La société du jour: Entreprise michel et nicolas jouve

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Entreprise michel et nicolas jouve

La société Entreprise michel et nicolas jouve a été créée le 1/4/2003, soit 20 années d'activités. Le siège de la société est basé à MONTELIMAR 26200. Elle possède un seul établissement. Le gérant de la société est Nicolas Maurice Frédéric JOUVE. Elle a un capital social de 7500 €. Son dernier bilan date du 29/8/2022. Elle emploie 6 à 9 salariés. Entreprise michel et nicolas jouve a choisi le statut juridique SAS, société par actions simplifiée. Elle opère sous le code NAF 43.34Z et évolue dans le secteur .

SAS, société par actions simplifiée, c'est quoi ?

Sigle

Le sigle ou acronyme SAS peut signifier :

Culture et société

Un sas (du latin médiéval s(a)etatium, « tamis », utilisé dans le sens de « destiné à trier le passage ») est un dispositif qui permet de passer d'un lieu à un autre, d'un environnement à un autre.

Patronyme

Sas est un nom de famille notamment porté par : Éva Sas, une personnalité politique française ; Jean Sas, un humoriste et animateur de radio et de télévision français.

Toponyme

Sas, Šas ou Saš est un nom de lieu notamment porté par : Šas, un village de la municipalité d'Ulcinj, dans le sud-est du Monténégro ; Saš, un village de la municipalité de Tutin, en Serbie ; Sas de Gand, une petite ville de Zélande, aux Pays-Bas.

43.34Z -

Le code APE - NAF 4334Z est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 82 186 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 86 602 salariés, essentiellement des peintres en bâtiment et des vitriers.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 4334Z : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 4334Z est : "Travaux de peinture et vitrerie".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Travaux de peinture et vitrerie, les salariés de cette branche sont essentiellement des peintres en bâtiment et des vitriers.

La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Pour être en conformité avec la loi, vous avez besoin de votre convention collective à jour en permanence des derniers accords, même non étendus. Voir les offres pour les conventions collectives du code NAF 4334Z.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 4334Z. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Travaux de peinture et vitrerie", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 4334Z est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) ont été remplacés par le guichet unique qui centralise désormais l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité. Le nouveau registre d'immatriculation des entreprises est le RNE (Répertoire National des Entreprises). Le guichet unique est accessible via le site de l'INPI.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Registre National des entreprises.

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour les organismes de formation relevant de l'activité Travaux de peinture et vitrerie :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Travaux de peinture et vitrerie”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Entreprise michel et nicolas jouve

L'établissement principal est domicilié au 18 che de la nitriere, Montelimar 26200. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Montelimar 26200, il y a 177 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Montelimar ?

Montélimar est une commune du Sud-Est de la France dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes, entre Valence et Avignon. Historiquement, la ville se rattache au Dauphiné. Avec 39 790 habitants recensés en 2020, Montélimar est la deuxième ville la plus peuplée de la Drôme après Valence. Ses habitants sont dénommés les Montiliens et Montiliennes.

Géographie

Représentations cartographiques de la commune

Urbanisme

Montélimar est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine de Montélimar, une agglomération inter-départementale regroupant 7 communes et 56 765 habitants en 2017, dont elle est ville-centre,. La commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,4 %), zones urbanisées (28,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,1 %), forêts (10,1 %), terres arables (6,1 %), eaux continentales (4,6 %), cultures permanentes (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui). La ville a un plan classique de ville gallo-romaine, avec un axe nord-sud (le Cardo), anciennement Grand'rue et aujourd'hui appelé rue Pierre-Julien (en l'honneur de Pierre Julien, résistant de la Seconde Guerre mondiale), croisé au centre de la ville par l'axe est-ouest (le Decumanus), l'actuelle rue Saint-Gaucher prolongée par la rue Montant-au-Château. À la croisée de ces deux axes principaux, on trouvait généralement, dans les villes romaines, le forum, haut lieu de la vie économique de la cité. Par la suite, autour de ces deux axes d'origine romaine, la ville s'est construite selon un plan circulaire typique du Moyen Âge. Le plan du centre-ville ressemble donc à une cible : un cercle barré d'une croix, et un point de croisement au milieu. Le pourtour circulaire extérieur de la ville, calqué sur le tracé des anciens remparts est constitué des boulevards Aristide-Briand, Marre-Desmarais, Meynot et du Fust (ce dernier est communément appelé Allées provençales). En 1999, le nombre total de logements dans la commune était de 10 029. En 2009, il est de 10 500. Parmi ces logements, 95,8 % sont des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 2,9 % des logements vacants. 53,7 % d'entre eux sont des maisons individuelles et 45,2 % des appartements. La proportion des résidences principales est de 49,4 %, en hausse par rapport à 1999 (45,4 %). La part de logements HLM loués vides est de 13,8 contre 16,7, leur nombre étant quasiment inchangé 2 217 contre 2 221(. À partir de 2001, sous l'impulsion du maire Franck Reynier, de vastes projets d'aménagement de zones commerciales ont été lancés. La ville s'est notamment dotée d'une double zone artisanale, au nord et au sud, qui forme une banlieue très étendue par rapport au centre-ville à la surface limitée[réf. nécessaire]. La commune est située dans la vallée du Rhône, ce qui lui permet un accès facile à de nombreuses infrastructures.

Toponymie

En provençal, la ville est dénommée Mountelimar [muⁿteliˈmar] selon la graphie mistralienne,. le dialecte local est le vivaro-alpin.

Histoire

La présence humaine à l'emplacement de Montélimar est très ancienne. Les premières traces sont un ensemble de silex taillés datant de -50 000 ans (époque du moustérien)[réf. nécessaire]. Le site de Gournier est occupé à partir de -6000 (mésolithique)[réf. nécessaire]. En 2005-2006, des fouilles effectuées lors de travaux sur la zone 5 de Portes-de-Provence ont permis la découverte de foyers néolithiques à pierres chauffées datant du Néolithique moyen chasséen. Site du Gournier : la civilisation chasséenne s'y développe à partir de -3600 ans[réf. nécessaire]. Le musée de Montélimar expose des objets de la préhistoire. Montélimar appartient au territoire du peuple celte des Ségovellaunes. La cité est positionnée sur les deux promontoires de la ville : l'oppidum de Géry, lieu de l'ancien confluent du Jabron et de Roubion, et sur l'extrémité de la côte de Narbonne. L'oppidum de Géry a souvent été assimilé au site de Dourion mentionné par Strabon, mais selon François Salviat, cette identification est erronée. Montélimar se nomme Acunum mansio, une station romaine dont le nom se retrouve dans celui Aygu, un de ses faubourgs. C'est un relais de poste installé près du pont sur le Roubion et qui est signalé par la table de Peutinger[réf. nécessaire]. La via Agrippa a joué un rôle majeur dans le développement de l'agglomération. La cité est probablement aussi un relais pour le commerce régional comme en témoigne une inscription mentionnant des utriculaires. Au Ier siècle avant notre ère, l'emplacement de Géry est progressivement abandonné au profit de la ville nouvelle (centre-ville actuel de Montélimar)[réf. nécessaire]. Sont attestés : des thermes au nord du centre ville actuel. des débris architecturaux et ornementaux des Ier et IIe siècles, sépultures sous tuile du IVe et Ve siècles. des vestiges d'aqueducs. La cité est alimentée en eau par trois aqueducs dont un dessert l'établissement thermal de Bondonneau où l'on a retrouvé une centaine de petites piscines[réf. nécessaire].Pendant les grandes invasions, la ville se sépare en deux entités distinctes : la ville nouvelle autour du promontoire de Narbonne et Acunum qui va fortifier le pont sur le Roubion[réf. nécessaire]. C'est là, autour du prieuré d'Aygu, que l'on retrouve, à l'époque moderne et jusqu'au XIXe siècle, plusieurs sépultures d'époque romaine et des inscriptions, dont les pierres sont parfois remployées lors de la construction des maisons du quartier Saint-James. Vers le VIIe siècle, on voit apparaître la famille des Adhémar dans certaines sources. Une généalogie non fondée mentionne Lambert Adhémar de Monteil, né vers 685, duc de Gênes, baron et seigneur de Monteil. La généalogie des Adhémar n'est vraiment établie que depuis le XIIe siècle[réf. nécessaire]. Les Adhémar possèdent la seigneurie de Monteil dès le XIe siècle. En 1070, Guillaume-Hugues Adhémar est seigneur de Montélimar (« seigneur de Monteil »). Il pourrait être le frère d'Adhémar de Monteil, évêque du Puy et légat apostolique pour la première croisade. Cette parenté est discutée. Au XIIe siècle, les Adhémar font construire leur château sur le promontoire de Narbonne à la place d'un château plus ancien. La famille dominera la région de Montélimar jusqu'au XIVe siècle[réf. nécessaire]. La seigneurie : Au point de vue féodal, Montélimar appartenait fort anciennement aux Adhémar (de Monteil). 1198 : les Adhémar donnent une charte de liberté municipale aux habitants. 1285 : les Adhémar hommagent une partie de Montélimar aux évêques de Valence. Les Adhémar se partagent la ville. 1339 : une partie est vendue aux comtes de Valentinois. 1340 : une autre partie est vendue aux papes. 1419 : les dauphins héritent des comtes de Valentinois. 1426 : Ils transfèrent à Montélimar leur atelier monétaire de Mirabel qui y fonctionnera jusqu'en 1477. 1447 : Ils acquièrent la partie pontificale et deviennent les seigneurs de toute la terre. 1498 : les rois de France intègrent Montélimar dans le duché de Valentinois érigé pour les Borgia. 1548 : le duché passe à Diane de Poitiers. 1642 : le duché est attribué aux princes de Monaco, derniers seigneurs.Entre le XIe siècle et le XIVe siècle, les Adhémar vont acquérir, construire ou étendre, autour de leur fief principal, de nombreux châteaux : Grignan, Châteauneuf-du-Rhône, Rochemaure, La Garde-Adhémar), etc. À leur apogée, ils contrôleront une trentaine de seigneuries. Grignan, par exemple, entre dans leurs possessions à partir du XIIe siècle. Au XIIe siècle, Montélimar fait partie du marquisat de Provence qui s'étend jusqu'au confluent de l'Isère et du Rhône. En 1198, la seigneurie de Montélimar est partagée entre deux frères, Giraud et Lambert Adhémar. Dès le milieu du XIIe siècle, la cité des Adhémar est désignée sous le nom de « Monteil des Aimar »[réf. nécessaire]. Lorsque les comtes de Toulouse perdent leurs possessions de la rive gauche du Rhône à l'issue de la croisade dite "des Albigeois", celles-ci passent aux papes d'Avignon et Montélimar restera sous leur suzeraineté jusqu'au XIVe siècle[réf. nécessaire]. En 1312, les biens de la commanderie des templiers sont recueillis par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. En 1365, la majeure partie de la ville (qui est une co-seigneurie) est cédée par Giraud Adhémar au pape Urbain V. Celui-ci fait rénover le palais seigneurial et entretenir les remparts. Les papes souhaitant étendre leur État (le Comtat Venaissin) vers le nord et l'unifier géographiquement, Clément VII échange Montélimar, en 1383, contre Grillon (voir Enclave des papes). Les papes conservent cependant certains droits féodaux sur la ville de Montélimar et son château[réf. nécessaire]. En 1376, Grégoire XI ramène la papauté à Rome. Dès lors, pour les papes, les possessions avignonnaises et dauphinoises deviennent moins stratégiques. En 1447, le pape Nicolas V cède ses droits sur Montélimar au dauphin, futur Louis XI, fils de Charles VII qui devient alors le maître de la ville et de son château. 1471 (démographie) : 279 familles et 9 juifs. Pendant les guerres de religion, en 1562, la ville est prise et pillée par le baron des Adrets, la garnison est exécutée afin de venger les massacres d'Orange. Les nobles s'enrichissent par le pillage et le peuple s'appauvrit. En réaction, les paysans commencent à s'assembler pour défendre leurs intérêts communs dès la fin de l'année 1577. Le 22 août 1578, les habitants de Montélimar refusent l'entrée à l'exacteur chargé de prélever la taille. Fin 1579, les paysans forment des armées qui expulsent les troupes de soudards de la vallée du Rhône, avant que la répression nobiliaire et royale n'écrase le mouvement dans le sang l'année suivante. En 1587, la ville, défendue par les catholiques Laurent de Maugiron et François de La Baume, est assiégée par les troupes huguenotes du duc de Lesdiguières qui s'en rend maitre. En 1599, la ville est presque entièrement protestante ; il ne reste plus que 10 % de catholiques. Avec la Contre-Réforme, le nombre des catholiques repasse à 50 % en 1673, à la suite des prédications et des conversions imposées par les dragonnades. Démographie : 1742 : 680 familles, occupant 710 maisons. 1766 : 5 000 habitants.Au XVIIIe siècle, les famines disparaissent mais les crises de subsistance provoquent régulièrement des disettes et des poussées de mortalité. Montélimar connaît ainsi des pics de mortalité en 1760, 1764, 1767, 1772, 1779, 1782 et 1786. Les trois principales sont celles de 1760 (plus de 250 morts pendant l'hiver), 1779 (près de 400 morts) et 1786 (idem). La population est majoritairement agricole : 41 % des habitants travaillent la terre ou sont bergers en 1796. Le secteur commercial et artisanal est important, avec 30 % de la population active. Enfin, la ville héberge des militaires. Avant 1790, Montélimar était une des dix villes du Dauphiné, dont les consuls siégeaient à la tête des députés du troisième ordre, dans les États de cette province, le chef-lieu d'une élection et d'une subdélégation et le siège d'une sénéchaussée et d'un gouvernement de place : L'élection de Montélimar, dont l'étendue était approximativement celle des trois arrondissements de Die, de Montélimar et de Nyons, comprenait 237 communautés, réparties entre quatre subdélégations : le Buis, Crest, Montélimar et Saint-Paul- Trois-Châteaux (voir introduction). La subdélégation de Montélimar comprenait 46 communautés (voir introduction). La sénéchaussée fut établie en 1447 : tribunal composé d'un président, d'un lieutenant particulier, de deux assesseurs, d'un avocat et d'un procureur du roi, elle connaissait en première instance de toutes les causes de Montélimar, de Saint-Marcel-de-Sauzet, de Sauzet et de Savasse, et sur appel de toutes celles de son ressort, comprenant 51 communautés, et en outre des matières bénéficiales dans les ressorts de Crest, de Die, de Valence et d'Orange. Le gouvernement militaire de Montélimar comprenait un gouverneur, un lieutenant de roi et un major.Montélimar était également une paroisse du diocèse, de Valence, dont l'église, sous le vocable de Sainte-Croix, était le siège d'un chapitre ou collégiale, qui, fondé en 1444 par le dauphin Louis (futur roi Louis XI), était composé d'un doyen, d'un sacristain faisant fonction de curé et de huit chanoines, qui avaient les deux tiers des dîmes de Montélimar, dont l'autre tiers appartenait à l'évêque diocésain. Antérieurement au XIVe siècle, il y avait au moins deux paroisses à Montélimar, dont une sous le vocable de Saint-Pierre (voir ce nom). Division du diocèse de Valence, l'archiprêtré de Montélimar comprenait toutes les paroisses de ce diocèse, situées entre la Drôme et le Roubion (voir Introduction). En fait d'établissements religieux, il y avait encore à Montélimar : Un couvent de cordeliers, fondé vers 1226 par les Adhémar, dont la chapelle était sous le vocable de Sainte-Agnès et dont les religieux tiennent, à partir de 1674, un petit collège. Un couvent de récollets, établi en 1616 sur les ruines d'une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui fut unie à celle de Valence vers la fin du XVIe siècle et dont les bâtiments servent (en 1891) pour le collège. Un couvent de capucins fondé vers la fin du XVIIe siècle et dont les bâtiments sont (en 1891) occupés par des visitandines. Un couvent d'ursulines fondé en 1624. Un couvent des visitandines, fondé en 1626 et occupé (en 1891) par des religieuses de Sainte-Marthe. L'hiver 1788-1789 est très froid : le Rhône gèle du 27 décembre au 26 février. Ce gel empêche les moulins de tourner et aggrave la disette causée par une récolte insuffisante. Le jour de Pâques, une émeute éclate, causée par la hausse du prix du pain. En 1790, Montélimar devient le chef-lieu d'un district comprenant les cantons de Châteauneuf-de-Mazenc, Dieulefit, Donzère, Grignan, Marsanne, Montélimar, Pierrelatte, Saint-Paul-Trois-Châteaux, Sauzet, Suze-la-Rousse et Taulignan. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait le chef-lieu d'un arrondissement comprenant les cantons de Dieulefit, Grignan, Marsanne, Montélimar, Pierrelatte et Saint-Paul-Trois-Châteaux ; et celui d'un canton comprenant les communes de Allan, Ancône, Châteauneuf-du-Rhône, Espeluche, Montboucher, Montélimar, Portes, Puygiron, Rac, Rochefort et la Touche. En 1800, avec le Consulat et les réformes de Napoléon Bonaparte, Montélimar devient une sous-préfecture, chef-lieu de l'arrondissement de Montélimar et le reste jusqu'en 1926[réf. nécessaire]. En 1854, le chemin de fer arrive avec la création de la gare de Montélimar alors desservie par les trains de la section Valence - Avignon de la Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée. La ville est également desservie par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des chemins de fer départementaux de la Drôme, qui la relie à Dieulefit de 1893 à 1936[réf. nécessaire]. Après le débarquement de Provence, les Allemands tentent de bloquer l'avancée des Alliés lors de la bataille de Montélimar du 21 au 28 août 1944.

Politique et administration

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 30 000 et 39 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 39. À la suite des élections municipales de 2020, la composition du conseil municipal de Montélimar est la suivante : Voir aussi la page suivante (finances locales de Montélimar de 2000 à 2018) (cliquez sur le lien wiki). Au 10 novembre 2018, Montélimar est jumelée avec sept communes : Racine (États-Unis) depuis 1957 ; Ravensbourg (Allemagne) depuis 1964 ; Rivoli (Italie) depuis 1964 ; Rhondda Cynon Taf (Royaume-Uni) depuis 1964 Aberdare (Pays de Galles) depuis 1993. Rhonddah Cynon Taf est un comté du pays de Galles. Le jumelage s'est recentré en 1993 sur une des villes qui le compose ; Nabeul (Tunisie) depuis 2000. Mollet del Vallès (Espagne) depuis 2018.

Population et société

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,. En 2020, la commune comptait 39 790 habitants, en augmentation de 6,98 % par rapport à 2014 (Drôme : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %). La médiathèque Maurice-Pic, une maison des jeunes et de la culture. Montélimar dépend de l'académie de Grenoble. Les élèves de la commune commencent leurs études dans l'une des sept écoles maternelles, puis dans l'une des douze écoles élémentaires. Ils poursuivent dans l'un des cinq collèges, puis dans l'un des trois lycées généraux et technologiques. Le collège Gustave-Monod possède une section adaptée, ainsi que l'un des lycées généraux. La commune dispose aussi d'un lycée des métiers du transport, qui comporte une partie lycée général technique (sections bac et BTS), et une partie lycée professionnel (section BEP). Une université populaire est également à la disposition de tous, trois jours par semaine. Plusieurs professionnels de santé sont installés à Montélimar, notamment vingt-neuf médecins généralistes, soixante-quatorze infirmiers. La commune dispose d'un hôpital et d'une clinique. Plusieurs associations loi 1901 aident les personnes en situation de précarité : la Croix rouge, Les Restos du cœur, le Secours Populaire, Emmaüs, Drôme Insertion. D'autres associations luttent pour la prise en charge des risques médico-sociaux. Un centre d'accueil de jour pour SDF nommé « l'Abri » a récemment été délocalisé du centre-ville pour se retrouver à 4 km au nord de la ville. Cela a causé beaucoup de problèmes pour les personnes en difficulté - la majorité d'entre elles n'avaient pas de moyen de transport. Certains SDF ont préféré s'installer aux alentours du lac d'Ancone[réf. nécessaire]. Fête du printemps. Fête : le 15 août (pendant trois jours).Plusieurs manifestations culturelles sont organisées à Montélimar et sa région, notamment le « Festival de l'écrit à l'écran », en juin, la « Flute enchantée de Mozart » en juillet 2013. Le festival Sésame a lieu sur Montélimar et les communes de l'agglomération. La commune a accueilli une statue de Android Nougat le 21 septembre 2016 en partenariat avec Google. Cette statue est différente de celle présente au Googleplex. D'abord exposée devant la mairie lors de son inauguration, elle est maintenant à côté du théâtre, sur l'avenue Charles de Gaulle. auditorium[réf. nécessaire] ; centre aquatique[réf. nécessaire] ; cinéma d'art et essai[réf. nécessaire] ; palais des congrès qui peut devenir une salle de concert d'environ 3 000 places (Charles Aznavour est venu l'inaugurer le 26 septembre 2013, donnant ainsi son nom au palais)[réf. nécessaire] ; croisières sur le Rhône sur un yacht-salon (Lyon à Aigues Mortes). Montélimar dispose de nombreux équipements sportifs : sept gymnases, quatre stades, dix courts de tennis, ainsi qu'une piscine, une piste de bi-cross, un centre équestre, un skate parc et un stand de tir. La municipalité s'engage également dans l'aide des sportifs de haut niveau : Bruno Durret-Gallion, Alexandre Anglade et Yoann Fabbro pour le tir sportif, les couples Kelly Rochas - Maxime Allemand et Marie Sabarot - Gauthier Laffont pour la danse sportive, Nans Levêque et Valentin Richard pour le BMX, Sandrine Vauclare et Corentin Pavageau pour l'athlétisme, Charlotte Peyrard pour l'équitation, Louis Mesona pour le tennis.

Économie

En 2009, plus de la moitié (50,9 %) des foyers fiscaux n'étaient pas imposables. En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 882 €, ce qui plaçait Montélimar au 25 026e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole. En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 22 461 personnes, parmi lesquelles on comptait 69,8 % d'actifs dont 59,6 % ayant un emploi et 10,2 % de chômeurs. On comptait 20 074 emplois dans la zone d'emploi, contre 16 322 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 13 481, l'indicateur de concentration d'emploi est de 148,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un emploi et demi par habitant actif. Montélimar possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de la Drôme. Au 31 décembre 2010, Montélimar comptait 3 985 établissements : 78 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 224 dans l'industrie, 445 dans la construction, 2 648 dans le commerce-transports-services divers et 590 étaient relatifs au secteur administratif. En 2011, 403 entreprises ont été créées à Montélimar, dont 199 par des autoentrepreneurs.

Culture locale et patrimoine

Château des Adhémar (MH) du XIIe siècle, modifié aux XIVe et XVIe siècles, avec la tour de Narbonne et la citadelle (donjon du XIIe siècle). Chapelle Notre-Dame-de-la-Rose.La chapelle est un édifice de style roman (XIIe et XIIIe siècles) situé près de la porte Saint-Martin. Partiellement détruit à la fin du XVIe siècle. La façade est reconstruite au XVIIe siècle dans le style baroque, avec adjonction de deux chapelles latérales.Chapelle Sainte-Marguerite du XIVe siècle (dans l'enceinte du château) : voûte en cul-de-four avec fresques (XVe siècle). Vestiges de chemin de ronde. Ancienne collégiale Sainte-Croix : abside du XVe siècle, clocher du XVIe siècle, pietà du XIe siècle. Couvent des trappistines de Maubec. Vieux quartiers : fenêtres à meneaux, escaliers à vis, ferroneries. La maison dite de Diane de Poitiers : façade, toitures, cabinet avec peintures murales (au premier étage) (IMH) des XVe et XVIe siècles. Anciens hôtels particuliers, maisons fortes. La Porte Saint-Martin (IMH) de 1763. Château de Serre du Parc (XVIIIe siècle). Église Notre-Dame-du-Rhône de Montélimar[réf. nécessaire]. Église Saint-James de Montélimar[réf. nécessaire]. Temple protestant de Montélimar : ancienne chapelle du couvent des Ursulines, devenu bien national à la Révolution. L'édifice est attribué aux protestants en juillet 1802. La gare de Montélimar.L'inventaire des monuments historiques recense une dizaine de lieux montiliens : Hôtel du Puy-Montbrun, « inscrit » depuis le 31 juillet 1989 ; Galerie d'arcades, « inscrite » depuis le 7 mai 1982 ; Hôtel de Chabrillan, « inscrit » depuis le 2 mars 1981 ; Collégiale Sainte-Croix, « inscrite » depuis le 13 mai 2008 ; Domaine de Serre-de-Parc, « classé » depuis le 30 mai 1997 ; Ensemble thermal gallo-romain (vestiges), « inscrit » depuis le 31 juillet 1986 ; Tour de Narbonne, « classée » depuis le 5 octobre 1938 ; Porte Saint-Martin, « inscrite » depuis le 11 octobre 1930 ; Maison dite de Diane de Poitiers, « inscrite » depuis le 28 décembre 1956 ; Château des Adhémar ou des Papes, « classé » depuis 1889. C'est un important exemple d'architecture médiévale de la moyenne vallée du Rhône.Parmi ses éléments architecturaux : une chapelle du XIe siècle et un logis du XIIe siècle au décor exceptionnel. Il accueille depuis 2000 un centre d'art contemporain. Depuis sa création, une cinquantaine d’expositions temporaires ont été réalisées avec des artistes de renom (John Armelder, Daniel Buren, Felice Varini, Ann Veronica Janssens, Olga Kisseleva…) et de jeunes créateurs (Delphine Balley, Le Gentil Garçon, Marie Hendriks, Emmanuel Régent, etc.).En outre, l'inventaire des monuments historiques recense à Montélimar 39 objets « classés ». Musée : préhistoire, peintures, monnaies romaines (mairie). Centre culturel. Théâtre municipal. Théâtre du Fust (marionnettes).Montélimar dispose de nombreux lieux culturels : le musée européen de l'aviation de chasse. L'avion le Bronco représente Montélimar dans les meeting aériens ; le centre d'art contemporain du château des Adhémar ; le musée d'art contemporain Saint-Martin ;chaque été, depuis 2008, le Musée d'art contemporain Saint-Martin organise une exposition autour de grands noms de l'art contemporain : 2011 Bernard Cathelin, 2013 Pierre Boncompain, 2015 Fondation Maeght - estampes, 2016 Ben, 2017 Pop'art, 2018 donation Pierre Boncompain ;le musée de la Miniature ; les microminiatures d'Anatoly Konenko ; le centre d'art espace Chabrillan ; le Calepin espace théâtral ; le Conservatoire de musique et de théâtre ; la salle de spectacle auditorium Michel-Petrucciani ; le cinéma Art et essai des Templiers. Beatritz de Dia (1175 à Montélimar-1225) : trobairitz. Margot Delaye : elle sauva la ville en avril 1570. François-César de Moreton de Chabrillan (1701 à Montélimar-1776 à Montélimar) : général et maréchal de camp. Jean-Louis Pellapra (1739 à Montélimar-1808 à Montélimar) : général des armées de la République. Jean-Joseph Menuret (1739 à Montélimar-1815) : médecin et encyclopédiste. Jean-Louis Cheynet (1741 à Montélimar-1809 à Montélimar) : homme politique. Barthélemy Faujas de Saint-Fond (1741 à Montélimar-1819) : géologue et volcanologue. Jean-Laurent-Justin de Lacoste du Vivier (1747 à Montélimar-1829 à Montélimar) : général. Barthélemy Sautayra (1748 à Montélimar-1793 à Montélimar) : homme politique, député de la Drôme. Joseph Antoine Boisset (1748 à Montélimar-1813): homme politique, député de la Drôme. Joseph-Valérian de Boisset (1750 à Montélimar-1824) : général de brigade des armées de la République. Jean-Jacques Aymé (1752 à Montélimar-1818) : avocat, procureur général syndic du département de la Drôme, député au Conseil des Cinq-Cents (1795-1797), déporté en Guyane après le 18 fructidor. François Hilarion Point (1759 à Montélimar-1798) : général des armées de la République, tombé au champ d'honneur à Popoli (Italie). Jean Vincent Autran (1764 à Montélimar-1813): colonel. Alexandre-Raymond Devie (1767 à Montélimar-1852) : évêque catholique. Louis Claude de Saulces de Freycinet (1779 à Montélimar-1842) : géologue et géographe. Daniel Nicolas (1796 à Montélimar-1863) : ancien député de la Drôme. Charles Sautayra (1804 à Montélimar-1867) : homme politique, député de la Drôme (1848-1851). Jean-Joseph Veye dit Chareton (1813 à Montélimar-1878) : général et homme politique. Jean Lamorte (1823-1884) : sous-préfet de Montélimar. Alfred Loudet (1836 à Montélimar-1898) : peintre. Émile Loubet (1838 à Marsanne-1929 à Montélimar) : président de la République française. Il repose au cimetière Saint-Lazare de Montélimar Louis Deschamps (1846 à Montélimar-1902) : peintre. Marx Dormoy (1888 à Montluçon (Allier)-1941 à Montélimar, assassiné) : homme politique. Henri Tourtet (1899 à Montélimar-1945) : commandant de la garnison de Fort-de-France, rallie l'île à la France libre en 1943. Lieutenant-Colonel, commandant le 5e Bataillon de Marche Antillais, il meurt pour la France le 15 avril 1945 à Saint-Georges-de-Didonne et est fait Compagnon de la Libération par décret du 28 mai 1945. Marie Teyssier (1899 à Montélimar-1993) : peintre. Charles Moulin (1909 à Montélimar-1992 à Montélimar) : acteur. Il repose au cimetière Saint-Lazare de Montélimar. Alain Borne (1915-1962) : poète, a vécu à Montélimar. La région a donné son nom à un lycée. Maurice Périsset (1922 à Montélimar-1999) : écrivain et éditeur. Michel Vauzelle (1944 à Montélimar) : homme politique. Thierry Cornillet (1951 à Montélimar) : homme politique. Michèle Rivasi (1953 à Montélimar) : femme politique. Alain Michel (1953 à Montélimar) : pilote de side-car. Marianne James (1962 à Montélimar) : auteur-compositeur interprète, guitariste et actrice. Michel Petrucciani (1962-1999) : pianiste de jazz, a vécu à Montélimar. La commune a donné son nom à un auditorium. Franck Reynier (1962 à Montélimar) : homme politique. Jean-Marc Micas (1963 à Montélimar) : évêque catholique de Tarbes et Lourdes. Étienne Faure (1969 à Montélimar) : réalisateur, scénariste et producteur de cinéma français. Myriam Chomaz (1972 à Montélimar) : boxeuse. Coralie Delaume (1976 à Romans-2020 à Montélimar) : blogueuse, essayiste, journaliste à Marianne et au Figaro. Sylvain Guintoli (1982 à Montélimar) : pilote de vitesse moto. Charles Pic (1990 à Montélimar) : pilote de Formule 1. Tristan Flore (1995 à Montélimar) : pongiste. En 1891, Les armes de la ville de Montélimar sont d'azur au monde cintré et croisé d'or.

Annexes

1878 : Baron de Coston, Histoire de Montélimar et des principales familles qui ont habité cette ville, 1878, 4 vol. 1990 : Gaëlle Oberthur de la Roncière, Montélimar au temps des Adhémar, 1990, Plein-Ceintre éditions. 1992 : Stéphane Baumont (dir.), Histoire de Montélimar, 1992, Ed Privat. 2016 : Thierry Odiot, Frank Perrin et Michèle Bois, Le Tricastin. Liste des communes de la Drôme Nougat de Montélimar Coteaux-de-montélimar Site officiel Ressources relatives à la géographie : Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Site de l'office de tourisme