professeur au CNSM de Paris ; Maryline Martin, née en 1967,écrivaine ; Fabrice Landreau, né en 1968, joueur de rugby à XV ; Fabien Foret, né en 1973, pilote de moto français ; Ludovic Mercier, né en 1976, joueur de rugby à XV ; Amandine Bourgeois, née en 1979, chanteuse ; Laurence Arné, née en 1982, comédienne.Liées à Angoulême : Saint Cybard (début VIe siècle-581), « diacre et reclus » selon ses propres termes, il mourut en odeur de sainteté à Angoulême ; Ausone d'Angoulême ou saint Ausone, premier évêque d'Angoulême ; Adémar de Chabannes ou Ademarus Engolismensis (v. 989-1034), prêtre, chroniqueur et compositeur français de l'abbaye Saint-Martial de Limoges et de l'abbaye Saint-Cybard d'Angoulême ; Girard II (XIIe siècle), évêque fondateur de la cathédrale Saint-Pierre d'Angoulême, il fut déclaré schismatique ; il repose en ladite cathédrale ; François Ier (1494-1547), comte d'Angoulême avant son accession au trône ; Honoré de Balzac, candidat aux élections de 1831 dans la ville de son égérie. Jean-Louis de Nogaret de La Valette (1554-1642), duc d'Épernon, gouverneur d'Angoumois, mignon du roi Henri III de France ; Jean Thévet de Lessert (1737-1822), général des armées de la République y est mort ; Jacques Martin de Bourgon (1742-1820), général des armées de la République y est mort ; Pierre Étienne Petitot (1752-1807), général des armées de la République et de l'Empire y est mort ; Olivier Macoux Rivaud de La Raffinière (1766-1839), général des armées de la République et de l'Empire y est mort ; François Antoine Teste (1775-1862), général de division, pair de France, mort à Angoulême ; Zulma Carraud (1796-1889), écrivaine, dont le mari, le commandant Carraud, fut nommé inspecteur de La Poudrerie d'Angoulême après la révolution de 1830. Le couple avait une propriété proche d'Angoulême où il vécut jusqu'en 1834, accueillant fréquemment l'auteur de La Comédie humaine. C'est là qu'Honoré de Balzac, écrivit La Grenadière en une nuit. Le quartier de L'Houmeau, est aussi le lieu de naissance d'un des plus célèbres personnages de Balzac : Lucien Chardon, devenu ensuite Lucien de Rubempré dans Illusions perdues et dans Splendeurs et misères des courtisanes ; Paul Abadie (1812-1884) construisit les églises Saint-Martial, Saint-Ausone, la chapelle du lycée, restaura l'ancien château pour le transformer en hôtel de ville, et la cathédrale Saint-Pierre ; Léon Roger-Milès (1859-1928), historien, critique d'art, mort à Angoulême. Paul Valéry (1871-1945), écrivain, académicien, a visité les remparts où il existe une plaque : « Paul Valéry s'est arrêté ici le 9 décembre 1931 : Ô récompense après une pensée, qu'un long regard sur le calme des dieux » ; Lucien Loizeau (1879-1978), général, gouverneur militaire de Metz, grand-croix de la Légion d'honneur ; René Olry (1880-1944) commanda l'armée des Alpes durant la campagne de France du 5 décembre 1939 au 25 juin 1940, date de l'armistice franco-italien ; il est mort à Angoulême ; Marcellin Leroy (1884-1958), industriel et fondateur du groupe Leroy-Somer ; François Mitterrand (1916-1996), président de la République française de 1981 à 1995, né le 26 octobre 1916 à Jarnac (Charente) a effectué ses études secondaires au collège Saint-Paul d'Angoulême ; Henri Thébault (1921-1986), homme politique et député-maire d'Angoulême ; René Chabasse, né le 9 avril 1921, tué le 21 février 1944 à Angoulême par un soldat allemand, est un résistant français ; Lindsay Anderson (1923-1994), réalisateur britannique, auteur du film If.... (1969) qui obtint la Palme d'or à Cannes, mort à Angoulême ; Francis Groux (né en 1934), personnalité culturelle, cofondateur du festival international de la bande dessinée Jean Mardikian (né en 1935), personnalité politique et culturelle, cofondateur du festival international de la bande dessinée ; Philippe Marchand, né le 1er septembre 1939 à Angoulême et mort le 10 janvier 2018, ministre de l'intérieur (1991-1992); Marie Amalia (1961-), artiste peintre, vit à Angoulême ; Eudes d'Orléans, « duc d'Angoulême », né en 1968 ; Aude Soleilhac (1981-), autrice de bande dessinée, a étudié à Angoulême et y vit toujours.

Voir aussi

Liste des communes de la Charente Liste des évêques d'Angoulême Liste des comtes et ducs d'Angoulême Sentier de grande randonnée 4 Sentier de grande randonnée 36 Compagnie centrale de tramways électriques Gare d'Angoulême Ressources relatives à la géographie : Digital Atlas of the Roman Empire Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative à plusieurs domaines : Annuaire du service public français Ressource relative aux beaux-arts : (en) Grove Art Online Ressource relative à la musique : MusicBrainz Ressource relative aux organisations : SIREN Site de la mairie Site de l'office de tourisme Amigos del Románico, fiche descriptive de la cathédrale Saint-Pierre Portail de la Charente Portail des communes de France