La société Hill vibz repatriation a été créée le 18/11/2003, soit 20 années d'activités. Le siège de la société est basé à ORBEY 68370. Elle possède un seul établissement. Son dernier bilan date du 20/5/2017. Hill vibz repatriation a choisi le statut juridique Association de droit local (Bas-Rhin, Haut-Rhin et Moselle). Elle opère sous le code NAF 94.99Z et évolue dans le secteur .
En droit français des associations, une association de droit local alsacien-mosellan est une association ayant son siège social dans l'un des départements d'Alsace-Moselle et qui, de ce fait, ne relève pas de la loi du 1er juillet 1901 mais des articles 21 à 79-III du code civil local entrés en vigueur le 1er janvier 1900 et éventuellement des autres dispositions de ce droit local pouvant lui être appliquées. Le cadre législatif d'une association de droit local, diffère donc de celui d'une association loi de 1901, ce qui conduit de nombreuses associations à établir leurs sièges sociaux dans les départements concernés sans nécessairement y exercer leur activité principale . La loi d'Empire allemand de 1908 (composée de neuf articles), qui sert parfois à dénommer improprement les associations de droit local, est en fait un texte concernant essentiellement les associations politiques. Elle a été abrogée en 2003 et ses dispositions ont été réparties entre divers autres textes, en particulier le code général des impôts et le code civil local. Les religions non soumises au concordat en Alsace-Moselle sont libres de s’organiser selon ce statut juridique protecteur d'association de droit local qui offre une grande capacité juridique.
Sept membres fondateurs sont nécessaires pour créer une association. Ce nombre n'est pas nécessaire au cours de la vie de l'association ; par contre, si le nombre de membres passe sous trois, elle perdra sa capacité juridique (voir ci-dessous). Ces membres fondateurs doivent signer les statuts de l'association. L'association n'a pas de déclaration à faire à la préfecture ou sous-préfecture mais doit demander son inscription au registre des associations tenu par le tribunal d'instance du siège de l'association. Un double contrôle est alors effectué par la justice (sur la forme) et par la préfecture (sur le fond) et cette inscription peut être refusée par le préfet en six semaines maximum. Ce contrôle porte tout particulièrement sur l'objet de l'association qui doit être en harmonie avec l'ordre public, les lois pénales et les bonnes mœurs. La publicité légale de cette inscription se fait par les journaux locaux ayant une rubrique de publications légales (et non par le JORF). Du fait du contrôle juridique, l'inscription sur le registre des associations tenu au tribunal d'instance donne à l'association la pleine capacité juridique. Par là même, elle peut dans certains cas avoir des activités à but lucratif (redistribution des bénéfices entre les membres) à condition de ne pas faire de concurrence directe à une entreprise ; elle peut alors être inscrite à une chambre de commerce ou de métiers et soumise à l'impôt sur les sociétés. Le décret no 2009-1693 du 29 décembre 2009 a confirmé, pour ce qui concerne l'Alsace-Moselle, la compétence du tribunal d’instance en matière de tenue du registre des associations.
Différentes dispositions contenues dans les articles 21 à 76 du droit local contiennent des précisions sur le fonctionnement ou l'organisation de l'association (contrairement à la loi de 1901 qui n'impose rien) comme : la représentation judiciaire et extrajudiciaire de l'association ; la désignation de la direction par l'assemblée des membres ; la révocation des dirigeants ; les modalités de prises de décisions par la direction ou l'assemblée générale ; le pouvoir de décision d'une assemblée générale et son champ de compétence ; les modalités et la procédure de modification des statuts ; le retrait du droit de vote d'un membre lorsque la résolution devant être votée a pour objet un acte juridique entre lui et l'association ; la non-cessibilité ni transmissibilité de la qualité de membre ; les modalités de dissolution de l'association par les membres ; la présence dans les statuts de dispositions obligatoires.Le droit local ne comporte pas (contrairement à la loi de 1901) : de dispositions imposant la tenue d'un registre spécial ni de registre des délibérations ; de délai de déclaration des modifications statutaires mais ces modifications ne sont applicables que si elles ont été enregistrées au tribunal d'instance ; de sanctions pour le cas où ces modifications ne seraient pas déclarées (cette sanction est inutile puisque la modification n'est pas opposable aux membres et aux tiers tant qu'elle n'a pas été enregistrée).Les associations de droit local sont de plus en plus soumises au droit général à mesure que les lois et règlements du droit général sont votés ou décidées car ces textes comportent maintenant systématiquement une disposition ou un article prévoyant que cette loi ou ce règlement est applicable aux associations relevant du droit local. C'est ainsi le cas pour les instructions fiscales de 1998 et 1999 relative à la notion de non-lucrativité et aux conséquences fiscales. Pendant quelque temps, ce statut a paru plus avantageux que celui de la loi de 1901 et il est arrivé que des associations aient créé leur siège social dans l'un de ces trois départements pour bénéficier de ce statut. Cela se raréfie puisque les dispositions législatives ou réglementaires du droit général s'étendent de plus en plus aux associations relevant du droit local.
La loi de 1901 prévoit, par ses articles 8 à 13 et pour les associations de droit général, la procédure de reconnaissance d'utilité publique. Il n'en est rien dans le code civil local. Afin de contourner le problème sans modifier la législation, l'article 80 de la loi de finances pour 1985 a prévu la reconnaissance d'utilité publique, non pas des associations elles-mêmes, mais de leur mission. Le décret no 85-1304 du 9 décembre 1985 en fixe les modalités d'application. Ainsi, une association désirant que sa mission soit reconnue d'utilité publique doit en faire la demande auprès du préfet du département concerné. Ses statuts doivent cependant exprimer un but non lucratif et un objet limité aux mêmes domaines que dans le droit général : philanthropique, éducatif, scientifique, social, familial ou culturel. Le préfet, ayant demandé l'avis du tribunal administratif de Strasbourg, statue sur la demande. Si adéquat, il arrêtera la reconnaissance d'utilité publique qui sera publiée au JORF et inscrite en complément de l’inscription initiale au tribunal d'instance compétent. Cette reconnaissance d'utilité publique déconcentrée diffère quelque peu de celle du droit général : à titre d'exemples, les associations locales ne peuvent pas bénéficier (en 1988) : du droit de se constituer partie civile dans certains cas ; de la mise à disposition de fonctionnaires territoriaux.La procédure d'agrément introduite dans le droit local ne concerne en fait que les dégrèvements fiscaux.
IDLAM, Le Guide du droit local, IDLAM, 2002, 3e éd. (ISBN 978-2-908484-15-1) Dominique Dagorne et Laurence Grisey Martinez, Associations d'Alsace-Moselle : Conseils pratiques, Strasbourg, IDLAM, avril 2005, 79 p. (ISBN 978-2-908484-14-4, BNF 40109631) Jean Joho, Guide pratique des associations d’Alsace-Lorraine, Colmar, J. Joho, 2005, 9e éd., 506 p. (ISBN 978-2-909379-12-8, BNF 37048980)
Institut du Droit Local Alsacien-Mosellan (IDLAM) : l'organisme documentaire du droit local (association à mission d'utilité publique depuis 1995) Texte de loi des Associations de droit local Alsacien-Mosellan (sur le site IDLAM) Application et applicabilité des textes en Alsace Moselle Différences entre les associations inscrites de droit local et les associations régies par la loi 1901 Démarche pour la création d'une association au Tribunal d'Instance de Metz Portail des associations Portail du droit français Portail de l’Alsace Portail de la Moselle
Le code APE - NAF 9499Z est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 493947 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne essentiellement des employés d'association.
Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 9499Z : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.
La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 9499Z est : "Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire, les salariés de cette branche sont essentiellement des employés d'association.
La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.
Aucune convention collective particulière n’est attribuée au code NAF 9499Z.
Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.
Pour être en conformité avec la loi, vous avez besoin de votre convention collective à jour en permanence des derniers accords, même non étendus. Voir les offres pour les conventions collectives du code NAF 9499Z.
Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.
Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 9499Z. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.
Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.
L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :
Si vous démarrez l'activité de "Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.
Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.
L'activité 9499Z est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :
Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.
L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers.
Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.
Il n’y a pas d’institut de formation pour le code NAF 9499Z.
En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.
En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.
L'établissement principal est domicilié au 8 rte de pairis, Orbey 68370. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.
À Orbey 68370, il y a 32 autres entreprises qui ont la même activité.
Orbey est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le 1er janvier 2021, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Ses habitants sont appelés les Orbelais et les Orbelaises.
La commune d'Orbey fait partie du canton de Lapoutroie et de l'arrondissement de Colmar-Ribeauvillé et occupe la haute vallée de la Weiss, incluant les lacs Blanc et Noir. Elle s'adosse au massif des Vosges, dominée par les sommets du Linge, du Gazon du Faing et de la Tête des Faux. L’altitude du bourg est de 550 mètres. Orbey comprend de nombreux hameaux et des fermes éparpillées sur les versants de la montagne : ces dernières étant transformées en grande partie en maisons de vacances ou de weekend. La population est de langue française. C'est une des 188 communes du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Orbey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine d'Orbey, une unité urbaine monocommunale de 3 552 habitants en 2017, constituant une ville isolée,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,6 %), prairies (28,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones urbanisées (2,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,7 %), terres arables (1 %), eaux continentales (0,7 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Orbeiz en 1049 ; Orbetz vers 1080 ; Urbeis en 1241 ; Urbeisz en 1318 ; vault d'Orbeis en 1421 ; vaux de Urbeis en 1440 ; Urbeiss en 1441 ; Orbey en 1580.Orbey : formée sur le vieux haut allemand uro « ours », et bah (« ruisseau »). À comparer avec les divers Urbach et Orbais (Belgique, Marne). En alsacien Urwes, en allemand Urbeis. En patois welche Orbéy.
Orbey apparaît pour la première fois en 1049 avec la donation faite par le pape Léon IX au couvent de Wolffenheim (Sainte-Croix-en-Plaine). Il s'agit d'une « villication », Meierhof ou Dinghof (cour domaniale) dont le règlement date de 1536. Orbey est aussi mentionné en 1252 comme commune, une des premières d'Alsace. Elle avait le droit d'avoir un marché hebdomadaire. Le village fait partie des possessions de la seigneurie du Hohnack puis des comtes d'Eguisheim, ensuite des comtes de Ferrette puis aux Habsbourg qui le cèdent en fief aux sires de Ribeaupierre. Cette commune, autrefois chef-lieu de bailliage, renferme les ruines de la célèbre abbaye de Pairis (abbatia Parisiennsis) de l'ordre de Citeaux, fondée en 1138, par Ulric ou Udalric, petit-fils de Gérard d'Alsace et dernier comte d'Eguisheim. Orbey est alors seule localité de la vallée à avoir le droit de tenir un marché hebdomadaire. L'abbaye cistercienne de Pairis fut particulièrement importante pour l'histoire de la vallée. Elle fut fondée en 1138 par Ulrich de Ferrette qui fit venir des moines de Lucelle. Le comte d'Eguisheim qui était propriétaire de la vallée fit d'importantes donations au couvent. L'abbaye reçut également de nombreux privilèges de l'empereur Frédéric I Barberousse, qui la prit sous sa protection. Frédéric II lui accorda par la suite l'exemption de tout impôt. L'abbaye jouissait du privilège d'être libérée de toute autorité spirituelle et laïque et de toute juridiction, ne dépendant que de l'ordre cistérien et du pape. Elle disposait aussi d'élire librement son abbé. Les empereurs étaient les avoués de l'abbaye, mais elle ne pouvait en choisir à sa guise comme en 1218 le duc de Lorraine et le comte Frédéric de Ferrette. L'abbaye était richement possessionnée en 1500 dans plus de 80 localités et en 1652 dans 90 localités. Mais par suite d'une mauvaise administration, la communauté s'endetta. À partir de 1452 elle devint un prieuré dépendant de l'abbaye de Maulbronn au Wurtemberg.Pendant la guerre des paysans, en 1525, Pairis fut pillé par les Rustauds, mais après la répression de la révolte, les paysans durent payer les réparations. Quant en 1536, les ducs de Wurtemberg embrassèrent la Réforme, l'abbé de Maulbronn se rendit avec la plupart des moines à Pairis, puis il quitta les lieux pour se rendre à Einsiedeln. La Guerre de Trente Ans fut ruineuse pour Pairis qui fut pillé et détruit en grande partie par les Suédois. Ils donnèrent l'abbaye au noble Wetzel von Marsilien et à sa veuve, puis le droit de collation revint au roi Louis XIII qui nomma Bernardin Buchinger. Il fait restaurer l'abbaye au XVIIIe siècle. Au cours de la Révolution, l'abbaye devint un bien national. Le dernier abbé Antoine Delort et les neuf moines encore sur les lieux quittèrent l'endroit. Les bâtiments furent saccagés de fond en comble. En 1849, la commune d'Orbey propriétaire des lieux fit installer dans les bâtiments en ruines un hospice pour les personnes âgées,. Après avoir été pillée par les Anglais en 1356 et par les Armagnacs en 1444, puis par les paysans en 1525 le couvent de Pairis fut rattachée en 1453, comme prieuré, à l'abbaye wurtembergeoise de Maulbronn, et devint la proie des flammes vers la fin du XVe siècle. Gustaf Horn en fit don, en 1632 à la famille de Marsilly, mais Louis XIII la rendit à l'ordre de Citeaux et à son savant dignitaire, l'abbé Buchinger. La Révolution l'a mis au nombre des biens nationaux. Les bâtiments, quoique relativement modernes et affectés à l'hospice d'Orbey, ont des caveaux et autres substructions fort anciennes. On y voit encore quelques débris de sculptures des XIIe et XIIIe siècles. Le 16 décembre 1944, après de durs combats, Orbey est libérée par Doyen, descendant direct de Husson Urbain né en 1597 à Orbey, permettant de réduire la poche de Colmar.
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi : total des produits de fonctionnement : 2 793 000 €, soit 750 € par habitant ; total des charges de fonctionnement : 2 461 000 €, soit 661 € par habitant ; total des ressources d’investissement : 1 057 000 €, soit 284 € par habitant ; total des emplois d’investissement : 1 224 000 €, soit 329 € par habitant. endettement : 3 809 000 €, soit 1 023 € par habitant.Avec les taux de fiscalité suivants : taxe d’habitation : 10,74 % ; taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,96 % ; taxe foncière sur les propriétés non bâties : 72,16 % ; taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ; cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006. En 2020, la commune comptait 3 461 habitants, en diminution de 4,18 % par rapport à 2014 (Haut-Rhin : +1,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Antoine Bois a créé sa manufacture d'orgue à Orbey, en 1980,.
Orbey a un collège public d'enseignement secondaire, le collège Georges-Martelot.
Cette église est dédiée à saint Urbain, le patron des vignerons, patronage inspiré par les comtes d'Eguisheim. Aucun document ne nous renseigne sur l'emplacement du premier lieu de culte d'Orbeiz. Il s'agissait probablement d'une métairie placée sous l'administration de l'abbaye de Pairis. La première apparition d'un lieu de culte à Orbey est mentionné dans une bulle papale du 18 novembre 1049 adressée au couvent de Heiligkreuz (Sainte-Croix-en-Plaine). Un habitant d'Orbey était désigné pour collecter les dîmes revenant à l'église d'Orbeiz. Les revenus du domaine étaient partagés avec les comtes d'Eguisheim, l'autre partie allant à l'abbaye de Pairis pour les rémunérer de l'administration du village. La communauté paroissiale était alors rattachée à celle de Savamont connue aujourd'hui sous le nom de Sigolsheim. Orbeiz apparaît en tant que commune à partir de 1252 et comme paroisse autonome à partir de 1398. L'existence d'une tour, dont on a découvert les fondations lors de la construction de la deuxième église et que l'on a utilisée pour refaire le clocher ne révèle pas nécessairement l'édifice de la première église. Celle-ci devait être assez modeste, vu la position stratégique de cette tour. Elle était probablement destinée avant tout à surveiller la vallée de Tannach et celle de la Weiss. La forteresse du Gutemberg au Bonhomme avait à peu près le même objectif. L'église d'Orbey existait sans doute déjà avant l'arrivée des moines de l'abbaye de Pairis vers 1138. Lors de la disparition du monastère de Sainte Croix-en-Plaine en 1536, les droits de celle-ci furent octroyés à la ville de Colmar, qui les transmit rapidement à l'abbaye de Pairis. C'est à cette époque que l'église d'Orbey fut placée sous le patronage de saint Urbain, pape clunisien. La population d'Orbey devenant plus importante, la construction d'une lieu de culte plus important fut envisagée. C'est alors qu'une deuxième église fut édifiée. Les archives de l'abbaye de Pairis mentionnent qu'en 1736, elle finança la réfection du toit. À partir de 1760, une troisième construction de style roman fut édifiée sur l'emplacement du bâtiment actuel. Les pierres de l'ancienne tour furent utilisées pour le clocher qui fut surélevé en 1837 pour y placer une nouvelle cloche. Le maire d'Orbey, Eugène Lefebure, député du Haut-Rhin, prit l'initiative de construire un édifice plus digne d'une commune dont la population ne faisait qu'augmenter. En 1841, Orbey comptait une population de 5656 âmes, et en 1858 la population déclina légèrement pour approcher les 5259 habitants. En accord avec le curé Léon Deschamps, la municipalité, après quelques réticences, dues au coût élevé de la construction, accepta le projet présenté par le maire. La belle église que le visiteur peut admirer fut placée perpendiculairement à l'ancien emplacement et le cimetière transféré sur la pente voisine. En 1858, l'église étant toujours en construction, les curés successifs firent appel à la générosité des Orbelais pour embellir l'église, placer des vitraux et refaire les peintures, mosaïques... Au cours de la Première Guerre mondiale, l'église à peine achevée fut endommagée, et les réparations durèrent plusieurs années. Au cours de la guerre1940-1945 trois obus détruisirent le chœur et la nef de l'église. Tout était donc à refaire. Les travaux durèrent jusqu'au 22 avril 1957, année où monseigneur Jean-Julien Weber, évêque de Strasbourg consacra l'église restaurée. Mais ce n'est qu'entre 1963 et 1967 que la restauration de l'église d'Orbey fut achevée. Une ancienne chapelle devait déjà exister avant 1600, mais avec les troubles de la Révolution des fanatiques ont mis cette chapelle à terre. Plus tard, au XVIIIe siècle la chapelle est reconstruite, mais on y associe alors une école. Bombardée pendant la Première Guerre mondiale en 1915 précisément, le bâtiment est à nouveau endommagé. Il sera à nouveau restauré en 1927. L'édifice actuel est surmonté d'un clocher. Une cloison sépare l'église de l'école, ce qui est très utile lors de l'affluence des fidèles pendant les grandes fêtes, notamment la fête patronale célébrée le 4 décembre. Dans ce cas on déplace la cloison mobile qui sépare l'école de la chapelle. La pose de la première pierre de l'église a lieu le 8 septembre 1865. La construction fut cependant très problématique. Il existait déjà au même endroit une chapelle érigée en 1810, qui fut bien trop petite pour accueillir les fidèles avec l'augmentation de la population. Le hameau de Basses-Huttes possédait en 1810 une chapelle qui devait abriter les paroissiens du hameau et des écarts voisins des Hautes-Huttes et du Soultzbach, la population avoisinait alors les mille habitants. Dès 1853, les Basses-Huttes sont érigées en paroisse auxiliaire de Lapoutroie, cela en dépit même de la modestie des lieux du culte. Très vite, il s'avère que la chapelle des Basses-Huttes est beaucoup trop petite pour accueillir les paroissiens. Le curé Claudepierre échafaude alors un plan pour faire construire un nouvel édifice plus grand. Il achète un terrain à proximité de la petite chapelle et en fait don à la fabrique de la paroisse. Il sollicite des dons de tous les côtés pour entreprendre la construction de la nouvelle église. Il organise des quêtes dans tout l'arrondissement de Colmar et le succès est au rendez-vous. Le 8 septembre 1865, on procède à la pose de la première pierre de l'église Sainte-Catherine. Deux ans plus tard, en 1867, l'église est consacrée. Pourtant le chantier s'éternise, faute d'argent. En 1870, en désespoir de cause, le curé s'adresse à l'impératrice Eugénie, épouse de l'empereur Napoléon III et fervente catholique. Il adresse une lettre à l'impératrice : « La commune d'Orbey, dont ma paroisse fait partie est pauvre. Elle vient de construire une église aussi. Mes paroissiens qui sont pauvres, mais pleins de bonne volonté, ont employé les matériaux gratuitement » écrit-il. Finalement l'église sera achevée. Pendant la Première Guerre mondiale, le bâtiment est endommagé du fait de la proximité de la montagne du Noirmont et du Rain des Chênes, situés au pied du collet du Linge où les combats font rage. Dans les décombres de l'église bombardée, un chasseur alpin français retrouve intacte la statue en bois de la Vierge datant du XVIIe siècle. Il décide de la placer dans un petit oratoire creusé dans les tranchées du Linge où les Poilus viennent se recueillir avant les combats. À la fin de la guerre, la statue est rapportée à l'église, qui est reconstruite en 1925. L'église sera à nouveau détruite lors des combats de la libération de l'hiver 1944-1945. La paix revenue, l'église renaît de ses cendres. Sur les hauteurs d'Orbey, en direction du col de Bermont et de la statue du Sacré-Cœur se trouve la chapelle Saint-Genest. Construite en 1888, puis reconstruite en 1925, elle comprend une nef et une abside légèrement plus basse, un clocher avec un toit en bâtière flanqué sur le bâtiment. L'intérieur de la chapelle est décoré de statues, de vitraux financés par de généreux donateurs du hameau. L'autel comme les vitraux témoignent de cet art religieux rural robuste et soigné de la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle. C'est un décret impérial du 6 septembre 1813 qui a autorisé un culte public dans cette chapelle sous le vocable de chapelle du Bon Secours de Saint-Genest. Pendant la Première Guerre mondiale, la chapelle située sur la ligne du front a été endommagée puis reconstruite. Plusieurs vestiges et des tranchées ainsi que des bunkers se trouvent à proximité de la chapelle. Les habitants du secteur, après la guerre se sont activés à relever des ruines cette chapelle grâce à des dons et aux dommages de guerre. Une bénédiction solennelle a marqué le retour au culte le 11 novembre 1926. La reconstruction a été l'œuvre d'Émile Jokers. Les peintures murales sont de M. Bottinelli, artiste peintre du Bonhomme, le maître autel étant de MM. Ruthmann et Russchmann. Vitraux et statues ont été offerts par les habitants du hameau: on y retrouve notamment les noms des familles du Creux d'Argent mais aussi des hameaux du Lait, de la Matrelle tous proches. Au début des années quatre-vingt-dix, la commune a procédé à des travaux de remise à neuf des peintures extérieures. Des messes sont encore régulièrement célébrées dans ce qui était autrefois un lieu de pèlerinage. Les propriétaires de la ferme à proximité, la famille Knopf, entretiennent le lieu. On peut s'adresser à eux pour les visiter. Le monastère Saint Jean-Baptiste est occupée par des moniales Dominicaines et a été transféré à Orbey depuis 1973, dans une ferme aménagée permettant la vie communautaire. Ce monastère était auparavant implanté à Logelbach près de Colmar. Ce sont deux veuves désirant se consacrer à la vie contemplative qui ont fondé la première communauté à Colmar, onze ans après le décès de Saint Dominique. La communauté s'est ensuite agrandie. Les deux fondatrices ont été initiées à leur forme de vie monastique de saint Sixte à Rome. À leur retour, elles prirent l'habit de l'ordre des Dominicaines et placées sous cet ordre en 1245. Le monastère d'origine fut dédié à Saint Jean Baptiste. En 1269, Albert le Grand consacra l'église et Maître Eckhart fit une visite canonique en 1322. En 1792 les religieuses furent expulsées de leur bâtiment qui est devenue aujourd'hui le musée Unterlinden de Colmar. Pendant plus d'une centaine d'années, la communauté avait ainsi disparu de l'Alsace. En 1899, six moniales dont trois alsaciennes, toutes du monastère d'Oullins(Lyon) se rendirent à Colmar pour y refonder un monastère des Dominicaines. En 1926, le monastère est transféré à Logelbach, dans la banlieue de Colmar et y reste jusqu'au transfert à Orbey en 1973. La communauté compte quatorze religieuses âgées de 26 à 92 ans. Le Monastère est affilié à la Fédération Notre-Dame des Prêcheurs. Ce monument fut édifié sur la chaume de la colline du Creux d'Argent à la suite de la mission prêchée en 1933. Conçue comme un acte à Dieu, la mission est un acte important dans la vie religieuse, marqué par de nombreuses prédications, messes et processions. L'usage veut qu'à la suite de cette période on édifie un croix ou un monument religieux. Sur le socle de la statue du Sacré-Cœur figure deux plaques, l'une commémorant la mission, tandis que la seconde rappelle la rupture de la digue du lac Noir en 1933. Une première tour est construite en 1891. Elle est détruite en juillet 1915 car elle servait à l'observation de l'armée allemande. Reconstruite entre 1932 et 1934, elle est inaugurée le 19 août 1934. Elle est à nouveau détruite le 11 décembre 1944 lors de la libération d'Orbey. Reconstruite à l'identique, elle est inaugurée le 15 août 2002. Depuis le sommet de la tour du Faudé on a une magnifique vue de tout le canton. Ferme de la Graine-Champs. Les ruines sont situés sur un piton, à 927 mètres d'altitude, sur le banc de la commune de Labaroche qui se trouve sur la ligne de crête qui sépare la vallée de Munster de celle d'Orbey. Il domine les Vosges jusqu'au Haut-Koenigsbourg et la plaine d'Alsace jusqu'à la Forêt-Noire. Les premiers maîtres de la région furent les comtes d'Eguisheim qui prirent le nom de leur château vers 1038. C'était une famille très puissante qui descendait probablement des anciens ducs d'Alsace et détenait à ce titre de comte du Nordgau, c'est-à-dire de la Basse Alsace.C'est probablement Hugues IV, le père de Bruno d'Eguisheim, devenu pape sous le nom de Léon IX, qui fera construire le château du Hohnack. Il sera ainsi à l'origine de la seigneurie du Hohnack et de la mise en valeur de la région. Les comtes d'Eguisheim avaient de bons rapports avec la Lorraine. Pour protéger le passage de la route du Bonhomme, les religieux de Saint-Dié qu'ils connaissaient firent défricher l'endroit pour permettre de construire une route reliant la Lorraine à l'Alsace à travers le Col du Bonhomme. Le château du Hohnack était une bâtisse imposante ayant 280 pieds de longueur (soit 90 m) et 210 pieds de largeur (soit 67 m). Une enceinte polygonale entourait une cour à l'intérieur de laquelle s'élevait un donjon carré. la famille d'Eguisheim s'éteignit avec le décès du comte Ulrich en 1141. Comme il n'avait pas d'héritier direct, les biens passèrent à son neveu Louis, comte de Ferrette. Mais le Honack échappèrent aux Ferrette. Les sires de Ribeaupierre une autre famille puissante, cherchaient à agrandir leur domaine, ils s'emparèrent du Hohnack, tout en restant vassaux des Ferrette. En 1324, le comte Ulrich III mourut, et ses domaines passèrent à sa fille Jeanne, mariée à Albert de Habsbourg, duc d'Autriche. Désormais les Ribeaupierre furent les vassaux des Habsbourg,. Les deux lacs, naturels, datent de la période glaciaire et sont nichés dans le paysage sauvage du parc naturel régional des Ballons des Vosges. L'aménagement du lac Blanc et du lac Noir associe de façon originale les deux lacs naturels dans un système de transfert d'énergie par pompage/turbinage. C'est la première installation française de ce type, construite de 1928 à 1933 par le groupe industriel de René Koechlin, l'inventeur de l'aménagement hydroélectrique du Rhin. Elle avait pour but de produire de l'électricité aux heures de pointe, tout en utilisant la production de nuit de Kembs, première centrale française du Rhin. L'exploitation et la maintenance sont assurées par les équipes du Rhin. La centrale est reliée aux hommes 24 h sur 24. Tout dysfonctionnement est enregistré par un automate qui met l'installation en sécurité et transmet un message d'alarme par téléphone à l'agent de service. Celui-ci intervient à distance ou sur place selon l'évènement. Propriété de l'EDF depuis 1946, la station a été rénovée et modernisée de 1990 à 2002. L'originalité de fonctionnement de l'ouvrage consiste à échanger la même eau entre le lac Blanc et le lac Noir, séparés par 120 mètres de dénivelé. La production d'électricité est réalisée lors des pointes de consommation par le turbinage de l'eau du bassin supérieur. En faible consommation, l'eau du bassin inférieur est renvoyée dans le lac Blanc par pompage pour y être stockée jusqu'au prochain besoin. Cette opération consomme de l'électricité mais au coût des « heures creuses », d'où son atout économique. Compte tenu de la rapidité de la mise en service des groupes (80 000 kW) en 7 minutes, pendant 6 heures (si nécessaire), le lac Noir constitue un maillon intéressant dans la sécurité d'alimentation électrique des clients. Le fonctionnement est entièrement piloté à distance depuis un centre de commande régional. Le lac Noir est situé dans un cirque glaciaire érodé par les glaciers, à une distance d'un kilomètre en aval du lac Blanc. Contrairement à ce dernier, ses eaux sont de couleur brune car il est alimenté par une tourbière, d'où son nom. Pourvu comme son voisin d'une digue artificielle, le lac Noir constitue avec le lac Blanc, un double réservoir qui permet le fonctionnement de l'usine hydroélectrique implantée sur la rive nord-est. La conduite de pompage qui relie les deux lacs se rompt en 1934 ; une masse d'eau s'abat sur le toit de l'usine, qui s'effondre engloutissant neuf personnes. En 1938, la centrale est remise en service. Maison d'industriel de la famille Lefébure.
La commune a été décorée le 02 novembre 1921 de la croix de guerre 1914-1918 et le 12 février 1949 de la Croix de guerre 1939-1945.
Thierry Schoeré, forgeron originaire d'Orbey, dont l'Eglise catholique reconnaît la véracité des apparitions de la Vierge Marie qu'il aurait eues le 3 mai 1491 au lieu actuel du pèlerinage Notre-dame des Trois-Epis. Pierre de Blarru : poète de langue latine, né le 6 avril 1437 à Blancrupt, décédé à Saint-Dié le 23 novembre 1505. Léon Albert Lefébure, né le 31 mars 1838 dans le Haut-Rhin et mort à Orbey (Haut-Rhin) le 4 avril 1911, est un écrivain, journaliste et homme politique français.
Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, 1995, 663 p. (ISBN 2-7165-0250-1) Orbey, St-Urbain : inventaire de l'instrument et historique La guerre de 1914-1918 dans les montagnes de la Haute-Meurthe. Orbey : page 17 Orbey et ses passeurs; Orbey et son réfractaire à l'incorporation de force Les Passerands des 11e, 14e, 114e BCA au Linge en juillet-août 1915 Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3) Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet Inventaire national du patrimoine naturel de la commune Liste des communes du Haut-Rhin Liste des monuments historiques du Haut-Rhin Site officiel Site de l'Office de Tourisme Site officiel de la Communauté de Communes de la Vallée de Kaysersberg Musée mémorial du Linge Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire national du patrimoine naturel : Stosswihr. Espaces : Liste des espaces protégés et gérés, Liste des ZNIEFF, Liste des sites Natura 2000. Espèces : Liste des espèces recensées, Liste des espèces protégées recensées postérieurement à 1950, Statistiques sur le statut biologique des espèces recensées Portail du Haut-Rhin Portail des communes de France