La société du jour: Ass des femmes turques immigrees

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Ass des femmes turques immigrees

La société Ass des femmes turques immigrees a été créée le 4/9/2003, soit 20 années d'activités. Le siège de la société est basé à CHARTRES 28000. Elle possède un seul établissement. Son dernier bilan date du 20/5/2017. Ass des femmes turques immigrees a choisi le statut juridique Association déclarée. Elle opère sous le code NAF 94.99Z et évolue dans le secteur .

94.99Z -

Le code APE - NAF 9499Z est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 493947 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne essentiellement des employés d'association.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 9499Z : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 9499Z est : "Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire, les salariés de cette branche sont essentiellement des employés d'association.

La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

Aucune convention collective particulière n’est attribuée au code NAF 9499Z.

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Pour être en conformité avec la loi, vous avez besoin de votre convention collective à jour en permanence des derniers accords, même non étendus. Voir les offres pour les conventions collectives du code NAF 9499Z.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 9499Z. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 9499Z est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers. 

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Il n’y a pas d’institut de formation pour le code NAF 9499Z.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Ass des femmes turques immigrees

L'établissement principal est domicilié au 2 pl de beaulieu, Chartres 28000. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Chartres 28000, il y a 549 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Chartres ?

Chartres est une commune française, préfecture du département d'Eure-et-Loir, dans la région Centre-Val de Loire. La ville est à environ quatre-vingt-dix kilomètres de Paris (centre). Elle est surnommée « Capitale de la lumière et du parfum ». Au recensement de 2016, la commune compte 38 752 habitants. En 2015, la communauté d'agglomération de Chartres compte 136 373 habitants et l'aire urbaine de Chartres compte quant à elle 146 986 habitants. Il s'agit de la première ville du département d'Eure-et-Loir et la sixième de la région Centre-Val de Loire derrière Tours, Orléans (la capitale régionale), Bourges, Blois et Châteauroux. La ville tient son nom de l'ancien peuple gaulois des Carnutes dont elle était le chef lieu et dont César mentionne que c'est dans leur cité que chaque année se réunissaient les druides de toutes les Gaules, au milieu d'une vaste forêt. De capitale des Carnutes, Chartres est devenue sous le Bas-Empire un diocèse dont la liste des évêques débute au IVe siècle et dont l'étendue était au XVIIe siècle la plus considérable de France puisqu'elle comprenait une partie du Gâtinais, la Beauce, une partie de la Sologne, le Blésois et Vendômois, le Dunois, le Perche et sa partie voisine de la Normandie, le Drouais, le Thymerais, le Mantois, le Pincerais (pays de Poissy) et le Hurepoix. Son église cathédrale a été le siège de plusieurs conciles et reste le lieu d'un pèlerinage annuel. La ville a été en partie détruite le 26 mai 1944 par les bombardements anglo-américains.

Géographie

Chartres est située dans le Centre-nord-ouest de la France, à environ 90 km de Paris, 80 km d'Orléans, 140 km de Tours, 110 km du Mans,194 km de Laval et 80 km d'Évreux. La superficie de la commune est de 16,85 km2. Le cœur de la ville de Chartres se situe sur le plateau de la Beauce, sur un promontoire rocheux que contourne l'Eure. La ville s'étend ensuite sur une langue de terre contournée par deux bras de l'Eure, ainsi que sur une pente douce du côté opposé à la rivière. Les contours de l'ancienne ville sont délimités par des boulevards et quelques grandes places d'où partent d'importantes voies de communication. Les communes limitrophes sont Champhol, Mainvilliers, Lucé, Luisant, Le Coudray, Gellainville, Nogent-le-Phaye et Gasville-Oisème. La station météorologique de Chartres-Champhol est située à une altitude de 155 mètres. Le climat est de type océanique dégradé, principalement sous l'influence des vents provenant en moyenne de 250° ouest - sud-ouest. Il est caractérisé par des températures moyennes comprises entre 10 °C et 13 °C et des précipitations paraissant beaucoup plus abondantes qu'elles ne le sont en réalité. La vitesse du vent à Chartres est peu élevée, environ 22 km/h de moyenne, avec une hydrométrie de 81 % et une pression atmosphérique de 1 006,1 hPa.

Urbanisme

Chartres est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes et 88 936 habitants en 2020, dont elle est ville-centre,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (86,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (52,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (27,3 %), terres arables (10,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,3 %), prairies (3,1 %), forêts (0,2 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Chartres et les communes aux alentours sont régies par une directive de protection et de mise en valeur des paysages destinée à préserver les vues sur la cathédrale, approuvée en 2022 par un décret en Conseil d'Etat. Le territoire de la commune de Chartres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle.

Toponymie

Les formes les plus anciennes de Chartres sont Autrikon, dans la Géographie de Ptolémée, au milieu du IIe siècle, puis Autricum, dans la table de Peutinger, au milieu du IIIe siècle,, formé du gaulois Autura « (rivière) Eure » et du suffixe localisant -ico, d'où le sens d'« établissement (près) de l'Eure ». Puis le nom de la ville change en étant dérivé de celui de la tribu gauloise des Carnutes par diverses transformations avant d'aboutir à Chartres : évolution probable de Carnutes en Cartunes par métathèse, puis en Cartres par chute de la voyelle post-tonique, et en Chartres par palatalisation du son k devant la voyelle a.

Histoire

L'origine de l'implantation humaine remonterait, selon les résultats de fouilles archéologiques, à la préhistoire. Une présence humaine serait avérée dès le néolithique tandis qu'une implantation humaine permanente aurait eu lieu vers la fin de l'âge du fer. L’actuel département d'Eure-et-Loir correspond à la partie centrale du territoire des Carnutes dont Chartres était l'un des oppidum, connu sous le nom d’Autricum. À l'époque gallo-romaine, Chartres-Autricum est une grande cité. Elle est alimentée en eau par deux aqueducs, on y trouve également un important amphithéâtre, au moins un forum, ainsi que des temples. Évangélisé, selon les légendes du Moyen Âge central, au milieu du IIIe siècle, par saint Altin et saint Eodald, la cité aurait même été avertie du message chrétien dès le Ier siècle, par les druides, qui auraient instauré le culte marial. Chartres-Autricum est, à la chute de l’Empire romain, l’un des évêchés les plus vastes des Gaules. Ce n'est toutefois qu'à partir des Ve et VIe siècles que l'on voit réellement l'évêché fonctionner et que l'historicité des évêques peut être établie. On connaît mal l’évolution urbaine de Chartres entre le IIIe et le Xe siècle : la cité antique semble s’être effacée au profit de petits villages autonomes. Les premières installations de bâtiments chrétiens, attestés par quelques textes, laissent supposer qu’à la fin du VIe siècle, il y avait de nombreux établissements religieux à Chartres, alors dirigés par l’évêque. En 743, la ville est prise par Hunald duc d'Aquitaine et brûlée. Au IXe siècle, les Normands ravagent les terres environnantes à plusieurs reprises et, en juin 858, détruisent la ville et probablement la cathédrale. Celle-ci est reconstruite, tandis que les Chartrains érigent les premiers remparts. En 876, un don de Charles II le Chauve, le Voile de la Vierge, est à l’origine d’un important pèlerinage qui fait ensuite la richesse de la ville et la puissance des institutions religieuses locales. Le 16 février 886, les Danois de Sigfried attaquent sans succès Chartres et perdent 1 500 hommes. En 911, le chef normand Rollon, de retour d'une expédition en Bourgogne, remonte l'Eure et entreprend le siège de la ville. Il se heurte à la résistance qu’organise l’évêque Gancelme qui appel à son secours le duc de Neustrie, Robert, le duc de Bourgogne Richard le Justicier et le comte de Poitou Ebles Manzer, qui battirent Rollon devant les fortifications de la ville le 20 juillet. D’après un récit du XIIe siècle, l'évêque aurait fait fuir l’ennemi en brandissant la chemise de Marie, le Voile de la Vierge, relique majeure de la cathédrale. Cette victoire, attribuée à l’intercession de la Vierge elle-même, ne fera qu’accroître dans les siècles suivant le rayonnement du pèlerinage qui, à la faveur des dons, facilite le financement de la cathédrale actuelle. Une autre source de cette puissance réside dans la richesse de la Beauce où le chapitre de la cathédrale possède de grands domaines. C’est de cette richesse et de cette puissance que découlent les cathédrales successives. Cet éclat matériel se double alors d’une grande renommée intellectuelle. L’évêque Fulbert de Chartres se trouve à l’origine du développement de l’École de Chartres qui s’épanouit pendant près de deux siècles. À côté de maîtres célèbres comme Thierry de Chartres ou encore Bernard de Chartres, l’évêque Yves de Chartres fut l’un des grands canonistes de l’Église. Au Xe siècle, la présence de Thibaud Ier de Blois dans son château modifie la répartition des pouvoirs au sein de la ville. Le renouveau économique autour des métiers de la rivière, soutenus par le comte et l’évêque, fonde les bases du développement urbain à venir. Dans le domaine politique et militaire, le roi de France Louis VI le Gros réduit à merci, au prix d’une longue lutte, le sire du Puiset, dont la puissance était un défi à la monarchie. Durant la Renaissance du XIIe siècle, s'épanouit à Chartres une pensée novatrice, nourrie par la redécouverte du platonisme, qui fait la richesse de l'« esprit chartrain » selon l'expression de Jacques Le Goff. Un esprit qui découle directement de la rigueur grammaticale et de la curiosité scientifique de l'enseignement de Bernard de Chartres, basé sur les anciens, et dont les propos à ce sujet, rapportés par Jean de Salisbury, sont devenus parmi les plus fameux de l'histoire intellectuelle : « Nous sommes comme des nains juchés sur des épaules de géants, ainsi pouvons-nous voir mieux et plus loin qu'eux, non que notre vue soit plus perçante ou notre taille plus élevée, mais parce que nous sommes soulevés en l'air et portés par leur hauteur gigantesque. » La ville du Moyen Âge, où le bois prédomine dans la construction, est particulièrement fragile face aux incendies : le feu peut partir de partout, toutes les maisons abritant un ou plusieurs foyers. En 1462, c'est du fournil d'un boulanger que part un sinistre qui détruit quelques maisons près de l'église Sainte-Foy. Le danger est aggravé par l'égoïsme : par exemple, en 1500, un incendie se déclare près de la cathédrale, et le point d'eau le plus proche est situé de l'autre côté du cloître. Les chanoines veulent interdire le passage et obliger les volontaires à faire le tour de la cathédrale, ne voulant pas que le va-et-vient trouble la tranquillité du lieu. La population passe outre. La ville est équipée de seringues géantes pour arroser les incendies plus efficacement. Cette région, au centre de la France et au cœur des domaines royaux, endure les conséquences de la guerre de Cent Ans. C'est à Brétigny, petit hameau au sud de Chartres, qu'est signé le 8 mai 1360 un traité marquant une trêve entre les Anglais et le roi de France Jean le Bon. Plus tard, c'est au sud du département que se joue l'épisode mémorable de la bataille des Harengs. Un convoi de vivres, venu de Paris et destiné aux assiégeants d'Orléans, fait l'objet d'une tentative de destruction par les assiégés de cette ville qui avaient fait une sortie hors de leurs murs. Cette ère de prospérité connaît un regain, d’ordre architectural, aux XVe et XVIe siècles. La qualité des églises atteste l'ampleur du mouvement religieux et la prospérité économique des XIIe et XIIIe siècles. Au XVIe siècle, malgré les troubles religieux, la ville de Chartres reste fidèle au culte catholique. Mais la fertilité du pays et les avantages financiers que la cité tire du ravitaillement de la capitale suscitent la convoitise des différents partis huguenots et catholiques. Après avoir été l’apanage de Charles de Valois, père de Philippe VI, le comté de Chartres est érigé en duché par François Ier en 1528 au profit de Renée de France, duchesse de Ferrare. En 1568, la ville est assiégée par Louis de Bourbon-Condé, puis de février à avril 1591, par Henri IV,,. Malgré la résistance de la ville, il est sacré le 27 février 1594 en la cathédrale de Chartres : il est le seul roi de France sacré dans cette cathédrale. Plus tard, Louis XIV donne le duché de Chartres à la maison d’Orléans, dont l’héritier porte, jusqu’à Louis-Philippe, le titre de duc de Chartres. Lors de la Révolution, la cathédrale est relativement protégée, alors que plusieurs églises chartraines sont vendues, démolies ou transformées. Au cours du XIXe siècle, l’entrée dans le monde contemporain est marquée par des progrès importants comme l’arrivée du chemin de fer avec l’inauguration de la gare en 1849, la mise en place du tramway en 1899 ou encore la création, en 1909, parmi les premiers en France, de l’aérodrome, à cheval sur la commune voisine de Champhol où plusieurs pilotes acquièrent la célébrité comme Henri Farman et Latham. Ce terrain d'aviation devient la base aérienne 122 Chartres-Champhol où s'illustre une fameuse école de pilotage, dès la Première Guerre mondiale. Peu à peu, les activités purement aériennes sont transférées vers d'autres bases aériennes, la base aérienne 122 Chartres-Champhol ayant fermé ses portes définitivement en 1997. La ville profite de la prospérité des échanges agricoles et étend ses limites urbaines, tirant parti de l’ouverture de la ligne de chemin de fer Paris-Chartres en 1841. Les portes de l’enceinte disparaissent, le dégagement du parvis de la cathédrale est partiellement réalisé en déplaçant l’hôpital, reconstruit à la périphérie de la ville entre 1857 et 1865, et le théâtre est doté d’une salle à l’italienne, inaugurée en 1861. À partir de 1923, Raoul Brandon érige, sur le site de l’ancien marché aux chevaux, un imposant bâtiment vite surnommé « Notre-Dame-des-Postes ». La ville connaît encore son lot de souffrances dans la première moitié du XXe siècle avec les bombardements du 15 août 1918, de juin 1940 et de mai 1944. Au début de la Seconde Guerre mondiale, Jean Moulin, alors préfet d’Eure-et-Loir, a ses premiers démêlés avec les troupes du IIIe Reich en restant avec les 800 habitants qui n'ont pas participé à l'exode durant la bataille de France du 15 juin 1940. Il quitte son poste en novembre 1940. Les Allemands installent la Feldkommandantur boulevard Chasles, dans un immeuble qui accueillait la Compagnie d'assurance des travailleurs français et qui est de nos jours une agence de la Caisse d'épargne. La Résistance française s'organise aussi à Chartres, avec l'aide de républicains espagnols comme la résistante Pepita Carnicer. Dans les bombardements préparatifs au débarquement de Normandie, le centre-ville est accidentellement bombardé le 26 mai 1944, entraînant la mort de cinquante personnes, l'incendie de la bibliothèque municipale et la perte de nombreux ouvrages anciens. La cathédrale est sauvée de la destruction le 16 août 1944 grâce au colonel américain Welborn Griffith (en). Celui-ci remet en question l'ordre reçu de détruire la cathédrale, ses chefs croyant que les Allemands s'y abritaient. Il se porte volontaire pour aller vérifier avec un autre volontaire la présence de soldats allemands à l'intérieur. Constatant que la cathédrale est vide, il sonne les cloches pour avertir de l'absence d'ennemi. Il est tué au combat le même jour à Lèves, près de Chartres. Il est décoré à titre posthume de la Croix de Guerre avec palme, de la Légion d'Honneur et de l'Ordre du Mérite par le gouvernement français, ainsi que de la Distinguished Service Cross du gouvernement américain,. À partir du 16 août 1944, des missions de reconnaissance menées dans la région par le 3e groupe de cavalerie de l'US Army conduisent à la libération de la ville au prix de lourds combats menés le 18 août par la 5e division d'infanterie et la 7e division blindée américaines appartenant au XXe Corps de la 3e Armée des États-Unis commandée par le général George Patton. Le 23 août 1944, en route vers Rambouillet qu'il atteint à 18 heures, et où il doit s'entretenir avec le général Leclerc pour mettre au point les derniers détails de la libération de Paris, le général de Gaulle prononce une allocution depuis les marches de la grande Poste de Chartres : « Combien m’émeut l’accueil magnifique de Chartres, Chartres libérée ! Chartres sur le chemin de Paris, c’est-à-dire sur le chemin de la victoire ! ». À la Libération, le 16 août 1944, onze femmes sont tondues, dont Simone Touseau (1921-1966, qui est l'objet d'une photographie de Robert Capa, intitulée La Tondue de Chartres. La photo est publiée le mois suivant dans le magazine américain Life puis dans d'autres journaux, devenant mondialement célèbre. Philippe Frétigné et Gérard Leray ont en 2011 consacré un livre, La Tondue 1944-1947, sur l'histoire de Simone Touseau. Par la suite, 162 personnes sont condamnées à Chartres pour collaboration, dont 7 à mort, tandis que sont prononcées 278 peines pour indignité nationale. Alors qu’à la fin du XIXe siècle la population avait connu une stagnation, on constate après la Seconde Guerre mondiale un nouvel essor, limité par la proximité de la capitale. Chartres connaît alors une véritable transformation économique et sociale se caractérisant par des créations d’emploi, l’augmentation de la population et la création des quartiers de La Madeleine et de Beaulieu. Ce dernier, quartier prioritaire renommé Les Clos, compte 2 118 habitants en 2018.

Politique et administration

Chartres est le siège de la communauté d'agglomération Chartres Métropole, la première d'Eure-et-Loir par sa population d'environ 123 000 habitants (2015). En 2018, Chartres métropole regroupe 66 communes, devancée sur ce critère par celle de Dreux qui en compte 81. Chartres est le bureau centralisateur de trois cantons : le canton de Chartres-1, regroupant 11 communes et une fraction de Chartres, comptant 29 576 habitants (2016) ; le canton de Chartres-2, regroupant 14 communes et une fraction de Chartres, comptant 27 892 habitants (2016) ; le canton de Chartres-3, regroupant 4 communes et une fraction de Chartres, comptant 30 673 habitants (2016). L'Association des Amis des Jumelages de Chartres organise régulièrement des manifestations culturelles en rapport avec les villes jumelées.

Population et société

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,. En 2020, la commune comptait 38 443 habitants, en diminution de 0,74 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Chartres compte deux hôpitaux, l'hôpital Louis Pasteur au Coudray et l'hôtel-Dieu de Chartres, rue du Docteur-Maunoury, tous deux faisant partie des Hôpitaux de Chartres. Le Festival International d'Orgue de Chartres se déroule durant l'été. L'association des Amis des Grandes Orgues de Chartres convie chaque année de nombreux organistes venus du monde entier à se produire sur les grandes orgues de la Cathédrale,. Tous les 2 ans, les années paires, un concours d'orgues récompense les jeunes organistes internationaux. Des organistes de renom sont au nombre aussi bien des présidents du jury (Pierre Cochereau, Gaston Litaize, Marie-Claire Alain, Michel Chapuis, André Isoir…) que des récipiendaires (Daniel Roth, Yves Devernay, Philippe Lefebvre, Pierre Pincemaille, Vincent Warnier…). La Fête des Vendanges, fin septembre, est l'occasion de goûter le vin nouveau des vignes de Saint-Brice et de (re)découvrir le monde rural. Le Salon National de l'Artisanat, plus connu sous le nom des Artisanales de Chartres, se déroule tous les ans, le deuxième week-end du mois d'octobre. Les visiteurs (objectif de 90 000 visiteurs pour la 28e édition en 2022) peuvent découvrir près de 500 exposants et 150 métiers de l'artisanat : du bâtiment aux métiers de bouche en passant par l'automobile, les métiers d'art ou encore les travaux paysagers. Les Rencontres Internationales de Mosaïques, organisées par l'association les 3R, rassemblent tous les deux ans (les années paires), les œuvres de centaines de mosaïstes internationaux dans la chapelle du lycée Fulbert et la chapelle Saint-Éman. Le prix Picassiette est remis par un jury et par le public aux lauréats des catégories professionnels, amateurs initiés, amateurs, jeunes et groupes. L'évènement consacre l'évolution d'une ancienne cité de transit, le quartier Picassiette, dont la transformation sociale réalisée à partir des années 1990, est un exemple de développement social urbain. La 14e édition en 2022 réunit 150 artistes de plusieurs pays. La Foire de la Saint-André est un héritage du Moyen-Âge. Elle se déroule sur les boulevards le dimanche le plus proche du 30 novembre, jour où l'on fête les André et Andrée. Chartres en Lumières réunit, chaque année, gratuitement, depuis 2003, de nombreuses personnes venues du monde entier. Des animations abstraites ou figuratives, presque toutes en mouvement, sont projetées sur la plupart des monuments ou bâtiments importants de Chartres (23 sites en 2021). Cette manifestation a lieu généralement d'avril à septembre et se clôture par la Fête de la Lumière. Le week-end Henri IV a lieu fin février et commémore le sacre de Henri de Navarre, seul roi de France à avoir été couronné à Chartres en 1594 (la plupart des rois de France ayant été couronnés à la Basilique Saint-Denis). La fête gallo-romaine, début juillet, restitue l'ambiance de l'ancienne Autricum autour du sanctuaire gallo-romain, vestige archéologique d'une superficie de 6 hectares. Le festival de musiques actuelles, L'Paille à Sons, a lieu à Chartres début juin depuis 2015 sur deux jours au Parc André Gagnon. Le Festival de Pâques est un festival musical chrétien qui s'est déroulé annuellement de 2003 à 2010 à Chartres durant le week-end de Pâques. Les Estivales de Chartres est un festival de spectacles et représentations théâtrales ayant lieu durant l'été. La 30e édition a eu lieu en 2022 avec 47 spectacles. Chartres est une ville dynamique en matière de sport. Outre des infrastructures comme le complexe aquatique l'Odyssée et Hippodrome de Chartres, de nombreuses activités sportives sont pratiquées au sein de plusieurs clubs, professionnels ou évoluant dans les plus hautes divisions, comme le Chartres ASTT (tennis de table), les French Cubs de Chartres (baseball), le Chartres Métropole Handball 28, le C' Chartres Basket Féminin et UB Chartres Métropole (basket-ball) ainsi que le C' Chartres Football (football N2).

Économie

Chartres est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie d'Eure-et-Loir. C'est aussi un grand centre agricole. La ville possède de nombreuses industries de fabrication allant de la pharmacie aux constructions mécaniques et électriques en passant par la parfumerie. De plus, Chartres est très bien desservie, tant au niveau routier qu'au niveau ferroviaire, ce qui lui permet d'exporter facilement et d'être reliée efficacement à la France entière. Autrefois grand marché agricole, Chartres accueille aujourd’hui des entreprises renommées, dont les ateliers de parfumerie Guerlain ou ceux de Paco Rabanne. La ville donne une image dynamique, tant dans le domaine de l’emploi que dans le domaine de la culture. Cela se caractérise notamment par la présence de la Cosmetic Valley.

Culture et patrimoine

La ville est la destination de deux pèlerinages : le dimanche des Rameaux pour les jeunes de 18 à 30 ans des diocèses d'Île de France et à la Pentecôte pour le pèlerinage de Chrétienté. Un des itinéraires de la Via Turonensis, chemin de pèlerinage médiéval de Paris à Saint-Jacques-de-Compostelle, traverse Chartres (l'autre itinéraire passe par Orléans). Selon le Chapitre Premier du Guide du Pèlerin d'Aimery Picaud, la Via Turonensis était une des quatre routes en France menant à Saint-Jacques-de-Compostelle et la seule venant du nord et du nord-est de l'Europe. Les pèlerins modernes qui partent de Paris peuvent prendre l'une des deux variantes de l'itinéraire (via Vauhallan et Saint-Rémy-lès-Chevreuse ou via Versailles) qui convergent près de Rambouillet et traverse Épernon, Saint-Prest et Lèves avant d'entrer dans Chartres. La Via Turonensis continue ensuite vers Bonneval et Châteaudun jusqu'à Tours où elle converge avec la variante via Orléans. Chartres possède quatre fleurs de « Ville fleurie », attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris (édition 2007). Sur les 120 hectares d'espaces verts que compte le territoire chartrain, les principaux parcs et jardins sont listés ci-dessous : Les jardins de l'évêché sont constitués de plusieurs terrasses derrière la cathédrale, avec une vue sur l'est de la ville et la Basse Ville. Ces jardins étaient les jardins de l'ancien évêché, aujourd'hui musée des Beaux-Arts. Ils sont partiellement classés depuis 1941. À la suite d'un effondrement en juin 2021, ces jardins sont fermés au public et le maire envisage comme priorité de résoudre le problème en aménageant un parking ; Le parc André-Gagnon est situé à l'ouest du centre-ville, entre la place Saint-Jean, le boulevard Charles-Péguy, l'avenue Alsace-Lorraine et la rue du Pélican. Le parc est surplombé de la voie ferrée Paris-Chartres. Il s'étend sur 2 hectares et est composé essentiellement de massifs de fleurs et de grands arbres mais comporte également plusieurs aires de jeux, dont un parcours aérien entre les arbres, agrémenté de tyroliennes . Il est également nommé « clos Saint-Jean » ou « clos Pichot » (nom de l'ancienne propriétaire du terrain), mais le conseil municipal le dénomme « parc André-Gagnon » en octobre 1986, en mémoire du maire de Chartres (1945-1947) qui fut aussi un héros de la Résistance chartraine ; Le jardin d'horticulture est situé entre l'avenue d'Aligre, la rue du Bourgneuf et l'avenue de Beaurepaire. Il appartient à la Société d'horticulture d'Eure-et-Loir. Ce parc, d'une surface de 1,7 hectare, accueille des senteurs et espèces rares ainsi que de nombreux arbres, tels des noyers, des séquoia, des ginkgo biloba (la plus vieille espèce d'arbre, encore vivante) ou des platanes centenaires. Il offre une promenade au bord d'un petit bras de l'Eure peuplé de canards et d'oies ; Le parc des bords de l'Eure est situé au sud-est du centre-ville, entre le boulevard de la Courtille, le faubourg La Grappe et la rue du Marais. Appelé aussi la « Petite Venise », il dispose d'un mini-golf ainsi que d'une location de barques et de pédalos ; Le square Guy-Nicot entoure les remparts nord de la vieille ville. Au-delà du boulevard Jean-Jaurès, il est prolongé par le parc Léon-Blum, auquel il est relié par une passerelle sur l'Eure ; Le parc Léon-Blum et le square Anne-Frank sont situés au nord du centre-ville, séparés par le boulevard Jean-Jaurès et bordés par l'Eure. Le parc comprend des jeux d'enfants ainsi qu'une cheminée, vestige d'une ancienne fonderie ; Le jardin de Sakurai (ville japonaise avec laquelle Chartres a signé un pacte d'amitié) est situé à l'entrée de Chartres au bord de la route d'Ablis. Ce petit espace vert offre un panorama sur la ville et un point de vue dégagé sur la cathédrale. Parcs et jardins de Chartres La devise en latin de Chartres est « servanti civem querna corona datur » qui signifie « À celui qui sauve un citoyen est donné une couronne de chêne ». Il s’agit là d’une tradition de la Rome antique : la couronne de chêne était décernée à tout citoyen ayant, sur le champ de bataille, sauvegardé l’existence d’un de ses concitoyens. Cette devise, figurant sur le blason de la ville dès le XVIe siècle, se retrouve à la fin du XVIIIe siècle sur des médailles frappées aux armes de la ville. En 1790, pour avoir sauvé une Chartraine, le maçon Halgrain et le menuisier Brossier (conformément à la tradition antique) reçurent du maire Asselin une médaille en argent frappée aux armes de la ville, attachée à un ruban aux trois couleurs de la nation et portant la fameuse devise. C’est au milieu du XIVe siècle que l’on trouve trace des premières armoiries de la ville. Depuis cette époque, six blasons différents se succédèrent. En 1696, Charles René d'Hozier enregistre dans l'armorial général de France le blason de Chartres comme : « tiercé en fasce d'or, d'argent, et de gueules. » Sous le Premier Empire, le blason de Chartres se blasonnait ainsi : « De gueules, à trois besants d'argent, chacun chargé d'une inscription de sable frappé au droit d'un denier du Moyen Âge du type bléso-chartrain ; au comble cousu d'azur, chargé d'une gerbe d'or ; franc quartier des villes de seconde classe, qui est à dextre d'azur, chargé d'un N d'or, surmonté d'une étoile rayonnante du même, brochant au neuvième de l'Écu. » Les armes actuelles se blasonnent ainsi : « de gueules, à trois besants d'argent, chacun chargé d'une inscription de sable frappé au droit d'un denier du Moyen Âge du type bléso-chartrain accompagné à senestre d'une fleur de lys du même ; au chef cousu d'azur, à trois fleurs de lys d'or. »

Logotype

Voir aussi

Eugène-Louis-Ernest de Buchère de Lépinois, Histoire de Chartres, t. 1, Garnier, 1854 (lire en ligne). Eugène-Louis-Ernest de Buchère de Lépinois, Histoire de Chartres, t. 2, Garnier, 1858 (lire en ligne). Honoré Fisquet, La France pontificale (Gallia christiana), histoire chronologique et biographique des archevêques et évêques de tous les diocèses de France depuis l'établissement du Christianisme jusqu'à nos jours, divisée en 18 provinces ecclésiastiques. Métropole de Paris. Diocèse de Chartres, Paris, E. Repos, 1864-1873, 605 p. (lire en ligne). Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Chartres » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 (lire sur Wikisource) Charles Péguy, Prières dans la Cathédrale de Chartres, La Tapisserie de Notre Dame, Corsaire, 1913 (ISBN 2-910475-07-7) Jean Moulin, Premier combat, Paris, Les Éditions de minuit, 1947, 169 p. (ISBN 2-7073-0404-2) Jules Alexandre Clerval, Guide chartrain. Chartres, sa cathédrale, ses monuments, Imprimerie Durand, 1948 (lire en ligne). Maurice Clavel, Le temps de Chartres : roman, René Julliard, 1960, 214 p. Roger Joly, Histoire de Chartres, Horvath, coll. « Histoire des villes de France », 1982 (lire en ligne). Michel Michel, Développement des villes moyennes. Chartres, Dreux, Évreux., t. I, Éditions de la Sorbonne, 1984 (lire en ligne). Michel Michel, Développement des villes moyennes. Chartres, Dreux, Évreux., t. II, Éditions de la Sorbonne, 1984 (lire en ligne). Guy Nicot (préf. François Mitterrand), Chartres : par rues, tertres et monuments, Anthèse, 1988 (lire en ligne). Roger Joly, La Libération de Chartres : récits et témoignages rassemblés et commentés, Paris, Le Cherche midi éditeur, mai 1994, 201 p. (ISBN 2-86274-317-8) Jean-Jacques François, La guerre de 1939-40 en Eure-et-Loir : Illustrations de Serge Mogère, Mainvilliers, La Parcheminière, 1998 (ISBN 2-9509931-0-9), (4 tomes) (de) Sonja Ulrike Klug, Kathedrale des Kosmos. Die heilige Geometrie von Chartres, Munich, 2001, (ISBN 3-7205-2133-8) Patrick Macquaire, Un essai de transformation sociale, le quartier Picassiette à Chartres, L'Harmattan, Paris 2008, 2018 (ISBN 978-2-343-12725-5). Stéphane Bern et Alexis Robin, Vallée royale de l'Eure, de Chartres à Rouen, éd. Sagamédias, 2017 Patrick Macquaire, Il quartiere Picassiette, arte del mosaico e transformazione sociale, Girasole, Ravenna 2017. (ISBN 978-2-296-07268-8). Pascal Le Rest, Hervé Tarrieu, Chartres, Editions Sutton, Tours 2019. Pascal Le Rest, Hervé Tarrieu, Les Euréliens en portrait, Editions Sutton, Tours 2020 (ISBN 978-2-8138-1390-9). Patrick Macquaire, Le monde selon Isidore, la poétique urbaine du balayeur, Editions HD, Paris 2021 (ISBN 978-2-3634-5120-0). La ville a servi de décor pour de nombreux films dont : Jean Moulin d'Yves Boisset avec Charles Berling (2002) ; Le Chignon d'Olga de Jérôme Bonnell avec Serge Riaboukine (2002) ; Le Promeneur du Champ-de-Mars, de Robert Guédiguian (2005) ; 60 ans au service de la cathédrale de Chartres, documentaire sur la cathédrale de Chartres réalisé par Tzarine Films (2006) ; Versailles (film, 2008), de Pierre Schoeller avec Guillaume Depardieu (2008) ; Rien de personnel de Mathias Gokalp avec Jean-Pierre Darroussin, Denis Podalydès, Mélanie Doutey, Zabou Breitman : ce film a été tourné en grande partie au musée des Beaux-Arts (2009) ; La gare de Chartres a également servi de décor au film Mademoiselle Chambon réalisé par Stéphane Brizé, avec Vincent Lindon, Sandrine Kiberlain, Aure Atika (2009). Liste des monuments historiques de Chartres Liste d'œuvres d'art public de Chartres Liste d'arbres remarquables en Eure-et-Loir Liste des communes d'Eure-et-Loir Site officiel de l'office de tourisme Association des Amis de Saint-Jacques-de-Compostelle en Eure-et-Loir