La société du jour: Indivision le gouic

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Indivision le gouic

La société Indivision le gouic a été créée le 1/1/1997, soit 25 années d'activités. Le siège de la société est basé à QUIMPER 29000. Elle possède un seul établissement. Son dernier bilan date du 8/12/2011. Indivision le gouic a choisi le statut juridique Indivision entre personnes physiques. Elle opère sous le code NAF 68.20B et évolue dans le secteur .

68.20B -

Le code APE - NAF 6820B est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 1 633 149 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 23 905 salariés, essentiellement des agents immobiliers.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 6820B : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 6820B est : "Location de terrains et d'autres biens immobiliers".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Location de terrains et d'autres biens immobiliers, les salariés de cette branche sont essentiellement des agents immobiliers.

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La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Agents immobiliers faisant de la transaction ou gestion immobilière, la loi Hoguet vous impose d’être couvert par une assurance RC Pro.  Agents commerciaux immobiliers /mandataires, la loi Alur vous impose également d’être couvert par une RC Pro. Vous pouvez utilisez notre comparateur RC Pro afin de visualiser les différents contrats disponibles.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 6820B. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Location de terrains et d'autres biens immobiliers", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 6820B est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers. 

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour les organismes de formation relevant de l'activité Location de terrains et d'autres biens immobiliers :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Location de terrains et d'autres biens immobiliers”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Indivision le gouic

L'établissement principal est domicilié au 28 pl st corentin, Quimper 29000. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Quimper 29000, il y a 3458 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Quimper ?

Quimper (/kɛ̃pɛʁ/ ) est une commune française de la région Bretagne située dans le nord-ouest de la France. La ville est le chef-lieu du département du Finistère, le siège du Conseil départemental, ainsi que des deux cantons qui la composent. Elle est également la capitale traditionnelle de la Cornouaille, du Pays Glazik et du Pays de Cornouaille qui compte 331 300 habitants en 2009, le siège de l'intercommunalité de Quimper Bretagne occidentale qui compte 100 187 habitants en 2014, le siège de l'arrondissement de Quimper et enfin le siège du diocèse de Quimper et Léon. Ses habitants sont appelés les Quimpérois. Autrefois très réduit, son territoire communal a été très agrandi à compter du 1er janvier 1960 par l'annexion des trois communes limitrophes de Kerfeunteun (3 216 hectares), Ergué-Armel (3 356 ha) et Penhars (1 502 ha). La commune de Quimper, avant 1960, couvrait 192 hectares, ce qui en faisait le moins vaste chef-lieu de département français. Avec 63 513 habitants en 2014, elle est la 80e commune de France, la 3e de la région Bretagne (après Rennes et Brest) et la 2e du Finistère au regard de la population. Son unité urbaine est de 79 804 habitants en 2014 et son aire urbaine est de 126 730 habitants en 2014 soit la 2e aire urbaine du département après celle de Brest. La ville est traversée par quatre cours d'eau : l'Odet et ses trois principaux affluents, le Steïr, le Frout et le Jet. La ville est classée ville d'art et d'histoire, elle a aussi obtenu deux autres récompenses, celle de l'obtention de quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris et de la note @@@@ par le label des villes Internet. Selon des études, Quimper se classait en 2e position des villes françaises où il faisait bon vivre en 2017, 13e commune la moins pauvre de France en 2012 et 1re agglomération comprise entre 70 000 et 100 000 habitants où il fait bon d'entreprendre en 2016.

Géographie

L'axe historique de la ville est situé aux confluences de l'Odet et de ses affluents : le Steïr, le Frout et le Jet. Quimper est à 15 km des côtes atlantiques. La mer remonte la vallée encaissée de l'Odet et lui donne une position de port de fond d'estuaire qui explique son implantation et une partie de son rôle économique. C'est aussi un carrefour routier très ancien entre la route nationale 165 et les routes départementales D765, D785 et D783. La ville est à 565 km de Paris, 550 km de Bordeaux, 740 km de Bayonne, 790 km de Toulouse, 1 022 km de Strasbourg, 1 030 km de Montpellier, 1 210 km de Marseille, 1 370 km de Nice, 215 km de Rennes, 232 km de Nantes, 71 km de Lorient, 122 km de Vannes ou encore à 72 km de Brest. Selon la classification de Köppen, le climat y est de type océanique ou Cfb. La lettre C indique qu'il s'agit d'un climat tempéré : les températures moyennes y sont supérieures à -3° durant la saison froide. La lettre f indique qu'il s'agit d'un climat humide : les pluies sont réparties sur toute l'année. En effet, malgré un mois de juillet relativement sec, l'écart entre les précipitations du mois le plus sec et du mois le plus pluvieux, n'est pas suffisant pour qu'on puisse réellement parler de saison sèche. La lettre b indique qu'il y a un été qui ne dépasse pas les 22 °C mais que la température moyenne de ses quatre mois les plus chauds dépasse les 10 °C.En hiver il fait généralement doux tandis qu'en été la chaleur est rarement excessive. Les précipitations sont abondantes toute l'année mais l'automne et l'hiver sont les saisons les plus arrosées. La température record la plus chaude à y avoir été enregistrée est de 36,5 °C (12 juillet 1983) et la plus froide de −10,1 °C (13 janvier 1987). Le record de hauteur de neige fut établi le 9 décembre 1990 avec 28 centimètres de neige tombés au sol. Située à 15 kilomètres de l'océan Atlantique, la ville est très régulièrement balayée par des dépressions météorologiques. Les pluies sont donc conséquentes toute l'année mais c'est en hiver qu'il pleut le plus. Avec 1 251 millimètres de précipitations par an, la ville est une des plus pluvieuses du pays avec Brest (1 109 mm/an) et Biarritz (1 483 mm/an) ce qui correspond à un peu moins du double des précipitations de la moyenne nationale. Malgré tout, l'ensoleillement est assez proche de la moyenne du pays même s'il reste en dessous de celle-ci.

Urbanisme

Quimper est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Elle appartient à l'unité urbaine de Quimper, une agglomération intra-départementale regroupant trois communes et 75 302 habitants en 2017, dont elle est ville-centre,. Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimper, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants,. Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Toponymie

Le nom en breton est Kemper [ˈkẽmpəʁ]. Le nom de la localité est attesté sous les formes Apud Kemper Conrentini, Kemper en 1084 - 1112, Kemper en 1116, Kimper en 1160, Confluentia en 1166 (traduction latine), Quemper en 1218, Quimper en 1236, kemper au XIVe siècle, Quimper en 1423 - 1425, Kemper en 1516, Kimper en 1541, Quimper en 1719, Quimpercorentin en 1723. La référence à Corentin, 1er évêque de Quimper, fut supprimée à la Révolution. La forme Quimper est une francisation de son nom breton apparue assez tôt (1236). Avant la réforme de Jean-François Le Gonidec au début du XIXe siècle, le son /k/ en breton était noté aussi bien par c ou qu, c'est pourquoi on note une alternance des graphies avec k- initial et qu- dans les formes anciennes à partir de 1218. De nos jours, le nom en breton s’écrit Kemper. Ce nom de lieu est issu d'un terme celtique dont la forme originelle reste à définir. Sa forme initiale devait être kenber / kember, mot qui a été expliqué au XXIe siècle comme un composé basé sur les éléments ken- + -ber, dont le premier élément ken- représente le breton ken « ensemble » et le second -ber, un déverbal ber qui désigne encore dans le breton contemporain un écoulement (du verbe bera « couler »), d'où le sens global de « confluent ». Il constitue aussi le radical du mot aber (ad + ber). Cette dénomination correspond bien au site de la ville, celle-ci ayant été bâtie à la confluence de l'Odet avec le Steïr. Deux autres cours d'eau rejoignent l'Odet également à Quimper : le Frout et le Jet. Le breton kember est un proche parent du gallois cymer, et du moyen irlandais commar. Ces termes du celtique insulaire remontent à un celtique *comberos, sans doute semblable au gaulois *comberos « barrage de rivière » à l'origine de l'ancien français combre « barrage sur une rivière » et de ses dérivés modernes décombre, encombrer. Des textes tardifs des XIe et XIIe siècles situent une Civitas Aquilonia ou Aquilo à l’emplacement de l'ancien faubourg de Locmaria. Avant la Révolution française, la ville est communément appelée Quimper-Corentin, en référence à saint Corentin, son premier évêque. Ce qualificatif permet de la différencier des autres localités bretonnes portant le nom de Kemper, notamment les communes qui s'appellent aujourd'hui, en français, Quimperlé, Quemperven et Quemper-Guézennec. C'est à Quimper-Corentin que Jean de La Fontaine place sa fable du Charretier embourbé. Pendant la Révolution française, la commune a été rebaptisée Montagne-sur-Odet.

Histoire

La devise de la ville de Quimper est, en breton, « Unanet e vimp kreñv », ce qui signifie « Unis nous serons forts ». Le champ d'hermines symbolise la Bretagne (emblème des ducs de Bretagne) et le bélier symbolise le pays de Cornouaille dont Quimper est la capitale. La ville obtient un brevet d'armoiries en 1697,,. Le Quimper préhistorique et antique a fait l'objet de recherches archéologiques importantes depuis le début du XIXe siècle (notamment sous l'égide, à partir de 1873, de la Société archéologique du Finistère), celles-ci ont connu un développement décisif, selon les méthodes modernes de fouille, avec la création en 1970 d'un Centre municipal d'étude et de recherche archéologique. Des silex retrouvés à Pluguffan, commune limitrophe, sont datés de 6 000 ans. Le quartier de Kerjestin a fourni des vestiges (tertre funéraire, céramique) s'échelonnant du Néolithique au Bronze ancien (3000-1800 av. J.-C.), celui de Penancreac'h les traces d'un habitat important datant de la fin du IIIe millénaire avant notre ère, celui du Braden des fragments de poterie remontant à 1800 av. J- C. environ. D'autres trouvailles disséminées sur tout le territoire de la commune (haches, tessons…) et remontant aux mêmes époques montrent que la zone a été occupée depuis plusieurs millénaires. Les vestiges d'un oppidum ont été mis au jour au sommet de la colline de Kercaradec (quartier Ouest), et des traces d'habitats datant de l'âge du fer (VIe – Ier siècle av. J.-C.), de forges et de sépultures ont été trouvées dans les quartiers d'Ergué-Armel et de Penhars avec une concentration sur le site du Braden. Une activité agricole florissante semble s'être développée à cette époque. La découverte en 2003 d'une agglomération gauloise d'une surface estimée de plus de dix hectares à cheval sur le Steïr au Nord, près du village de Kergolvez, a apporté la confirmation d'un peuplement important de la zone dès avant la conquête romaine, puisque les datations vont du IIe siècle av. J.-C. ou du Ier siècle av. J.-C. à un abandon daté de -30. Des traces d'artisanat ont été trouvées et des scories métalliques indiquent une activité métallurgique notable. L'habitat, à l'époque, semble donc s'être présenté sous la forme d'un ensemble de villages ou hameaux. Des écrits de Jules César et des historiens grecs, on déduit que le site de Quimper était inclus dans la cité des Osismes dont la capitale, au moins après la conquête romaine, était Vorgium (Carhaix). Elle était à cette époque un carrefour entre plusieurs voies romaines. Une agglomération gallo-romaine (Civitas Aquilonia) d'une quinzaine d'hectares a été repérée dans le quartier de Locmaria. Elle fut fondée sous le règne de l'empereur Auguste et fut surtout florissante aux deux premiers siècles de notre ère. Elle comportait un forum et des thermes situés au centre d'un plan orthogonal, dont un élément significatif a été retrouvé en 2006 à proximité d'un probable port sur l'Odet et d'une acropole située sur le sommet occidental du mont Frugy. Une voie romaine la reliait à Vannes et d'autres à Brest, Carhaix et la pointe du Van. Le quartier de Roz-Avel, à deux kilomètres au nord-ouest du centre-ville actuel, comportait au début du Ier siècle une grande et belle villa avec des thermes privés qui restent utilisés jusqu'à la fin du IIIe siècle. Une villa similaire existait à Kervéguen, à la limite est, près de l'Odet. En 2019, une nécropole gallo-romaine ainsi qu'une luxueuse villa furent exhumés sur la commune. L'imprimerie n'est venue que vers 1525, mais son essor sera, comme partout, limité par la politique de contrôle absolu de Louis XIV qui ne fait autoriser qu'un imprimeur par ville placé sous la censure de l'évêque qui est son premier client. La maison la plus ancienne de Quimper, datée du début du XVe siècle, fut justement le siège de l'imprimerie diocésaine. Quimper bénéficie de la réforme judiciaire de 1552 qui renforce son rôle en en faisant le siège d'un présidial dont le ressort coïncide grossièrement avec le territoire du futur département du Finistère, sauf Quimperlé subordonné à Vannes. La période des guerres de Religion est plutôt agitée, car la ville, alliée de la Sainte-Ligue, se rend après avoir été assiégée en 1595 par l'armée royale commandée par le maréchal d'Aumont au nom d'Henri IV dont la conversion au catholicisme reste suspecte aux yeux de beaucoup. En 1597, le soldat ligueur et brigand Guy Éder de La Fontenelle prend momentanément la ville : « Il était environ 8 heures du matin le 5 mai 1597, quand les habitants de Quimper, dont plusieurs reposaient encore, furent soudain éveillés, ou attirés à leurs fenêtres, par un bruit insolite d'allées et venues, des pas précipités, le tocsin et les cris d'alarme poussés par les soldats de la garnison : l'ennemi, disait-on, était aux portes de la ville ! Et quel ennemi ? Le fameux La Fontenelle, ce bandit que, depuis si longtemps déjà, on avait appris à redouter et à fuir ! Chacun saute aux armes et tous de courir, qui aux portes, qui aux murailles, pour conjurer le terrible danger. (…) L'ennemi était arrivé près de la chapelle Saint-Sébastien, avait forcé l'entrée du faubourg et envahi la rue conduisant à Saint-Jean, gagnant bientôt la place Saint-Mathieu. (…) » La ville dut son salut au sieur de Kerollain, Jean Jegado, alors gouverneur de Concarneau et qui se trouvait venir à Quimper avec une petite troupe, et à une compagnie de 200 hommes commandés par le capitaine Magence et qui venaient de Scaër ou du Faouët. La Fontenelle et ses soldats quittèrent la ville « avec leur courte honte, ayant laissés, de leurs gens, plus de 40 morts et plus de deux fois autant de blessés » écrit le chanoine Moreau. Le 1er février 1620, vers 7 heures du matin, la flèche de la cathédrale fut touchée par la foudre, mais ce n'est que dans l'après-midi, qu'on vit apparaître de la fumée, puis des flammes. La foule, accourue en grand nombre, crut voir un horrible démon vert se trémoussant dans les flammes. Les chanoines du chapitre approchèrent les saintes reliques des flammes ; peine perdue, l'incendie poursuivit ses ravages, malgré l'emploi de 150 barriques d'eau et d'une cinquantaine de charretées de fumier et le diable continuait à évoluer en haut du clocher. Pour lutter contre ce fait de sorcellerie, les chanoines décidèrent alors de jeter dans le brasier un pain de seigle renfermant une hostie et d'asperger le feu d'eau bénite mélangée à du lait de femme. Tout aussitôt, le démon quitta les flammes et le feu s'éteignit, mais le clocher était totalement ruiné. La légende affirme que le pain de seigle contenant l'hostie fut retrouvé intact au milieu des cendres. Cette anecdote est connue sous le nom du « diable de Quimper-Corentin ». Le grand séminaire est institué le 26 août 1669 par François de Coëtlogon à l'initiative du recteur de Plouguernével, Maurice Picot de Coëthal ; il est installé dans le manoir de Créacheuzen, agrandi à partir de 1678 par la construction de bâtiments supplémentaires et par la construction entre 1711 et 1737 de la chapelle du Saint-Esprit, de style classique. Il a été transféré à Kerfeunteun en 1932. Le XVIIIe siècle apporte à Quimper l'exploitation, qui durera peu, du charbon de la Terre-Noire à Penhars et surtout le développement de la faïencerie initiée dès 1708 par un entrepreneur provençal, Pierre Bousquet suivi du Rouennais Pierre Clément Caussy. Ne disposant pas de terre à faïence, ils l'importent soit de Fronsac (Bordeaux), soit de Rouen. Plus tard, l'argile gréseuse extraite à quelques kilomètres au Sud de Locmaria permettra de fabriquer du grès (à partir de 1775-80). La Révolution sera bien accueillie, mais les excès de la Gauche montagnarde et hébertiste en 1793 susciteront des oppositions telles que les Chouans seront près de contrôler toute la campagne environnante en 1799. Le « brûlis des Saints », le 11 et 12 décembre 1792, journées de pillage et de destruction des églises, marquera les esprits : la municipalité a laissé faire les extrémistes antireligieux avant de s'apercevoir que la Convention avait demandé d'éviter de tels excès. La ville est fermement tenue en main par les adeptes du changement, alors même que, sous le Directoire, la Chouannerie est maîtresse, la nuit venue, de la campagne proche. En octobre 1800, l'évêque de Quimper, Yves Marie Audrein, est intercepté dans sa diligence dans une paroisse voisine, Kerfeunteun, et est assassiné par des chouans qui seront pris et exécutés quelque temps plus tard. Le blocus continental mis en place par la Royal Navy en 1805 profite un temps au port de Quimper bien abrité au fond de sa ria et libre d'accès, car c'est surtout Brest qui est surveillée. Quelques corsaires font même un temps de Quimper leur port d'attache. Au XIXe siècle, les fonctions administratives fuient Quimper, qui ne les réunira aux religieuses qu'à la fin du siècle, renforçant enfin le rôle de Quimper. L'augmentation lente de la population déborde peu à peu sur les communes voisines, car son territoire est exigu et les autres agglomérations très proches. C'est aussi une ville garnison qui héberge le 118e régiment d'infanterie de ligne (dont le colonel Philippe Pétain fut au commandement en 1907 sous la Troisième République). Auguste Romieu décrit ainsi la ville de Quimper en 1830 : « Dans l'opinion des gens, Canton n'est guère moins éloigné de Paris que Quimper-Corentin. Or il y a du vrai dans cette croyance que j'ai partagée longtemps, quoiqu'à demi Bas-Breton. Je la partagerais encore tout entière si je n'eusse été envoyé dans ce pays, comme pour me convaincre par mes propres yeux que Quimper-Corentin est une ville raisonnablement garnie de gardes nationaux pleins de zèle, qu'on y compte une majorité de patriotes très éclairés, et que le Huron de Voltaire aurait peine à s'y reconnaître aujourd'hui » — Auguste Romieu, Les effets de la Révolution de Juillet 1830. Le 2 août 1858, l'empereur Napoléon III et sa femme l'impératrice Eugénie se rendirent à Quimper, la Bretagne étant massivement favorable au rétablissement de l'Empire. C'était la première fois que la ville accueillait un chef d'État français puisque la visite de Napoléon Ier en 1808 fut annulée. Pour l'occasion, un arc de triomphe fut dressé à l'entrée de la ville et son arrivée fut salué par 101 coups de canon. Au soir de sa visite, une grande fête fut organisée durant laquelle la Bretagne fut mise à l'honneur avec notamment des danses bretonnes. Le couple royal fut ravi de l'accueil et remercia la ville en finançant la construction d'un quai reliant la gare au centre-ville ainsi que le prolongement du chemin de halage[réf. non conforme],. Le peintre pré-impressionniste Eugène Boudin revient plusieurs années de suite dans la région de Quimper au milieu des années 1850. Il est particulièrement attiré par la vie traditionnelle. Les costumes qu’il voit aux pardons de Notre-Dame-de-Kerdévot ou de Sainte-Anne-la-Palud, le faste des noces, l’animation des marchés et des foires sont pour lui une véritable révélation. Pour sa Vue du Port, il s'est placé au bord de l'Odet au "Cap Horn". Il y représente l'animation des quais, les bateaux et les flèches de la cathédrale qui viennent d'être érigées. Pour son premier envoi au Salon en 1859, il choisit de traiter le pardon de Sainte-Anne-la-Palud (Le Havre, musée d'art moderne André Malraux) : L'arrivée du chemin de fer en 1863 prolongé ultérieurement jusqu'à Douarnenez et le développement du port pour l'exportation et l'importation de denrées agricoles augmente l'activité économique avec une accélération après 1880 du fait des progrès de la productivité agricole et d'une industrialisation réelle, quoique modérée, symbolisée par l'arrivée du gaz de houille produit et exploité par la compagnie Lebon qui installe des gazomètres sur le port. Celui-ci reste actif malgré la limitation en profondeur et en largeur d'un chenal étroit et soumis aux marées. Le port exporte des poteaux de mine à destination du Pays de Galles tandis que le charbon, le sable et le vin sont parmi les importations emblématiques. Les jours de grande marée, les lougres, puis les goélettes et les sloops, plus tard les vapeurs, s'alignent le long des quais, du quartier du Cap Horn à la cale Saint-Jean. L'amélioration des communications permet les débuts du tourisme qui entraîne le développement des hôtels et des entreprises de transport. Quimper attire, par le charme de son site fluvio-maritime et de ses vieux quartiers. C'est aussi une plaque tournante pour l'accès aux stations balnéaires dont le succès s'affirme (notamment Bénodet et les petits ports de pêche du Cap Sizun et du Pays Bigouden). Un événement de taille se produit d'ailleurs le 11 septembre 1885, alors que trois trains spéciaux arrivant en gare de Quimper débarquent Buffalo Bill et les 800 hommes (dont « 100 braves Peaux Rouges », comme le dit l'affiche de l'époque) et les 500 chevaux du Wild West Show en tournée en Europe. La représentation qui attire « Des milliers et des milliers de spectateurs, venus de Quimper et des environs » a lieu au Champs de manœuvre : un terrain situé sur le Frugy, aujourd'hui complètement urbanisé. En 2001 a été achevé un programme de rénovation du pavage complet dans la zone semi-piétonne, confortant l'image de ville touristique, qui est toujours classée « Ville d'art et d'histoire ». Le pôle agroalimentaire garde un socle d'activités solide à Kéradennec (centre Sud) et à Troyallac'h (sur la commune proche de Saint-Évarzec), malgré des baisses conjoncturelles et la construction immobilière reste florissante. La zone d'activité de Créac'h-Gwenn accueille plus d'entreprises, certaines des activités de service de haute technologie, à Kerbabic, ainsi qu'une extension des installations universitaires. La création d'une base de loisirs nautiques sur l'Odet maritime et la municipalisation d'équipements sportifs privés en fait aussi un lieu de pratique sportive de loisir de masse. L'équipe de basket-ball, l'UJAP Quimper, s'est hissée au niveau national, ainsi que celle de volley-ball. La communauté d'agglomération de Quimper est desservie en haut et très haut débit par le réseau Hermineo. Plus de 90 km de fibre optique desservent les zones d'activités et services publics en très haut débit. Ce réseau assure également le dégroupage total des 11 centraux téléphoniques de l'agglomération. Enfin, le réseau Hermineo propose aux foyers situés en zones blanches une connexion haut débit WiMAX et satellite. Le développement urbain s'effectue principalement au nord de l'agglomération (entre l'avenue de Ti Pont et le boulevard urbain NO), ainsi qu'à l'ouest. La politique d'urbanisation prévoit la création de plusieurs écoquartiers. Une politique de ralentissement des vitesses de circulation en ville est aussi mise en œuvre par la création de « zones 30 ». Le développement de bus en site propre, l'augmentation de fréquences de passages sur les lignes principales et la création de parkings de dissuasion visent à limiter la circulation dans le centre-ville. Prévisions

Politique et administration

Quimper a absorbé une grande partie de son agglomération en 1959, en fusionnant avec trois communes voisines (Ergué-Armel, Kerfeunteun et Penhars).

Population et société

La Ville de Quimper possède une population de 63 513 habitants en 2014, une unité urbaine de 79 804 habitants, une agglomération de 100 187 habitants en 2014, ainsi qu'une population dans l'aire urbaine de 124 930 habitants pour l'année 2011. Il s'agit selon Le Parisien en 2013 de la 31e aire urbaine la plus attractive de France, en tenant compte du solde migratoire. Les écoles et lycées quimpérois dépendent de l'académie de Rennes qui se situe à la 3e place des meilleures académies sur le plan national pour son taux de réussite au Baccalauréat. Quimper se trouve en zone B dans le calendrier scolaire et abrite l'Inspection académique du Finistère. Quimper dispose du Centre hospitalier de Cornouaille qui possède 1 044 places tous services confondus, de l'hôpital psychiatrique Gourmelen qui possède lui 656 places, de 4 cliniques, de 9 maisons de retraite, de 9 laboratoires d'analyses, de 40 dentistes, d'environ 90 médecins et de 37 pharmacies. En 2015, Quimper compte 40 médecins généralistes, ce qui correspond à un niveau de déficit sévère. En effet, il en faudrait près de 100 pour être dans la moyenne nationale qui est de 156 médecins généralistes pour 100 000 habitants. Quimper abrite également un institut de formation en soins infirmiers qui a une capacité de plus de 450 élèves-étudiants. De plus, la ville abrite une caserne de 135 sapeurs-pompiers dont 81 sont professionnels. En 2014, les sapeurs-pompiers de Quimper sont intervenus 6 000 fois sur leur territoire d'intervention. La ville de Quimper est très sportive puisqu'elle compte près de 22 000 licenciés dans 104 clubs sportifs pour 71 disciplines. Pour le culte catholique, en plus d'une cathédrale, Quimper dispose de huit églises et de neuf chapelles. Il y a un temple protestant et la paroisse orthodoxe Saint-Jacques-le-Frère-du-Seigneur , qui est sous l'obédience du Patriarcat œcuménique de Constantinople, étant rattachée au Vicariat Sainte-Marie-de-Paris-et-Saint-Alexis-d’Ugine réunissant les paroisses de tradition russe au sein de la Métropole de France ; elle célèbre ses offices dans la chapelle de Cuzon. Une mosquée est édifiée dans le quartier de Penhars. L'Église catholique rassemble deux mille fidèles se rendant aux messes et on estime que 80 % de la population de la ville est baptisée, tandis que l'Église protestante réunie 200 pratiquants. On dénombre également 150 musulmans, 80 mormons et 25 bouddhistes. Quimper fait partie du diocèse de Quimper et Léon, lequel est intégré depuis 2002 à la province ecclésiastique de Rennes. En dehors des unités de gendarmerie, Quimper ne compte plus d'unités militaires depuis 1997. Par le passé, deux régiments ont été stationnés à Quimper : 118e régiment d'infanterie de ligne (1794-1997) 137e régiment d'infanterie de ligne (1813-1946) 6e bataillon colonial de commandos parachutistes (1948-1952)

Économie

Quimper est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Quimper Cornouaille. Elle gère le port de Quimper situé au Corniguel et six ports de pêche environnants dont celui du Guilvinec, premier port de pêche de France en valeur débarquée de bateaux français. La ville est également le siège du conseil départemental du Finistère. Ceci se traduit par la présence de nombreux sièges d'administrations telles que l'inspection académique du Finistère, les archives départementales ou encore l'Agence régionale de santé de Bretagne (ex-DDASS) réunies au sein d'une cité administrative dans le quartier de Kerfeunteun, ainsi que les sièges d'entreprises comme Verlingue dans le quartier de Creac'h Gwen. Le siège du Crédit agricole du Finistère se trouve également à Quimper. Le quartier de l'hippodrome est un petit quartier industriel où se trouve une usine d'Entremont ainsi que des usines de construction de matériaux de construction en plastique ou en métal. Enfin, Quimper est connu pour fariquer le cidre d'Appellation d'origine contrôlée (A.O.C.) « Cidre de Cornouaille ».

Culture et patrimoine

Le CMAD, Conservatoire de Musique et d'Art Dramatique, rue des douves. L'EESAB, École européenne supérieure d'art de Bretagne, esplanade François Mitterrand. Le Novomax, Pôle de Musiques actuelles, quai Dupleix. L'École de broderie d'art de Kemper du styliste Pascal Jaouen, allées de Locmaria. Quimper compte 58 édifices protégés au titre des monuments historiques et est classée ville d'art et d'histoire. Quimper a reçu quatre fleurs et la distinction « Grand prix » au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris. Le jardin de la Retraite est situé dans le centre-ville à l'intérieur des remparts de l'ancienne ville fortigiée. À cette époque, il était le jardin d'un monastère. Les espèces viennent du monde entier puisque certains arbres viennent de Chine, d'Afrique du Sud ou encore de Nouvelle-Zélande. Sa superficie totale est de 5 800 m2. En surplomb de ce jardin se trouve le jardin de la Paix. Il fut inauguré en avril 2013 et regroupe un ensemble de plantes méditerranéennes sur 900 m2. Également au centre-ville, près du mont Frugy, le jardin du Théâtre regroupe depuis le XIXe siècle des plantes originaires de Chine et des États-Unis. Il s'étend sur 6 400 m2. Toujours au centre-ville, derrière le théâtre Max-Jacob, le jardin éponyme ouvert en 1904 accueille principalement des variétés venues du Chili. Dans le cadre du Pôle culturel Max-Jacob, ce jardin dispose également d'une roseraie et d'un jardin pédagogique. Enfin, le jardin du Prieuré, situé le long de l'Odet, près du quartier historique de Locmaria, regroupe quant à lui 150 plantes médiévales dans le but de reproduire le jardin à l'époque d'Anne de Bretagne. Sa surface est de 1 700 m2. Depuis 2009, il a le titre de « Jardin remarquable. » Plus en aval de l'Odet, le château de Lanniron abrite des jardins à la française depuis le XVIIe siècle sur 27 hectares. Le mont Frugy est parcouru par des chemins dans une falaise boisée surplombant la ville. C’est un site classé depuis 2011 de 6 hectares. Les gorges du Stangala où coule le fleuve Odet (à 7 km N.E.). Les gorges boisées de l'estuaire de l'Odet (visite en vedettes touristiques). La commune compte plusieurs espaces naturels protégés à divers titres : le chemin de halage de l'Odet comprenant 4 hectares couverts par un arrêté préfectoral de protection de biotope en date du 18 août 2005 afin de protéger le cranson des estuaires (Colchearia aestuaria), plante protégée au niveau national. Cette zone de protection se trouve sur la rive droite de l'Odet, le long du chemin de halage entrer la place des Acadiens et le bois du Corniguel ; la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 de 2 611 hectares de la vallée de l’Odet, également sur les communes de Bénodet, Combrit, Gouesnach, Plomelin ; la ZNIEFF de type 2 de 296 hectares de la baie de Kerogan, également sur la commune de Plomelin. La baie de Kerogan est situé juste en aval de la ville. Elle est bordée sur sa rive gauche par les tourbières de Kerogan et Stang Zuqui abrite entre autres l'escargot de Quimper et des droséras, ce qui provoqua des polémiques, les écologistes protestants contre les projets d'urbanisation dans cette zone, finalement protégée par un périmètre de protection et de valorisation (décision du conseil municipal de Quimper en date du 19 décembre 1997).On trouve aussi : la ZNIEFF de type 2 de 33 hectares de l’Isole, également sur la commune de Roudouallec ; la ZNIEFF de type 1 de 9 hectares de la tourbière de la fontaine de Keribin. Jules Verne : le Comte de Chanteleine (1864), décrit Quimper en 1793. Bernard Larhant : Quimper sur le gril (2009), premier roman des aventures de Paul Capitaine, capitaine de police. Jean Michel Bernard : Le bagad bombarde à Quimper (2017). François Lange : le Manuscrit de Quimper (2018) se passe à Quimper au début de l'année 1858. François Lange : son roman policier La Bête de l'Aven (2018) se passe en partie à Quimper en juillet 1858. André Grall, Le Pendu d'Argol De nombreux peintres et dessinateurs ont représenté Quimper. Parmi eux : Olivier Perrin, Le Champ de foire à Quimper, 1821, 69,4 × 86,4 cm, musée des Beaux-Arts de Quimper Eugène Boudin : Le port de Quimper, 1857, 40,3 cm × 62,3 cm, musée des Beaux-Arts de Quimper Bretonnes agenouillées dans la cathédrale de Quimper, 1857, 12,6 cm × 21,7 cm, musée du Louvre, département des Arts graphiques Marché sous l'ancienne halle de la place Saint-François à Quimper, 22 cm × 29,8 cm, musée du Louvre, département des Arts graphiques Sonneur bretons, à Quimper, 20,4 cm × 27 cm, musée du Louvre, département des Arts graphiques Jules Noël, L'arrivée de la diligence à Quimper-Corentin sous le Directoire, 1873, 100,2 cm × 130,5 cm, musée des Beaux-Arts de Quimper Jules Girardet, Les Révoltés de Fouesnant ramenés à Quimper par la garde nationale, 1886-1887, 158 cm × 221,5 cm, musée des Beaux-Arts de Quimper Henri Alphonse Barnoin, Jour de marché à Quimper Place Saint-Corentin, début du XXe siècle William Henry Charlton, Vue de Quimper, début du XXe siècle, 46 cm × 54 cm Fernand Legout-Gérard, La place Terre-au-Duc, 1910, 46 cm × 54 cm, musée des Beaux-Arts de Quimper Constantin Petrescu Dragoe, Peisaj din Quimper, 1930 Paul Signac, Quimper, 1935, 15,9 cm × 19,9 cm Un timbre postal, d'une valeur de 12 francs soit 1,83 euro représentant la rue Kéréon et la cathédrale de Quimper a été émis le 14 juin 1954 à 19 468 000 exemplaires. Six autres timbres à l'effigie du Festival de Cornouaille ont été émis le 27 juin 2013. Manifestations hebdomadaires : les Halles Saint-François, tous les jours ; le Grand Marché de Quimper, les mercredis et samedis matin ; marché du Braden, les dimanches matin de 7 h à 14 h ; marché bio de Kerfeunteun, les vendredis après-midi de 16 h à 19 h 30.Liste des manifestations et festivités quimpéroises classée par mois : Cirques d'hiver (fin janvier) ; Les Hivernautes (février) ; festival Yakayalé (avril) ; Les Jeudis de l’Évêché (les jeudis soir de mi-juin à mi-septembre) ; Festival de Cornouaille (troisième semaine de juillet) ; Les visites contées estivales (juillet et août) ; Semaines Musicales de Quimper (3 premières semaines d'août) ; Festival Insolent (octobre) ; L’odyssée des mots (octobre) ; Festival Halloween (fin octobre) ; Cyber fest-noz (novembre) ; Cirque de Noël (décembre) ; Théâtre à Tout Âge (décembre) ; Penn Ar BD, festival de bande dessinée.Manifestations et festivités non spécifiques à Quimper mais auxquelles elle participe : Luna Park (fin janvier à début mars) ; Printemps des Poètes (mars) ; Printemps du cinéma (fin mars) ; Fête des voisins (dernier vendredi de mai ou premier vendredi de juin) ; Nuit des musées (mai) ; Fête de la Saint-Yves (19 mai) ; Fête de la lecture (fin mai) ; Rendez-vous aux jardins (premier week-end de juin) ; Fête de la musique (21 juin) ; Fête de la Saint-Jean (24 juin) ; Fête du cinéma (fin juin) ; Fête nationale française (14 juillet) ; Fête foraine (août) ; Rentrée du cinéma (septembre) ; Journées européennes du patrimoine (mi-septembre).

Voir aussi

Jean-Paul Le Bihan (dir.) et Jean-François Villard, Archéologie de Quimper : matériaux pour servir l'Histoire, t. 1 : De la chute de l'empire romain à la fin du Moyen Âge, Quimper & Saint-Thonan, Centre de Recherche Archéologique du Finistère & éditions Cloître, 2005, 459 p. (ISBN 978-2-910981-06-8) Jean-Paul Le Bihan (dir.) et Jean-François Villard, Archéologie de Quimper : matériaux pour servir l'Histoire, t. 2 : Au temps de l'empire romain, Quimper & Saint-Thonan, Centre de Recherche Archéologique du Finistère & éditions Cloître, 2012, 846 p. (ISBN 978-2-35002-038-9) Jean Kerhervé (dir.), Histoire de Quimper, Privat-SAF, 1994 Jean-François Douguet et Hervé Glorennec, Quimper, des rues et des noms au fil du temps, Cercle culturel Quimpérois, 2003 Serge Duigou, Jean-Michel Le Boulanger, Jean-Paul Le Bihan, André Cariou, Annick Fleitour et Hélène Henry, Quimper, Plomelin, Palantines, coll. « Histoire et géographie contemporaine », 2006, 230 p. (ISBN 2-911434-58-7, BNF 40932644) Quimper, ville d'art et d'histoire, éditions Monum, 2006 Serge Duigou, L'Odet, éditions Palantines, coll. « Plomelin », 2007 Gérard Le Gouic, La place Bouchaballe, éditions Telen Arvor, 2009 Émile Souvestre, En Bretagne : Kemper, la ville d'Is, dans ses Œuvres complètes, Paris : Michel Lévy frères, 1867, vol.14, p. 1–44 [2] Site officiel Ressources relatives à la géographie : Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative aux beaux-arts : (en) Grove Art Online Ressource relative à la musique : (en) MusicBrainz Ressource relative aux organisations : SIREN Site officiel. Site de l'office de tourisme. Portail des communes de France Portail du Finistère Portail de Quimper et de sa région