La société Scp fedarc a été créée le 5/3/1990, soit 33 années d'activités. Le siège de la société est basé à PONTOISE 95300. Elle possède un seul établissement. Le gérant de la société est Eric AZOULAY. Elle a un capital social de 457347 €. Son dernier bilan date du 29/8/2022. Elle emploie 6 à 9 salariés. Scp fedarc a choisi le statut juridique SCP d'avocats. Elle opère sous le code NAF 69.10Z et évolue dans le secteur .
Le code APE - NAF 6910Z est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 90 054 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 103 702 salariés, essentiellement des avocats, des notaires et des huissiers.
Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 6910Z : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.
La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 6910Z est : "Activités juridiques".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Activités juridiques, les salariés de cette branche sont essentiellement des avocats, des notaires et des huissiers.
La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.
L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).
Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.
Pour être en conformité avec la loi, vous avez besoin de votre convention collective à jour en permanence des derniers accords, même non étendus. Voir les offres pour les conventions collectives du code NAF 6910Z.
L’assurance RC Pro est obligatoire dans le cadre de votre activité. Elle couvre les dommages corporels, matériels et immatériels causés à autrui dans le cadre professionnel. Ces dommages peuvent être coûteux, et vous devrez payer de votre poche si vous n’êtes pas couvert. Vous pouvez effectuer un devis en ligne sans engagement et sans laisser vos coordonnées sur notre comparateur RC Pro.
Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.
Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 6910Z. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.
Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.
L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :
Si vous démarrez l'activité de "Activités juridiques", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.
Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.
L’activité 6910Z est une activité non-commerciale, par conséquent le régime est celui des bénéfices non commerciaux (BNC) et non la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC), avec les conséquences suivantes :
Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.
L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers.
Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.
Ci-après les OPCO pour l'organisme de formation relevant de l'activité Activités juridiques :
En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.
En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Activités juridiques”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.
En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.
L'établissement principal est domicilié au 55 rue de l hotel de ville, Pontoise 95300. La société possède aucun autre établissement. 1 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.
À Pontoise 95300, il y a 729 autres entreprises qui ont la même activité.
Pontoise est une commune française située en région Île-de-France, sur la rive droite de l'Oise, à environ vingt-cinq kilomètres au nord-ouest de Paris. Chef-lieu du département du Val-d'Oise, la préfecture ne se situe pas au chef-lieu, mais dans la ville voisine de Cergy, depuis la création de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, ce qui constitue un cas unique en France métropolitaine. La ville abrite une des plus importantes cités judiciaires du pays et est le siège du diocèse de Pontoise, détaché de celui de Versailles en 1966. Ses habitants sont appelés les Pontoisiens. Riche de plus de deux mille ans d'histoire, capitale historique du Vexin français et ville majeure du royaume au Moyen Âge, elle a été rendue célèbre dans l'art impressionniste à la suite du long séjour de Camille Pissarro, qui l'a représentée dans de nombreuses œuvres, diffusées dans les plus grands musées du monde. Grâce à son riche patrimoine, Pontoise a obtenu le label Ville d'art et d'histoire en 2006.
Pontoise, dont le centre historique est située sur un éperon rocheux, dominant le confluent de l'Oise et de la Viosne. Chef-lieu du département du Val-d'Oise, elle fait partie de la communauté agglomération de Cergy-Pontoise. Un port batelier et une capitainerie sont installés le long de quelques quais. La ville, dont le centre historique était entouré d'une enceinte, est divisée en deux par une voie ferrée au XIXe siècle, qui partage la partie haute au nord (Mont Bélien) et la partie boisée de Saint-Martin au sud (traversée par l'autoroute A15). Dans les proches faubourgs, se trouve de petits quartiers pittoresques, comme les Étannets (de style andalou) ou l'Hermitage. Les 717,02 hectares de la commune (rivière incluse) se répartissent en 463,95 hectares d'espace urbain construit (soit 65 % de la surface totale), 130,41 hectares d'espace urbain non construit (soit 18 %) et 122,66 hectares d'espace rural (soit 17 %). La trame urbaine est constituée du centre ancien à l'habitat continu bas (7,5 % du bâti), de maisons individuelles, essentiellement des XIXe et XXe siècles, qui se sont développées autour du centre historique (27,1 % du bâti), de logements collectifs et autre types de constructions, essentiellement à l'ouest, dans les quartiers de Marcouville et des Louvrais (8,8 % du bâti). Les équipements, bureaux, zones d'activité, grandes surfaces commerciales et les infrastructures de transports occupent 33,9 % du territoire. Ces derniers se localisent très majoritairement au sud, en limite de Cergy à proximité de l'autoroute A15. Les communes limitrophes de Pontoise sont Auvers-sur-Oise (au nord), Saint-Ouen-l'Aumône (à l'est), Éragny (au sud-est), Cergy (au sud), Osny à l'ouest et Ennery (au nord-ouest). La géologie de la ville est celle du Vexin français, constitutif du Bassin parisien et caractérisé par sa nature sédimentaire. Le plus ancien matériau rencontré à Pontoise est le sable de Cuise (Cuisien). Il s’agit d’un sable verdâtre partiellement grésifié affleurant dans le vallon de l’Hermitage. La ville de Pontoise est elle-même construite sur le calcaire grossier du Lutétien qui constitue la falaise bordant la rive ouest de l’Oise. Ce calcaire a été anciennement exploité comme matériau de construction dans des carrières sous la ville et sous le plateau Saint-Martin. Dans la vieille ville, les sous-sols médiévaux ou plus récents sont imbriqués avec des anciennes carrières souterraines. Les marnes et caillasses du Lutétien surmontent le calcaire grossier. Elles constituent le talus nord des anciens fossés de la ville (boulevard Jean-Jaurès). Viennent ensuite, en bordure du plateau, les terrains du Bartonien : sables de Beauchamp dans les quartiers des Louvrais et de l’Hermitage, puis calcaire de Saint-Ouen vers le quartier des Cordeliers. Les limons des plateaux recouvrent partiellement le calcaire de Saint-Ouen. Les fonds de vallées sont recouverts par les alluvions modernes d'âge Holocène : vallée de l’Oise, vallée de la Viosne et vallon du ru de l’Hermitage. Des dépôts d’alluvions anciennes du Pléistocène recouvrent en partie le calcaire grossier dans le quartier Saint-Martin. La commune comprend un site recensé sur la base de données du ministère de l'écologie relative aux sites et sols pollués (ou potentiellement pollués) appelant une action des pouvoirs publics, à titre préventif ou curatif (BASOL). Ce site, une ancienne usine à gaz en activité de 1868 à 1944, est la propriété de Gaz de France et ne constitue selon les études qu'un lieu à risque faible de pollution. La commune compte en revanche 113 petits sites industriels, actuels ou anciens, potentiellement pollués (anciens ateliers, stations-service ou décharges par exemple). Le territoire communal est traversé par deux cours d'eau, l'Oise et la Viosne. L'Oise naît en Belgique, traverse 139 communes le long de ses 341,1 km en France avant de se jeter dans la Seine à Conflans-Sainte-Honorine, à quelques kilomètres en aval de Pontoise. La Viosne entaille le plateau du Vexin en une vallée étroite traversant quatorze communes, sur un axe nord-sud d'une longueur de 28,8 km, se dirigeant vers le cours de l'Oise dans laquelle elle se jette à Pontoise. La situation géographique de Pontoise rend la ville particulièrement vulnérable à des risques naturels. La commune est soumise à un risque de mouvement de terrain sur la totalité de la falaise constituant l'escarpement du plateau du Vexin qui domine la plaine alluviale, ainsi que pour l'essentiel du centre-ville (éperon constitué par le mont Bélien). La plaine alluviale est quant à elle à risque élevé d'inondation par débordement consécutif à une crue de l'Oise, en particulier dans le quartier du Chou en amont, dans celui de la gare et en aval, au droit de l'île de la Dérivation et dans le bas du quartier des Larris. Toutes ces zones ont été inondées lors de la grande crue de 1910, la ville étant affectée lors des crues de la Seine en aval. Ce risque a motivé la mise en place d'un plan de prévention contre les risques d'inondation (PPRI), mis en vigueur en juillet 1998 par arrêté préfectoral. Il concerne dans le Val-d'Oise les vingt-deux communes riveraines de l'Oise. Ce plan détermine quatre zones, prioritaires sur les plans locaux d’urbanisme (PLU) des communes concernées : une zone rouge délimitée en fonction des crues de 1926 et 1995, une zone bleue où l’urbanisation est fortement réglementée, une zone verte, restée non bâtie et devant le rester et une zone orange, servant de champ de stockage et d’expansion des crues (la plaine entre Asnières-sur-Oise et Noisy-sur-Oise et la plaine de Champagne-sur-Oise en amont, le méandre de Cergy-Neuville en aval, qui devraient permettre le stockage de 2,5 millions de m3 d’eau). L'eau potable distribuée est un mélange d'origine souterraine et superficielle, provenant de la filtration des eaux de l'Oise,. La commune est partiellement alimentée en eau par la station de traitement de Méry-sur-Oise, gérée par la société Veolia Environnement. L'eau potable à Pontoise est de très bonne qualité bactériologique, contenant peu de nitrates, étant peu fluorée et devenue moins calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 à l'usine de distribution pour la zone de distribution de la rive de l'Oise, mais plus dure ailleurs, dans les secteurs alimentés par la nappe souterraine. Traversée par la RN 14 mise à 2×2 voies (quartiers de Saint-Martin, du Port et de l'Hôtel-Dieu) qui emprunte à certains endroits l'ancienne chaussée Jules César, le contournement du centre historique a été rendu possible au nord par le viaduc du vallon de la Viosne (RD 915) qui permet actuellement de rejoindre les nouveaux quartiers et les infrastructures modernes dont le centre hospitalier, le lycée, et la maison d'arrêt… d'Osny plus rapidement. La petite rue de l'Hôtel-Dieu longeant l'Oise est le carrefour de toutes les routes anciennes et nouvelles et la zone du pont de Pontoise est un endroit souvent embouteillé. Par ailleurs, l'offre de stationnement reste insuffisante en centre-ville. Les voies routières les plus importantes en trafic qui traversent la commune sont l'autoroute A15 (2×4 voies) et la liaison A15 - route départementale 915 (2×2 voies). Ces différentes infrastructures terrestres ont un impact assez élevé en termes de pollution sonore selon la réglementation. Les principales voies routières du centre-ville sont classées de catégorie 3, ou 4 dans le centre, de niveau modéré. En revanche, quatre axes sont classés en catégorie 2 (élevé) : la rue de Rouen, le boulevard Jean-Jaurès, la voie ferrée de la gare vers l'Oise (mais de niveau 4, faible, vers Gisors), et la liaison A15 - route départementale 915. L'autoroute A15 est classée en catégorie 1, le plus élevé. La communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise compte près de soixante-seize kilomètres d’aménagements cyclables. Quelques pistes totalisant 2 km se situent sur le territoire de Pontoise, notamment en limite de Cergy, dans les quartiers des Larris et des Maradas, ainsi qu'à proximité du viaduc de la Viosne (RD 915). La gare de Pontoise est équipée d'arceaux-vélo (non couverts et non sécurisés) et la ville a été nominée au Clou rouillé 2013 par la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB) pour la rareté de ses aménagements cyclables. Liste de quelques rues et places ayant changé de nom au fil du temps : Il existe cinq ponts à Pontoise : Pont de Pontoise (rouvert après la guerre, en 1948) : routier à fort débit (3 voies) ; Pont ferroviaire de Pontoise à 3 tabliers mis en service en septembre et octobre 1998 pour remplacer l'ancien pont obsolète démonté en 1999 : 6 voies ferrées desservant la gare de Pontoise + 1 passerelle piétonne et cyclable ; Pont de l'écluse (XXe siècle) : privé pour le fonctionnement de l'écluse (barrage reconstruit) ; Pont de l'A15 (années 1970) : routier à très fort débit (8 voies) ; Pont de l'Oise ou d'Éragny (1990) : routier à débit moyen (2 voies + 2 pistes cyclables). La gare de Pontoise a la particularité d'être reliée en même temps aux gares de Paris-Saint-Lazare (Transilien J) et Paris-Nord (Transilien H) et desservie également par la ligne C du RER (et donc la gare de Paris-Austerlitz) depuis septembre 2000. Cette desserte par trois réseaux différents n'est partagée en Île-de-France (hors Paris) que par les gares d'Ermont - Eaubonne, dans le même département, et Versailles-Chantiers. Il est également possible d'accéder à la ville à partir de la gare de Cergy-Préfecture sur la ligne A du RER et occasionnellement le Transilien L, reliées par plusieurs lignes de bus en quelques minutes. L'aéroport de Pontoise - Cormeilles-en-Vexin (situé à Cormeilles-en-Vexin) est situé à quatre kilomètres au nord-ouest de la ville et accessible rapidement par la route départementale 915. Le port est peu utilisé car l'Oise est une rivière assez étroite. Néanmoins, quelques chargements en vrac sont exécutés avec du blé et du maïs en provenance du Vexin à destination du Nord et de la Belgique[réf. nécessaire]. Un petit port de plaisance est maintenant hébergé avec un ponton flottant, sur la berge rive droite, en face de l'office du tourisme. Pontoise comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. Il se différencie du climat de Paris intra-muros par un écart de température de quelques degrés, particulièrement notable au lever du jour, et qui a tendance à s'accentuer au fil des années. Cet écart, de 2 °C en moyenne mais qui peut atteindre 8 °C par une nuit claire et un vent faible, s'explique par la densité urbaine qui augmente la température au cœur de l'agglomération. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière). Le record absolu de chaleur est mesuré le 25 juillet 2019 avec 41,6 °C. Le record de chaleur du mois d'août a été mesuré le 12 août 2003 à 39,2 °C, celui du mois de juin le 27 juin 2011 à 37,1 °C, celui du mois d'octobre le 1er octobre 2011 à 28,8 °C. Le record absolu de froid date de janvier 1985 avec -17,8 °C. Le record de froid pour le mois de février date du 7 février 2012 où il fait −15,4 °C, celui du mois de mars du 13 mars 2013 où il fait −11,1 °C, celui du mois d'octobre du 28 octobre 2003 où il fait −5,2 °C, celui du mois d'août du 26 août 2018 où il fait 3,1 °C.
Pontoise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes,. La commune est constituée de plusieurs quartiers : Le grand ensemble de Marcouville à l'ouest. Le grand ensemble des Louvrais au nord-ouest. Le grand ensemble des Cordeliers au nord adjacent aux Louvrais. Le quartier semi-rural de l'Hermitage, fief des impressionnistes, au nord-est. Le quartier semi-rural du Chou, longeant l'Oise jusqu'à Auvers-sur-Oise. Le grand ensemble des Larris au sud à cheval entre Cergy et Pontoise. Le centre-ville, quartier historique. La gare de Pontoise s'y trouve. Le quartier résidentiel du Plateau Saint-Martin au sud-ouest. Le grand ensemble des Maradas au sud. Le « Niglo », aire d'accueil située à côté d'immeubles vétustes.Les quartiers des Louvrais et de Marcouville sont classés en tant que quartier prioritaire de la politique de la ville. Pontoise est une ville constituée majoritairement de logements collectifs, et surtout constituée de locataires avec plus d'un tiers de logements sociaux, mais elle compte néanmoins un parc pavillonnaire non négligeable. Depuis peu, on assiste à la renaissance du centre-ancien, qui avait connu une relative paupérisation depuis un siècle. On y trouve des immeubles d'époques très différentes, certains remontant au XVe siècle (quartier de la Cathédrale). Mais fragilisé par les risques d'éboulement dus aux souterrains et galeries situés sous la roche, le centre historique fait l'objet d'une importante campagne de travaux d'aménagement et de requalification. Jusqu'en 2009, dans le cadre de l'opération programmée d'amélioration de l'habitat (OPAH), les propriétaires privés du centre-ancien peuvent bénéficier de subventions sous certaines conditions. La signature de la convention « Ville d'Art et d'Histoire » le 5 janvier 2007 s'inscrit dans cette forte dynamique de sensibilisation au patrimoine. L'Hermitage et le quartier Saint-Jean / La Justice, situés dans les anciens faubourgs, constituent des secteurs résidentiels très recherchés. L'Hermitage, que fréquentèrent les Impressionnistes, garde encore aujourd'hui une atmosphère de village, avec ses vastes jardins colorés entourant les maisons de maître, dans un paysage vallonné. À l'opposé, le quartier Saint-Jean / La Justice a un caractère plus urbain. On y trouve de belles maisons bourgeoises, entre cour et jardin, construites entre 1850 et 1920. Plusieurs styles sont représentés : la maison de la Belle Époque, très haute, en meulière, avec sa marquise, le pastiche du Petit Trianon, l'architecture flamande… La ville comptait 11 907 logements dont 10 882 résidences principales en 1999. En 1999, 91,4 % des résidences pontoisiennes étaient des résidences principales et seulement 0,3 % des résidences secondaires. L’âge moyen du parc immobilier est plus faible que la tendance régionale, une forte majorité des logements datant des reconstructions d'après guerre à la suite des destructions de 1944, et du boom démographique des années 1970 : 52,2 % des résidences principales dataient de 1949 à 1974, contre 37,8 % en Île-de-France. Les constructions récentes (de 1990 à 1999) sont un peu plus présentes que la moyenne de la région grâce au lancement de quelques programmes immobiliers dans le cadre du réaménagement du quartier de la gare ou avec l'édification de pavillons dans le quartier du Chou en particulier. En 1999, 9,9 % des résidences principales dataient de 1990 ou après contre 9,1 % en Île-de-France. A contrario, les constructions antérieures à 1949 ne représentaient que 23,3 % du parc contre 33,7 % pour la moyenne régionale francilienne, et ce malgré le caractère ancien de la ville. Les résidences principales étaient réparties à 26,6 % en maisons individuelles et à 73,4 % en appartements soit presque exactement la moyenne francilienne (respectivement 26,9 % et 73,1 % dans la région). 37,1 % seulement des habitants sont propriétaires de leur logement, contre 58,7 % qui ne sont que locataires (respectivement 44,3 % et 51,1 % dans la région),. La commune est soumise à l'obligation législative de construction de 20 % de logements sociaux en vertu de la loi no 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains. Avec 4 881 logements HLM soit 41 % du parc en 1999 (23,4 % également dans la région), la ville respecte largement les dispositions de la loi. On peut noter en outre que le nombre de logements vacants était un peu plus faible en 1999 avec 7,6 % du parc contre 8,1 % en moyenne régionale. Les habitations se caractérisent par leur surface importante : les logements de quatre pièces et plus dominent largement (48,9 %). Suivent les logements de trois pièces (26,6 %), puis 2 pièces (15,0 %). Les petits logements restent assez minoritaires (studios : 9,5 %), mais en augmentation de 68,5 % de 1990 à 1999, ce qui contribue à mieux rééquilibrer le parc,.
La forme la plus ancienne est Brivisara dans l'Itinéraire d'Antonin, milieu du IIe siècle ; puis Brunsara sur la table de Peutinger, milieu du IIIe siècle ; Briva Isaræ IVe siècle, Brivisara au IIe siècle, du gaulois briva (pont, gué) et Isara (Oise) « Pont sur l’Oise ». Puis Pontem Hiserae, 874-900,; Pontizara en 1174 ; Pontisaram, 1185 ; Puntesia en 1189 ; Pons Isaræ en 1195. Ces derniers noms viennent du latin pontem qui traduit le gaulois briva "pont" + isaram "rivière Oise" (cf. Samarobriva) et Isara (cf. Isère, Isar) nom celtique de la rivière qui a donné « Oise », d'où la traduction romane « Pontoise ».
Pontoise est la capitale historique du Vexin français. Elle est, de 1964 à 1970, la préfecture unique du Val-d'Oise, avant d'en devenir une sous-préfecture (jusqu'au 1er avril 2016, date de la fermeture définitive de la sous-préfecture de Pontoise) en restant le chef-lieu du département. Elle abrite aujourd'hui la résidence du préfet tandis que Cergy accueille la préfecture.
La ville appartient à l'unité urbaine et à l'aire urbaine de Paris. Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au 1er janvier 1968. Bien que la ville soit officiellement le chef-lieu du département, la préfecture et le conseil départemental ont leur siège dans la commune voisine de Cergy. L'arrondissement de Pontoise existait déjà lorsque la ville était chef-lieu d'arrondissement de Seine-et-Oise. Toutefois, la sous-préfecture a cessé son activité à Pontoise en 2016. Pour l'élection des députés, la ville fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise. Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Pontoise. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de une à 32 communes. La présence d'une Cour de Justice à Pontoise remonte à l'Ancien Régime (exil du Parlement de Paris). On trouve à Pontoise plusieurs juridictions : un tribunal judiciaire, un tribunal de commerce, un tribunal administratif et un conseil de prud'hommes. Un nouveau palais de justice a ouvert ses portes le 11 octobre 2006. À proximité, la maison d'arrêt située à Osny a été mise en service en 1990 ; elle remplace l'ancienne prison de Pontoise, considérée comme la plus vétuste de France avant sa fermeture définitive. Le Barreau de Pontoise, l'un des plus importants de France, fut constitué en 1887.
Vingt-trois établissements scolaires publics dispensent l’enseignement à Pontoise : neuf écoles maternelles, neuf écoles primaires, trois collèges : Chabanne, Nicolas-Flamel (anciennement collège des Louvrais) et Parc-aux-Charrettes (RRS) et deux lycées généraux et techniques (lycée Pissarro (en) et Kastler (en)) préparant également au BTS ainsi qu’aux concours d’entrée aux Grandes Écoles (maths sup. et maths spé., commerce). La ville compte par ailleurs quatre établissements privés, l’école primaire Saint-Louis, le collège et lycée privé catholique Saint-Martin-de-France (internat et externat), le collège et lycée catholique Notre-Dame-de-la-Compassion (en) et le collège et lycée Vauban. La commune relève de l’académie de Versailles. Les écoles sont sous l'autorité de l'Inspection de l'Éducation Nationale de Cergy Est - Pontoise. La circonscription fait partie du bassin d’éducation et de formation de Pontoise. Le site Saint-Martin de l'université de Cergy-Pontoise, spécialisé dans les sciences, est situé sur le territoire de la commune. Créée en 1991, l'université accueillait un total de 19 250 étudiants sur son campus en 2007. Foire annuelle en novembre depuis le Moyen Âge, la foire Saint-Martin est aujourd'hui devenue une fête foraine. Elle a traditionnellement pour spécialités culinaires le hareng, qui était amené facilement de Dieppe par la route Dieppe-Paris qui traverse Pontoise, et le ginglet, vin produit autrefois dans Cergy-Pontoise, aujourd'hui aux alentours. Une foire commerciale se déroule également à la même période dans le Parc des Expositions de Cergy-Pontoise. En 2008, la foire voit sa 838e édition. Le Parc des expositions avec la Halle Saint-Martin se trouve à Pontoise sur l'ancienne chaussée Jules César, lieu de plusieurs salons régionaux et également le Salon national de l'humanitaire. Le théâtre des Louvrais (L'Apostrophe, scène nationale) a été inauguré en 1974. Détruit par un incendie criminel lors des émeutes urbaines de novembre 2005, le théâtre a rouvert ses portes en mars 2007. Depuis 1986, le Festival Baroque de Pontoise propose des interprétations des grands compositeurs des XVIIe et XVIIIe siècles. Le festival se tient chaque année en septembre et octobre, son directeur est Pascal Bertin. Depuis 2002, Piano Campus est « La » grande fête du piano en Région Ile-de-France. La ville de Pontoise et la Communauté d’Agglomération de Cergy-Pontoise deviennent, le temps d’un hiver, la capitale francilienne du piano avec un Piano Campus Festival consacré aux jeunes talents et un concours international. Les objectifs de Piano Campus sont pluriels : offrir des concerts gratuits de qualité sur tout le territoire du Val d’Oise, d’Ile-de-France et hors-les-murs, participer au projet d’éducation musicale et de démocratisation (sensibilisations pour les scolaires, collégiens, lycéens, étudiants, avec distribution gratuite de CD), aider les jeunes pianistes grâce à des formations régulières (Masterclasses, cours d’interprétation) et participer à leur insertion professionnelle grâce au concours international clôturant Piano Campus en les invitant au Piano Campus Festival ainsi que dans les saisons et festivals partenaires. Pontoise compte une piscine dans le quartier des Louvrais et sept autres sont situées dans les communes voisines. Une patinoire se situe sur le parvis de la Préfecture à Cergy. La ville possède en outre de nombreuses installations : un boulodrome, trois gymnases, une salle de danse, un terrain de tir à l'arc, un stand de tir, un complexe sportif et un hall omnisports et quatre stades dont un consacré au rugby. La base de loisirs de Cergy-Pontoise occupe une surface de 250 hectares dont 150 en plans d'eau, au centre de la boucle de l'Oise à Cergy et Neuville-sur-Oise. Elle permet la pratique de nombreux sports et loisirs, planche à voile, baignade, tennis, badminton, parcours de mini-golf… tout comme la simple promenade. Un stade d'eau vive, unique en Europe, et un téléski nautique permettent la pratique du rafting, kayak, wakeboard et autres sports de glisse. Trois parcours de golfs sont situés à Vauréal, Jouy-le-Moutier et Saint-Ouen-l'Aumône. Parmi les équipes et clubs, on peut citer le Hockey Club de Cergy-Pontoise (hockey sur glace), l'Entente Cergy Osny Pontoise BB (basket-ball), le Judo Club de Pontoise, le RCACP (Racing club de l'agglomération de Cergy-Pontoise), et surtout le Tennis Club de Pontoise ou le club de tennis de table de l'AS Pontoise-Cergy TT qui devient champion d'Europe en 2014 et en 2016 et champion de France en 2015 et 2016. Pontoise accueille le plus important centre hospitalier du département, l'hôpital René-Dubos. Il est l'héritier de l'ancien Hôtel-Dieu de Pontoise situé sur les bords de l'Oise, détruit par un bombardement en 1940. En 2002, l'hôpital a enregistré 35 000 hospitalisations, 257 000 consultations, 87 000 passages aux urgences, 133 000 appels au SAMU et 3 328 naissances. Le centre hospitalier est doté d'un budget annuel global dépassant 150 millions d'euros et emploie 2 700 salariés. Il a été plusieurs fois classé parmi les cinquante meilleurs hôpitaux de France,. Une nouvelle maternité a ouvert ses portes en 2006 (classée en niveau 3 de soins). La ville possède également deux maisons de retraite. La presse locale est constituée de plusieurs publications : outre le magazine municipal Pontoise infos, complété par une lettre municipale d'information mensuelle qui rappelle les travaux de voirie ou les dates de réunions publiques par exemple, la communauté d'agglomération diffuse un magazine gratuit Douze comme une, jeu de mots autour du nombre de communes composant cette communauté. La ville renferme les sièges des journaux La Gazette du Val-d'Oise et L’Écho régional, le siège départemental du journal Le Parisien se situant dans la ville voisine de Cergy. La chaîne de télévision départementale VOtv, financée essentiellement par le Conseil général, a ses studios dans les bâtiments de l'université Saint-Martin de Pontoise. Elle a été diffusée de la Tour Eiffel dans le cadre des expérimentations de diffusion de télévisions locales. Elle est actuellement disponible en partage de temps d'antenne sur Télif, rassemblement de télévisions locales d'Île-de-France diffusé par satellite, sur les réseaux câblés de Numericable et via l'ADSL. Deux radios locales émettent sur l'ensemble de la ville nouvelle, RGB (99.2 FM) et la radio étudiante REVE FM (89.6 FM); toutes deux diffusent leurs programmes de Cergy. Une association gère le site 95degres.net qui présente l'agenda culturel de Cergy-Pontoise et ses environs. Les fidèles de la paroisse sont accueillis à la cathédrale Saint-Maclou, à l'église Notre-Dame et à l'église Saint-Pierre des Louvrais. La paroisse de Pontoise relève du doyenné et du diocèse de Pontoise. La chapelle Saint-Mathias : acquise en 1981, agrandie et embellie en 1999, elle fut bénie par Bernard Fellay le 16 janvier 2000. Ouverte relativement récemment, elle bénéficie cependant de boiseries anciennes pour le chœur mais aussi d'un autel et d'un vitrail datant tous du XIXe siècle. Parmi les autres lieux de culte de la ville, existent le couvent des Carmélites de Pontoise, la mosquée de Pontoise et l'église évangélique. Cathédrale Saint-Maclou, place du Petit Martroy. Église Notre-Dame, place Notre-Dame. Église Saint-Pierre des Louvrais, place de la paix. Chapelle Saint-Mathias, boulevard des Cordeliers. Chapelle de l'hôpital de Pontoise, avenue de l'Ile-de-France. Chapelle du lycée Notre-Dame de Compassion, place Nicolas- Flamel. Chapelle du couvent des Carmélites, rue Pierre-Butin. Chapelle de l'Hermitage, rue Maria-Deraismes. Vestiges de l’abbaye Saint-Martin avec chapelle, avenue de Verdun École Saint-Martin-de-France. Chapelle des Cordeliers, place de l'Hôtel-de-Ville (façade). Église protestante évangélique, rue Saint-Jean. Mosquée-Centre socio-culturel Avicennes, rue du Maréchal-De Lattre. Crypte du Couvent des bénédictines anglaises.
Pontoise abrite de nombreuses fonctions administratives et ecclésiastiques (tribunal, sous-préfecture, évêché, cathédrale, églises…) malgré le départ de certains services publics, désormais situés à Cergy : succursale de la Banque de France, Trésor public. Elle a aussi une délégation de la Chambre de commerce et d'industrie de Versailles-Val-d'Oise-Yvelines pour le Val d'Oise. Le caractère provincial de la ville a attiré de nombreuses professions libérales, à commencer par les avocats, autour d'une des dix premières cités judiciaires de France. En revanche, elle possède peu de sièges sociaux, bien que 770 entreprises aient été recensées à Pontoise en 2005. Le centre hospitalier régional René-Dubos est l'héritier de l'ancien Hôtel-Dieu de Pontoise. Il emploie près de 400 médecins et plus de 2300 agents hospitaliers, constituant le premier employeur public de l'agglomération de Cergy-Pontoise,. Quant à la clinique Sainte-Marie, fondée à Pontoise en 1930 par le Docteur Breton, elle a été transférée à Osny en 2005. La plupart des médecins spécialistes exerçant leur activité en centre-ville consultent dans l'un ou l'autre des deux établissements. Le commerce de détail est bien représenté dans le centre ancien (alimentation, équipement de la maison, équipement de la personne) mais sa pérennité n'est pas acquise. La reprise des commerces à la suite des départs en retraite n'est pas systématique. Les marchés de Pontoise sont très fréquentés (cinq jours de marché par semaine en différents endroits de la ville, le plus important se déroulant le samedi matin depuis le Moyen Âge). Un centre commercial de proximité intégrant plusieurs petits commerces et un supermarché (enseigne Ed) est situé dans le quartier des Louvrais. Un centre commercial, beaucoup plus vaste (hypermarché E.Leclerc) se situe aux limites de la ville, au lieu-dit la Croix-Saint-Siméon à Osny. Deux autres grands centres commerciaux sont situés dans les villes voisines et concurrencent durement le petit commerce pontoisien : le plus important, en taille et en fréquentation, est constitué par le centre commercial régional les 3 Fontaines à Cergy ; on trouve également la zone commerciale de l'Oseraie qui poursuit son développement autour de l'hypermarché Auchan et du magasin Leroy Merlin. Avec l'obtention du label « ville d'art et d'histoire », la municipalité mise sur le développement du tourisme (tourisme fluvial, découverte du patrimoine bâti et souterrain). En 1999, 29,3 % des actifs pontoisiens ayant un emploi travaillaient dans la commune. Ce chiffre relativement élevé pour la région a néanmoins légèrement reculé de 3,7 points entre 1990 et 1999. Mais près d'un tiers des actifs travaillaient hors du département, essentiellement à Paris et dans les Hauts-de-Seine. La voiture particulière reste le moyen de transport privilégié des déplacements domicile-travail puisqu'elle représentait 48,9 % des déplacements en 1999 contre 24,7 % pour les transports en commun et 10,1 % pour la marche à pied. Le taux de chômage était supérieur à la tendance nationale avec 12,6 % en 2014 (moyenne nationale :10,4 % en 2014). En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 29 145 €, ce qui plaçait Pontoise au 15585e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole. En 2015, 102 redevables pontoisiens étaient soumis à l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), pour un patrimoine moyen de 2 399 749 € et 9 531 € de contribution en moyenne. Les professions intermédiaires sont très représentées à Pontoise avec 27,3 % des actifs (contre 25,6 % en moyenne régionale et 23,1 % en moyenne nationale). Mais ce sont les employés qui sont les plus représentés, avec 32,3 % des habitants de la commune (contre 29,5 % en Île-de-France et 28,8 % en France). Les ouvriers représentent quant à eux que 19,8 % des actifs de la commune (16,5 % en région Île-de-France et 25,6 % en France). Les cadres et professions intellectuelles représentent 17,0 % des Pontoisiens (contre 13,1 % en moyenne en France et 22,8 % en moyenne régionale). Les agriculteurs représentent 0,1 % des actifs de la ville. Le taux de Pontoisiens ayant suivi des études supérieures avec 24,3 % est supérieur à la moyenne nationale (18,1 %) mais nettement inférieur à la moyenne régionale (28,1 %).
Pontoise est signataire d'une convention « Ville d'art » depuis 1978. En raison de la richesse de son patrimoine et des efforts pour le mettre en valeur, elle a obtenu le 30 mars 2006 le label Ville d'art et d'histoire. La ville possède de nombreux monuments historiques classés ou inscrits. Une partie de son territoire constitue un site inscrit (le mont Bélien et le quartier de l'Hermitage) et le site du château et parc de Marcouville, est classé. Le classement du centre-ville en zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP) a été mis à l'étude en 1998, ce projet, déjà mis en œuvre dans la commune voisine d'Auvers-sur-Oise, pourrait aboutir avant 2010,[Passage à actualiser]. Le cimetière de Pontoise abrite plusieurs sépultures de personnalités. Pontoise possède de nombreux jardins privés et potagers, ainsi que cinq parcs et jardins publics. S'y ajoute un réseau de 15 km de sentes rurales se faufilant entre les propriétés privés et permettant de découvrir les espaces naturels, nombreux à proximité du centre-ville. Les sentes peuvent avoir quelques dizaines de mètres de longueur seulement, voire atteindre plusieurs kilomètres. La plupart se concentrent dans les quartiers semi-ruraux de l'Hermitage et du Chou, au nord, ainsi que près des bords de la Viosne, à l'ouest du centre-ville près de la voie ferrée. L'hôtel de Verville et l'hôtel de Monthiers possèdent de remarquables jardins privés. On peut citer également les jardins familiaux de l'Hermitage, potagers immortalisés par Camille Pissarro, des Pâtis ou le Clos des Anglaises (quartier Saint-Martin). Pontoise possède par ailleurs des vignes, le vignoble de la commune de Saint-Martin. Jardin des Cinq Sens, rue du Château : il occupe l'emplacement de l'ancien château autour du musée Pissarro. Il présente la particularité d'être conçu également pour les malvoyants, présentant de nombreuses plantes et fleurs aux parfums soutenus et des panneaux en braille (accès libre tous les jours de 10 h à 21 h). Jardin et roseraie de l'hôtel de ville, place de l'Hôtel-de-Ville : petit jardin en haut des remparts du boulevard Jean-Jaurès, avec vue sur une terrasse d'artillerie du XVIe siècle. Jardin de la Ville, rue de la Coutellerie, impasse de la Prison et rue de Gisors : il reprend le tracé d'un jardin d'agrément créé au XVIIIe siècle par Le Vasseur de Verville, Contrôleur des finances de la Maison du Roi. Il fut acquis par la ville de Pontoise en 1820. Cette promenade publique occupe une partie des douves qui protégeaient la ville médiévale. Jardin des Lavandières, à l'ouest de la ville, rue de Rouen et rue des Deux-Ponts : il occupe un ancien site d'ateliers artisanaux aujourd'hui disparu et une partie de l'ancien parc de Marcouville (voir ci-dessous). Son nom vient du lavoir sur la Couleuvre, déviation de la Viosne, qui délimite le parc au sud-ouest. Un sentier longeant la rivière permet de se rendre au moulin de la Couleuvre, représenté par Paul Cézanne. Le parc est ouvert en permanence. Parc du château de Marcouville, rue de Rouen : il se situe en face et longe également la rivière, avec une superficie de plus de cinq hectares muni d'un ancien lavoir donnant sur la Viosne. Son système hydraulique remonte au XVIIe siècle. Ce parc est habituellement fermé d'accès en attendant sa restauration. Parc des Larris, au sud de l'autoroute A 15 à proximité de Cergy : parc de dix hectares avec sa colline, aménagé sur la rive droite de l'Oise en 1987. Le parc est ouvert en permanence. Les Larris est le nom du quartier à l'extrémité sud du territoire communal, non loin de la gare de Cergy-Préfecture. Pontoise possède un important réseau de caves et souterrains. Le Mont Bélien, sur lequel l'ancien château de Pontoise avait été édifié, est un éperon de calcaire. L'extraction du matériau nécessaire à la construction a laissé de nombreuses caves et carrières du XIIe au XVIe siècle : « carrière du Château », le « port souterrain », la « glacière », la « cave des Moineaux », la chapelle souterraine du presbytère, etc. On peut visiter ces souterrains lors des journées européennes du patrimoine, au mois de septembre, ou sur rendez-vous auprès de l'office de tourisme de Pontoise (visite chaque dimanche). Pontoise offre une vie culturelle assez active, même si celle-ci peut apparaître comme peu dynamique. Avec l'obtention en 2006 du statut de ville d'art et d'histoire, elle possède de nombreux projets afin de devenir un pôle incontournable du département. Barbe Acarie, morte à Pontoise le 18 avril 1618, bienheureuse catholique qui introduit en France l'ordre des Carmes déchaux, une grande mystique et la première stigmatisée française officiellement reconnue Zakaria Attou (1982-), boxeur professionnel franco-marocain. Philippe d'Aunay et Gauthier d'Aunay, écorchés vifs à Pontoise le 19 avril 1314. Alexandre Bornibus (1821-1882), homme d'affaires, moutardier et instituteur. Rédouane Bougara (1972-1998), champion du monde de kick boxing, originaire de la cité des Louvrais (son nom a été donné à l'ancienne avenue de Normandie). Philippe II de Bourgogne est né à Pontoise en 1342. La ville, située sur la route de Compiègne et des Flandres, est alors l'une des plus peuplées et des plus riches du royaume. L'acteur Claude Brosset (1943-2007), acteur français, est décédé à l'hôpital de Pontoise le 25 juin 2007. Le peintre Pierre Carron (1932-), académicien, président de l'Académie des Beaux Arts (2002) a habité Pontoise dans la Maison Rouge, ancienne demeure supposée du cardinal de Bouillon Emmanuel-Théodose de La Tour d'Auvergne, puis du maréchal François Certain de Canrobert. Jean-Claude Chabanne (1921-1942) : étudiant en droit et fondateur d'un groupe résistant, fusillé au Mont Valérien le 27 février 1942 ; un collège de la ville porte son nom, de même que l'impasse qui y mène. Stéphane Charbonnier, dit Charb, dessinateur et directeur de publication du journal Charlie Hebdo, tué lors de l'attentat du 7 janvier 2015, a passé sa scolarité à Pontoise et y est inhumé. Enfant, il est scolarisé au collège des Louvrais, à Pontoise, et publie ses premiers dessins dans le journal du collège Cause toujours. Il intègre ensuite le lycée Camille-Pissarro, où il obtient un bac A2 en 1987. Durant sa jeunesse, Charbonnier effectue un stage à La Gazette du Val-d'Oise, dessine pour la gazette du cinéma Art et Essai Utopia de Saint-Ouen-l'Aumône et travaille pour le mensuel Les Nouvelles du Val-d'Oise. Adolphe Dallemagne (1811-1882), peintre et photographe, y est né. Jérôme Darnaudet (1968-2018), journaliste et cofondateur de Canard PC (dont il devint directeur) est originaire de cette ville. Maria Deraismes (1828-1894), féministe et femme de lettres, dont le buste se trouve dans le quartier de l'Hermitage et qui a donné son nom à une rue de la ville. Pierre Daret, graveur, né en 1610 à Mantes ou Pontoise, mort en 1675. Gilles Dubois (céramiste), (1713-1774), cofondateur avec son frère Robert et d'autres de la Manufacture de Vincennes, (porcelaine) il travailla à Valenciennes, Saint-Amand et Tournai Guillaume Du Val (1570-1646), professeur de médecine et de botanique au Collège de France, est natif de Pontoise. Juliette Faber (1919-2008), actrice décédée à Pontoise. Nicolas Flamel (natif de la ville, ca. 1330) : orfèvre de profession, il aurait découvert la pierre philosophale qui permet de changer les métaux en or (place N.-Flamel près de la Cité judiciaire, et collège Nicolas-Flamel, anciennement des Louvrais). Pierre Fontaine (1762-1853) : architecte, il rénove notamment avec son complice Percier la Malmaison, le palais du Louvre, les Tuileries, l'arc de triomphe du Carrousel sous Napoléon et achève le Palais-Royal en 1822. L'humoriste Cyril Garnier (1980-) est originaire de Pontoise. Achille Gouffé (1804-1874), contrebassiste et compositeur, est né à Pontoise. Seth Gueko (1980-), rappeur, né à Pontoise. Albert Guilbert (1866-1949), architecte, né à Pontoise. Le chanteur Iggy Pop crédite sur son premier album solo The Idiot Château d'Hérouville - Pontoise comme lieu d'enregistrement (avec Munich et Berlin), mais il s'agit d'une imprécision car l'enregistrement a bien eu lieu à Hérouville-en-Vexin, qui se trouve à une dizaine de kilomètres de Pontoise. L'acteur Sylvain Joubert (1944-2000), acteur, écrivain et réalisateur français a habité Pontoise. Charles Victoire Emmanuel Leclerc (1772-1802), général de division (1799), commandant en chef de l'expédition de Saint-Domingue (1801), beau-frère de Napoléon Ier. Jean-Louis Leclerc (1767-1822), député de Seine-et-Oise au Corps législatif (Consulat), préfet napoléonien Louis Leclerc des Essarts (1770-1820), général d'Empire. Charles Léon (1806-1881), premier fils naturel de Napoléon Bonaparte, qui vécut une dizaine d'années rue Jean-Paul-Soutumier dans le quartier de l'Hermitage, au lendemain de la Commune de Paris. Jacques Lemercier (1585-1654), architecte du roi Louis XIII de France Gustave Loiseau, né le 3 octobre 1865 à Paris, décédé à Pontoise le 10 octobre 1935, est un peintre post-impressionniste français, il passe son enfance à Pontoise avec sa famille, des commerçants, à 15 ans, il quitte Pontoise pour Montmartre, en 1891, Gustave Loiseau va séjourner à Auvers-sur-Oise et retourne ensuite à Pontoise entre 1904 et 1935, il repose au cimetière de Pontoise et son atelier existe toujours dans cette ville. Édouard-Alfred Martel (1859-1938) : est considéré comme le fondateur de la spéléologie moderne. Auguste de Méritens, ingénieur électricien français (1834-1898). Installé à Pontoise avec sa femme, de 30 ans sa cadette. Étant très pauvres, n'ayant pas de quoi s'acheter des meubles et régler leurs dettes, sur défauts de paiements, leurs biens furent saisis et vendus. Dans la pauvreté totale malgré la « célébrité », de Méritens et sa femme s'empoisonneront en 1898. Il fut le premier, entre autres, à réaliser la soudure à l'arc en 1881. Jean-Charles Musquinet de Beaupré (1749-1813), général d'Empire, né à Pontoise, décédé à Berlin. Jean Navarre (1914-2000), artiste peintre né à Pontoise. Camille Pissarro (1830-1903), peintre impressionniste, a immortalisé par ses tableaux plusieurs quartiers de la ville. La rappeuse Princess Aniès est originaire de la cité des Louvrais. Marcel Rousier, opérateur radio du réseau Confrérie Notre-Dame fut arrêté dans la maison située au 15 rue du même nom par la Gestapo le 25 mars 1942 et fusillé au Mont Valérien le 13 mai 1943. Eugène Samuell (1906-1989), médecin à Pontoise de 1933 à 1973 au 35 rue de Rouen ; alias Capitaine Jacques, il fut l'un des fondateurs et chef civil adjoint du maquis du Vercors. Une plaque fixée sur la clôture de la maison rappelle ce lieu. Céline Sciamma (1980-), scénariste et réalisatrice française est originaire de Pontoise. Elle a été nommée deux fois aux César dans les catégories meilleur premier film et meilleur réalisateur, elle obtient en 2017, le César de la meilleure adaptation pour le scénario de Ma vie de Courgette. Jean Séverin (1911-1998) : écrivain (de son vrai nom Antoine Bondat), notamment pour la jeunesse (on lui doit par exemple Le soleil d'Olympe), originaire du Morvan (il est né à Montreuillon), a enseigné cinquante ans à Pontoise, notamment à l'école Saint-Martin. Jean-Alexandre Seyès (1855-1937), libraire-papetier à Pontoise (rue de l'Hôtel de Ville, no 20), a déposé le 16 août 1892, au tribunal de sa ville la réglure caractéristique de la papeterie scolaire française : un carré de 0,8 cm de côté découpé horizontalement en quatre espaces de 0,2 cm de haut (les « grands carreaux »). Le chanteur Rn'B Singuila (1977-) est originaire de la cité de Marcouville. Abbé Denis Trou, né à Vauréal le 3 fructidor an XI (21 août 1803) et décédé à Pontoise le 6 novembre 1856. Premier vicaire de la cathédrale Saint-Maclou de Pontoise puis aumônier des Carmélites de Pontoise, auteur d'une notice historique et descriptive de la Saint-Maclou de Pontoise, en 1836, et des recherches historiques, archéologiques et biographiques sur la ville de Pontoise. Eugène Turpin (1848-1927), inventeur de la mélinite, est enterré au cimetière de Pontoise. En 1897, Turpin poursuivit en justice Jules Verne parce qu'il l'aurait caricaturé avec le personnage du savant Thomas Roch, héros tragique du roman Face au drapeau. Verne, défendu par Raymond Poincaré, fut innocenté, mais une lettre à son frère Paul confirme bien que Turpin était une source d'inspiration du roman Le pilote Jean-Éric Vergne (1990-) est originaire de cette ville. Carmen Vildez (1884-1977), chanteuse lyrique. Le footballeur Pierre Ducrocq est né à Pontoise. Le rappeur Youssoupha (1979-) est originaire de la cité des Larris. Le footballeur franco-malien et international malien, Senou Coulibaly (1994-) est né à Pontoise. Le footballeur franco-marocain et international marocain, Amine Harit (1997-) est né à Pontoise.
Noël Taillepied, Les antiquités et singularités de la ville de Pontoise, Pontoise / Paris, Alexandre Seyès / H. Champion, 1587 (réimpression 1876), 141 p. (lire en ligne) Henri Le Charpentier, La Ligue à Pontoise et dans le Vexin français, Pontoise, Alexandre Seyès, 1878, 377 p. (lire en ligne) Lucien Brécy (le chanoine), La Belle église Saint-Maclou de Pontoise, 1956, 39 p. Pierre-Ernest Seré-Depoin, Trois catastrophes à Pontoise en 1788-1789 : la grêle, le grand hiver, la disette: Étude d'administration et de mœurs sous l'ancien régime, Pontoise, Alexandre Seyès, 1880, 295 p. Georges Duclos, Le Pontoise féodal et souterrain, Pontoise, Imprimerie Pâris, 1952 / réédition 1968, 237 p. Jean-Marcel Champion, Alain Demurger, Jacques Dupâquier, Gilles Gaucher, James Gressier, Jean Hecquet et Jean Lecuir, Pontoise, 2000 ans d'histoire, Pontoise, Imprimerie Pâris, 1973, 195 p. François Dousset, La commune de Pontoise au Moyen Âge : étude administrative et économique de 1188 au début du XVIe siècle, Pontoise, Mairie de Pontoise / Société Historique et Archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, 1989, 189 p. (ISBN 2-907912-00-3) Richard Robson Brettell (trad. de l'anglais), Pissarro et Pontoise : un peintre et son paysage, Saint-Ouen-l'Aumône, Éditions du Valhermeil, 1991, 226 p. (ISBN 2-905684-34-8) Jacques Dupâquier, Pontoise et les Pontoisiens en 1781, Pontoise, Ville de Pontoise / Société Historique et Archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, 1992, 190 p. (ISBN 2-907912-06-2) Marie-Paule Defossez, Revenir à Pontoise, 1997, 150 p. Bernard Hirsch, L’invention d’une ville nouvelle : Cergy-Pontoise, 1965-1975, récit d'un témoin, Paris, Presses de l'École Nationale des Ponts et Chaussées, 1990, 293 p. (ISBN 2-85978-140-4) Eugène Lefèvre-Pontalis, « Église de Saint-Maclou », Congrès archéologique de France : Séances générales tenues à Paris en 1919, Paris, A. Picard / Levé, no 82, 1920, p. 76-99 (lire en ligne, consulté le 6 octobre 2012) Louis Lefèvre, « L'hôpital général de Pontoise dit des Enfermés », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie A. Pâris, vol. 41, 1932, p. 102-174 (ISSN 1148-8107, lire en ligne) Bernard Poirier, M. Duvivier et Bruno Sternberger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Pontoise », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, octobre 1999, p. 709-739 (ISBN 2-84234-056-6) Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin : (périodique annuel / bisannuel), Pontoise, 1879-à ce jour (ISSN 1148-8107, lire en ligne) Cathédrale Saint-Maclou de Pontoise Église Notre-Dame de Pontoise Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise Vexin français Liste des communes du Val-d'Oise Foire Saint-Martin (Pontoise) Diocèse de Pontoise Ressources relatives à la géographie : Digital Atlas of the Roman Empire Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative à la santé : Fichier national des établissements sanitaires et sociaux Ressource relative à plusieurs domaines : Annuaire du service public français Ressource relative à la musique : MusicBrainz Ressource relative aux organisations : SIREN Site de la mairie Site de l'office de tourisme