La société du jour: Copr res la fayette iv

Découvrez une entreprise par jour et quelques astuces au travers de nos différents articles

Copr res la fayette iv

La société Copr res la fayette iv a été créée le 25/12/1994, soit 29 années d'activités. Le siège de la société est basé à ANGERS 49000. Elle possède un seul établissement. Son dernier bilan date du 4/5/2017. Copr res la fayette iv a choisi le statut juridique Syndicat de copropriété. Elle opère sous le code NAF 81.10Z et évolue dans le secteur .

Syndicat de copropriété, c'est quoi ?

Le syndicat de copropriété est la collectivité regroupant les copropriétaires de l'immeuble. Il est chargé de la gestion et de la conservation des parties communes d'une copropriété dans un immeuble. Sa mission est aussi plus étendue.

Droit français

Le syndicat des copropriétaires est une personne morale de droit privé. Il peut agir en justice et souscrire des contrats. Ses décisions sont prises en assemblée générale réunie sur convocation du syndic de copropriété. Le syndic de copropriété est la personne morale ou physique chargée de la représentation du syndicat des copropriétaires et de l'administration des parties communes d'une copropriété. Le syndicat de copropriété est une collectivité qui regroupe tous les copropriétaires d’un immeuble. Quand une personne achète un bien immobilier dans une copropriété (c'est-à-dire quand elle signe le contrat de vente), elle devient automatiquement l'un des membres de droit du syndicat. Ce syndicat a un objet très précis, défini par la loi : la conservation de l'immeuble et l'administration des parties communes. Ces dernières ne lui appartiennent pas, puisqu'elles sont, suivant les cas, la propriété indivise de l'ensemble des copropriétaires ou de certains d'entre eux, mais c'est le syndicat, en tant que tel, qui doit les administrer, les entretenir, etc., ce qui se fait par l'intermédiaire du syndic de copropriété. Constitué d'une petite équipe de copropriétaires désignée par l'assemblée générale, le conseil syndical a pour mission d'assister le syndic de copropriété et de contrôler sa gestion. Il est appelé aussi à faire le lien entre le syndic de copropriété et la copropriété. Toutes les copropriétés en sont normalement pourvues, à moins que la majorité des copropriétaires représentant au moins les 2/3 des tantièmes du syndicat s'y soit opposée en assemblée générale. C'est un organe de contrôle, d'assistance et de consultation du syndic de copropriété. Les fonctions de membre du conseil syndical sont bénévoles. Elles ne donnent donc lieu à aucune rémunération. Si les membres du conseil syndical font l'avance de frais pour exercer leur mission (adhésion à la chambre CSPC, à l'ARC-UNARC ou à l'ANCC par exemple), ils seront remboursés sur le budget de la copropriété. Les dépenses nécessitées par l'exécution de la mission du conseil syndical constituent des dépenses courantes d'administration. Elles sont supportées par le syndicat et réglées par le syndic. Afin de mener à bien les missions que lui confère la loi, le syndicat des copropriétaires possède la personnalité morale. Cela signifie qu'il constitue une entité distincte des copropriétaires, qu'il représente des intérêts collectifs qui dépassent les intérêts individuels des copropriétaires. Il est ainsi qualifié pour agir en justice si les intérêts de la copropriété sont menacés ou malmenés. Il peut, par exemple, acquérir des parties privatives ou vendre des parties communes pour le compte des copropriétaires. À l'inverse, il pourra également être poursuivi s'il a causé un préjudice à un copropriétaire ou à un tiers. Le syndicat peut voir sa responsabilité engagée par l'action directe d'un copropriétaire ou l'action oblique du titulaire d'un bail (bail commercial, professionnel, habitation) devant les tribunaux pour les dommages causés par le défaut d'entretien d'un ouvrage ou d'un équipement. Ce défaut peut, par exemple, être dû à la négligence ou la faute d'un gardien ou d'un employé de la copropriété, à un vice de construction ou à une malfaçon dans des travaux. Il incombe au syndicat de rechercher et mettre en jeu la responsabilité du constructeur ou des entreprises.

Droit québécois

En droit québécois, le syndicat des copropriétaires est décrit dans plusieurs dispositions du Code civil du Québec, dont les art. 306, 358, 1069, 1075, 1790, 2724, 2729, 2800 et 3061 C.c.Q. En vertu de l'art. 2724 C.c.Q. notamment, le syndicat des copropriétaires bénéficie d'une hypothèque légale.

Annexes

Syndic de copropriété Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU ou loi Gayssot) Glossaire de l'immobilier Portail du droit

81.10Z -

Le code APE - NAF 8110Z est unique et implique des droits et obligations spécifiques. A ce jour, 157770 sociétés sont immatriculées sous ce code qui concerne 54395 salariés, essentiellement des syndics.

Nous avons épluché l'ensemble des textes de loi pour que vous sachiez tout sur le code APE - NAF 8110Z : obligations, organismes de formations, conventions collectives applicables et assurances obligatoires.

La définition précise de l'activité du code APE ou NAF 8110Z est : "Activités combinées de soutien lié aux bâtiments".Lors de la création d'une société, le centre des formalités des entreprises recueille des informations sur votre société, qui seront transmises à l'INSEE. C'est cet organe de classification qui vous attribuera un des 732 codes présents dans les branches professionnelles en France. Même s'il n'y a pas de liste de métiers définie pour l'activité Activités combinées de soutien lié aux bâtiments, les salariés de cette branche sont essentiellement des syndics.

La convention collective nationale (CCN) applicable est choisie par l'employeur en fonction de l'activité principale de l'entreprise. Un même code NAF peut regrouper plusieurs conventions, donc cet identifiant n'est pas toujours suffisant pour déterminer la convention collective applicable.

L'Identifiant de la Convention Collective (IDCC) d'une société est défini par le Ministère du travail, et permet de numéroter l'ensemble des conventions collectives applicables (il y en plus de 1000).

Ce sont les conventions collectives et les accords branche qui vont déterminer les principaux droits et devoirs du salarié : grille de salaire, préavis en cas de démission, congés payés, période d'essai, horaire de travail, couverture et prix de la mutuelle entreprise.

Pour être en conformité avec la loi, vous avez besoin de votre convention collective à jour en permanence des derniers accords, même non étendus. Voir les offres pour les conventions collectives du code NAF 8110Z.

Le code APE n'est pas vraiment utile pour un chef d'entreprise car il n'a pas de valeur juridique et sert surtout pour les statistiques de l'INSEE. Cependant, il peut être utile pour savoir vers quelle convention collective se tourner. Par ailleurs, dans le cas d'appels d'offres par exemple, les prestataires sont parfois écartés si leur code APE ne correspond pas à celui exigé par le client final.

Si vous exercez plusieurs activités, le code NAF doit être celui de l'activité principale. Si le code NAF qui vous a été attribuée par l'INSEE n'est pas correct, vous pouvez envoyer un courrier de réclamation en y joignant ce formulaire de modification de code NAF 8110Z. Si votre activité a changé, vous pouvez contacter votre CFE.

Si vous êtes une société en création et que vous ne savez pas quel code NAF vous sera attribuée ou si vous n'êtes pas certain d'être bien enregistré; nous vous recommandons d'identifier une société qui a une activité similaire et regarder sous quel code NAF elle est enregistrée.

L'INSEE vous délivrera votre code d’activité en fonction de l'activité principale de votre entreprise. Vous retrouverez ensuite ce numéro sur :

Si vous démarrez l'activité de "Activités combinées de soutien lié aux bâtiments", vous devez choisir la forme juridique de votre société parmi de nombreuses possibilités.

Vous devrez également définir un objet social et faire les démarches auprès de votre CFE pour obtenir un numéro de SIREN.

L'activité 8110Z est une activité commerciale ou artisanale, par conséquent le régime est celui des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC), avec les conséquences suivantes :

Les centres de formalités des entreprises (CFE) sont des guichets uniques permettant aux entreprises de souscrire en un même lieu à l'ensemble des formalités nécessaires au démarrage de leur activité.

L'entreprise sera rattachée à l'activité artisanale si l'entreprise compte moins de 10 salariés et commerciale si l'entreprise compte 10 salariés et plus. Par ailleurs, les artisans-commerçants et les artisans qui créent une société commerciale doivent être inscrits simultanément au Registre du commerce et des sociétés et au Répertoire des métiers. 

Les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) ont été remplacés par les opérateurs de compétences (OPCO) le 1er avril 2019. Les OPCO sont donc désormais les organismes chargés de collecter les fonds de la formation continue professionnelle et de financer la formation des salariés.

Ci-après les OPCO pour l'organisme de formation relevant de l'activité Activités combinées de soutien lié aux bâtiments :

En 2019 et 2020, les entreprises devaient verser à un Opérateur de compétence (OPCO) la taxe d’apprentissage due à une date fixée par décret. Depuis début 2021, la contribution est faite via l’URSSAF sur le même modèle que les cotisations de la sécurité sociale.

En tant que micro-entrepreneur de l’activité “Activités combinées de soutien lié aux bâtiments”, les mêmes règles s’appliquent pour vous que les autres types de société. Vous avez obligatoirement un code NAF qui vous a été attribué en même temps que votre SIREN et vous avez la possibilité de le changer si il ne correspond plus à votre activité.

En revanche, la convention collective ne s’applique pas pour vous puisque vous êtes travailleur non salarié.

Les établissements de Copr res la fayette iv

L'établissement principal est domicilié au rue evain, Angers 49000. La société possède aucun autre établissement. 0 établissement(s) ont été fermé depuis la création de la société.

Les concurrents

À Angers 49000, il y a 430 autres entreprises qui ont la même activité.

Qu'est ce qu'il y a savoir sur Angers ?

Angers (prononcer /ɑ̃.ʒe/ ) est une commune de l'Ouest de la France située au bord de la Maine, préfecture du département de Maine-et-Loire dans la région Pays de la Loire. Située sur l'axe Paris-Nantes, Angers est en 2020 la deuxième commune la plus peuplée de la région Pays de la Loire et la dix-huitième de France avec 155 876 habitants. En 2020, la ville est la commune-centre d'une aire d'attraction peuplée de 437 560 habitants, d'une unité urbaine de 245 518 habitants et d’une intercommunalité, la communauté urbaine Angers Loire Métropole (ALM), comprenant 29 communes et 303 535 habitants. Capitale historique et place forte de l’Anjou, berceau de la dynastie des Plantagenêts, Angers est l'un des centres intellectuels de l'Europe au XVe siècle sous le règne du « bon roi René ». La ville doit son développement comme son rôle politique et historique à sa position au niveau d’un point de convergence géologique, hydrographique, culturel et stratégique. Angers se distingue aujourd'hui par sa spécialisation dans le domaine du végétal : Végépolys Valley est le premier pôle de compétitivité horticole européen, la ville abrite également le siège de l'office communautaire des variétés végétales. Ses universités, ses musées et son activité culturelle en font également un centre culturel important qui comprend notamment le château des ducs d'Anjou, construit au XIIIe siècle, qui abrite la tenture de l'Apocalypse, le plus grand ensemble de tapisseries médiévales connu. La richesse de son patrimoine lui vaut le label de ville d'art et d'histoire.

Géographie

La ville est située dans l'ouest de la France, au centre du département de Maine-et-Loire, sur l'axe de communication entre le bassin parisien et l'océan Atlantique. Elle est située dans l'ouest du Val de Loire, aux confluences de la Mayenne, du Loir et de la Sarthe. Ces deux dernières rivières forment ensuite la Maine — au niveau de l'île Saint-Aubin, au nord de la ville — qui se dirige au sud-ouest vers la Loire. C'est sur ces confluences de trois rivières et d'un fleuve, carrefour naturel des voies de communication sur un promontoire rocheux, que les premiers hommes à l'origine d'Angers se sont implantés. Elle est distante de 44 km de Saumur et de 52 km de Cholet, sous-préfectures du département ; de 80 km de Nantes, capitale régionale ; de 81 km du Mans, de 94 km de Tours et de 110 km de Rennes, communes de plus de 100 000 habitants des départements voisins ; enfin, de 265 km de Paris (distances orthodromiques). Angers se trouve à 123 km de l'océan Atlantique (Pornic en Pays de la Loire) et 143 km de la Manche (Courtils en Normandie). Avec une superficie de 4 270 hectares, Angers est moins étendue que les préfectures voisines que sont Nantes, Le Mans ou encore La Roche-sur-Yon mais davantage que Tours et a une surface équivalente à celle de Poitiers. Le Maine-et-Loire, dont Angers est le chef-lieu, est situé pour moitié sur le Massif armoricain et sur le Bassin parisien. Située au centre du département, Angers est à la jonction de ces deux grandes structures géologiques, granitique à l'ouest et sédimentaire à l'est. La commune est principalement assise sur le Massif armoricain. Les terrains issus de ce dernier trouvent leurs origines du Briovérien supérieur et du Cambrien basal (600 millions d'années) au Carbonifère supérieur (280 millions d'années), par ailleurs le bassin houiller de Basse Loire est situé à moins de 20 km des limites communales. Angers et le quart nord-ouest du département ont un sous-sol principalement composé de gisements de fer, d’ardoises et de calcaire pour la chaux. De nombreux gisements ardoisiers se trouvaient sur la commune (dans le quartier du Grand-Pigeon notamment) ou à proximité, principalement à Trélazé. Les terrains ferrifères disparaissent au nord de la commune ; dans le quartier de Monplaisir se trouvait l’ancienne mine de fer du Pavillon. Quant aux calcaires du Massif armoricain, ils se concentrent en lentilles carbonatées que l’on retrouve par exemple dans le synclinal d’Angers. Ils sont exploités pour la fabrication de chaux — cette pratique se retrouve par exemple dans la toponymie (rue des fours-à-chaux). L'altitude de la commune est faible et varie entre 12 et 64 mètres, ce qui ne l'empêche pas d'être particulièrement vallonnée : la rive gauche est entaillée par plusieurs vallons perpendiculaires à la Maine — d'où s'écoulent parfois des ruisseaux — alors que la rive droite voit s'élever notamment le plateau des Capucins et le bois de Mollières, point culminant de la commune. Beaucoup d'escarpements schisteux apparaissent également dont le promontoire à partir duquel s'est développée la ville et qui domine la rivière sur plus d'une vingtaine de mètres. À l'inverse, d'autres quartiers sont à une très faible altitude au bord de la rivière et de ce fait vulnérables aux inondations (notamment les quartiers Saint-Serge, Thiers-Boisnet et de la Doutre). La Mayenne et la Sarthe, qui se rejoignent près de l'île Saint-Aubin, forment la Maine qui traverse la ville et rejoint la Loire à quelques kilomètres, à la Pointe. Au niveau du centre-ville, elle s’écoule dans un étroit goulet d’étranglement lié d’une part au verrou rocheux à hauteur du château et d’autre part à l’artificialisation des berges et la construction de nombreux quais, principalement au XIXe siècle. À l’aval, la rivière retrouve un champ d’expansion des crues (prairies de la Baumette et lac de Maine) où un seuil a été érigé en 1994 afin de favoriser la navigation fluviale. Son débit moyen inter-annuel est d’environ 130 m3/s. Au nord de la commune, vers l'amont, se rencontrent les basses vallées angevines principalement composées de prairies inondables. Constituées le long de la Mayenne, de la Sarthe et du Loir, elles représentent une « zone naturelle d’expansion » d’une superficie d’une centaine de km2. Leur capacité de stockage est d’environ 370 millions de mètres cubes, soit un minimum d’une quinzaine de jours d’écrêtement au niveau d’Angers. Le secteur « Angers – val d’Authion – Saumur » a été identifié comme un territoire à risque important (TRI) : la commune est en effet concernée par un important risque d’inondation. Compte tenu de la faible longueur de son cours (11 km), la Maine est fortement dépendante de l’activité hydrologique de la Loire et de ses affluents et elle connait schématiquement trois types de crues : elles peuvent tout d’abord être dues à la crue d’une ou plusieurs des trois rivières en amont ; elles peuvent s’expliquer également par une crue de la Loire : celle-ci limite l’écoulement de la Maine et provoque un stockage des eaux en amont ; un scénario de crue extrême prévoit la concomitance entre deux crues centennales — crue de la Loire à Saumur et crue de la Maine à Angers —, mais la période de retour d’un tel événement est évaluée à plus de 500 ans.La cote d'alerte de la Maine est fixée à 4 m. La crue de janvier 2000 a été retenue comme représentative d’une crue fréquente (crue décennale) sur Angers et les basses vallées (hauteur d'eau de 6 m au pont de la Basse-Chaîne). Lors de la crue centennale de 1995 — les trois rivières amont étaient alors elles-mêmes en crue —, la Maine a atteint une hauteur historique de 6,66 m le 31 janvier 1995 au repère de crue situé au pont de Verdun et un débit de 1 800 m3/s. Angers est également parcourue par le Brionneau, qui prend sa source dans le Haut-Anjou et dont les eaux sont retenues dans l'étang Saint-Nicolas à l'ouest de la ville. Ce dernier serpente dans un vallon, séparant deux quartiers de la ville. D'autres ruisseaux s'écoulent depuis les vallons de la rive gauche, perpendiculaires à la Maine, comme celui du vallon du ruisseau, au sud. L'ancien ruisseau de l'Esvière — qui empruntait le vallon entre le promontoire du même nom et celui du château, actuel boulevard du Roi-René — a quant à lui disparu sous l'effet de l'urbanisation. Un lac artificiel, le lac de Maine, vaste plan d'eau de 110 hectares, fut aménagé à la fin des années 1970 en parc de loisirs ouvert à tous. Situé sur les anciennes prairies inondables d'Aloyau, le lac provient de l'exploitation par la ville de carrières de grave. Le climat angevin est un climat de transition où s'exercent l'influence océanique de la façade atlantique et l'influence plus continentale de la Touraine, « assez éloigné des côtes de l'Océan pour échapper à l'action brûlante des vents de mer, et assez rapproché pour ressentir l'influence d'un climat marin doux, tempéré, humide, un peu brumeux ». Il est plus précisément à la conjonction de trois nuances du climat océanique présents en Maine-et-Loire : climat océanique humide, climat océanique à été sec et climat océanique à nuance continentale. La Loire favorise des flux océaniques doux (en hiver comme en été), diminuant l'amplitude thermique annuelle ; par leur altitude, les Mauges au sud-ouest du département retiennent une partie des précipitations des flux dominants, asséchant relativement le climat angevin. Celui-ci est par conséquent doux (avec 14 °C d'amplitude annuelle moyenne), moyennement humide (mais les hivers sont généralement pluvieux), les gelées y sont rares (température minimale moyenne positive les mois d'hiver) et les étés ensoleillés. Selon les prévisionnistes de Météo-France, Angers connait très peu de phénomènes extrêmes (orages, chutes de neige, tempêtes, vents violents). C'est la douceur angevine popularisée par Joachim du Bellay. Angers bénéficie en moyenne de 194 jours d'ensoleillement dont 60 de fort ensoleillement. Les précipitations annuelles, inférieures à la moyenne nationale, sont réparties sur 111 jours. Si les jours de brouillard y sont fréquents, l'enneigement y est très faible. Les records de température sont établis respectivement à –15,4 °C et +40,7 °C. La station, ouverte le 1er janvier 1921, est située sur le territoire de la commune voisine de Beaucouzé, à 50 m d'altitude. Angers se situe à la périphérie immédiate du site du Val de Loire classé au patrimoine mondial de l’Unesco. La ville est également l'une des deux villes-portes du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine avec Tours en Indre-et-Loire. Au nord, les « basses vallées angevines », grande zone humide de plus de 6 000 hectares, intègrent la ville au niveau de l’île Saint-Aubin. Celles-ci correspondent aux rives de la Mayenne, de la Sarthe et du Loir, principalement constituées de prairies inondables, bocages, mares et haies ; elles sont un refuge de biodiversité important, notamment ornithologique et abrite une flore et une faune typiques du Val de Loire. Les « basses vallées angevines » sont protégées par le réseau Natura 2000 (au titre des directives « Habitat » et « Oiseaux ») et relèvent également de la Convention de Ramsar, traité international visant à la conservation et à l’utilisation durable des zones humides. L’île angevine de Saint-Aubin représente près de 10 % de ces espaces naturels et environ 15 % du territoire de la ville, c’est dire son importance, tant au niveau de la biodiversité locale que des espaces naturels communaux. Elle joue de surcroît le rôle important « d’écrêteur de crues » pour la ville située à son aval immédiat. Aujourd’hui, l’île, inhabitée, est toujours exploitée par les agriculteurs et offre un cadre naturel apprécié des habitants. L’ancienne ferme a été rénovée par la municipalité qui y a installé la Maison de l’île, lieu de détente et d’exposition. La commune compte deux sites naturels classés, le site de la Baumette depuis 1935 ainsi que l’étang Saint-Nicolas et ses rives depuis 1936. La ville est également incluse dans un troisième site naturel classé, celui de la confluence Maine-Loire et des coteaux angevins, depuis 2010. Ce dernier site est marqué par l’entrée de la Loire au cœur du Massif armoricain et ses roches schisteuses, résistantes. Le lit du fleuve se resserre autour d’une rive droite escarpée et d’une rive gauche offrant de grandes zones inondables. Les paysages traditionnels y sont néanmoins toujours présents : îles, bancs de sable, prairies inondables et autres promontoires rocheux. À Angers, le site du rocher de la Baumette — où se trouve l’ancien couvent du même nom — est à l’origine du classement.

Urbanisme

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (73 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (49,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17,7 %), prairies (15,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,8 %), eaux continentales (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), forêts (1,4 %), cultures permanentes (0,1 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). En 2018, le nombre total de logements à Angers était de 89 937, alors qu'il était de 85 829 en 2013. Parmi ces logements, 90,8 % étaient des résidences principales, 2,7 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 21,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 76,6 % des appartements. La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 32,4 %, stable par rapport à 2013 (31,9 %). La part de logements HLM loués vides était de 28,6 % contre 30,1 % en 2013, leur nombre étant néanmoins en légère hausse (23 392 contre 23 319). En 2018, 14,6 % des résidences principales ont été construites avant 1946, 57,4 % de 1946 à 1990 et 28,1 % depuis 1991. Le développement de la ville s'appuie sur plusieurs grands projets urbains, parmi lesquels : Réhabilitation des berges de la MaineLa mise en service du contournement autoroutier permet à la ville d’envisager de réaffecter la voie rapide Paris-Nantes qui traverse la ville au bord de la Maine. Ancienne rocade en milieu urbain datant des années 1970, les voies sur berges étaient considérées comme une séparation entre les deux rives, empêchant notamment les habitants de profiter de la rivière. Le premier projet de réhabilitation des berges de Maine (« Rives nouvelles ») a été abandonné à la suite du changement de municipalité en 2014. Un second (« Angers cœur de Maine »), plus modeste, est cependant mis en place dans cette optique. Il prévoit notamment la couverture d’une partie des voies sur berges, du château à la place Molière, avec aménagement d’espaces publics et paysagers et passage du tramway. Le deuxième volet concerne le quartier Saint-Serge. Les anciens locaux EDF et de la gare de marchandises seront réaffectés : y seront notamment construits la nouvelle patinoire, des logements, la chambre des métiers et son centre de formation. Deuxième ligne de tramwayEn octobre 2014, les élus communautaires ont approuvé le projet de deuxième ligne de tramway pour relier les quartiers de Belle-Beille, à l’ouest et de Monplaisir, à l’est. D’une longueur de 9,9 km, la ligne partirait du campus pour rejoindre le cœur du quartier de Monplaisir (place de l’Europe) via la Doutre. Le tramway desservirait notamment les berges de la Maine, le campus de Saint-Serge et le Centre des Congrès. Près de 50 000 habitants habitent à moins de 500 m des stations projetées. En sus, un tronçon de quelques centaines de mètres entre l'actuelle station Foch-Maison bleue et la place Mendès-France permettra de faire fonctionner une troisième ligne en maillage, entre Belle-Beille et La Roseraie. Les travaux ont démarré à l'été 2017 avec la mise en chantier du pont des Arts et Métiers, les travaux de voirie ayant démarré quant à eux à l'été 2018 pour une mise en service attendue au plus tôt fin 2022. Gare+, quartier d’affaires à proximité de la gare d'Angers Saint-LaudCe projet vise à construire 70 000 m2 de bureaux et 25 000 m2 de logements et commerces sur les anciennes friches industrielles situées au sud de la gare TGV ainsi que les anciens entrepôts de la Sernam. Près de 3 000 emplois sont attendus sur le site au cours des prochaines années. Coulée verte et « végétalisation » du centre-villeLa municipalité souhaite « végétaliser » le centre-ville en créant notamment une coulée verte de l’avenue Jeanne d’Arc ainsi rénovée, à la promenade du Bout du Monde réaménagée près du château. Elle devrait passer par la place Lorraine, l’ancien hôtel de ville, la place du Ralliement d’ici 2019. Angers est concernée par six risques majeurs : l'inondation, la sismicité (risque faible), le retrait-gonflement des argiles (risque faible), le transport de matières dangereuses, l’effondrement minier et la tempête.

Toponymie

Le nom de la cité est mentionné pour la première fois vers l'an 150 par Ptolémée dans son ouvrage Géographie sous la forme Ιουλιομάγος (Juliomagus),. On retrouve la mention sur la table de Peutinger, sous la dénomination de Iuliomago. Il s'agit d'un composé de l'anthroponyme latin Julius, vraisemblablement une dédicace à un ou plusieurs membres illustres de la famille des Julio-Claudiens, et du mot celtique magos « champ, plaine, campagne ». Les dédicaces des civitas à des empereurs romains étaient fréquentes en Gaule romaine, cependant ces toponymes conservent généralement un élément gaulois. On note également l'attestation plus tardive de Juliomagus Andecavorum. Le déterminant Andecavorum fait référence au peuple gaulois des Andecavii (Andécaves ou Andégaves), dont elle était la cité. L'appellation actuelle de la ville est issue de l'élément Andecavorum. Vers l'an 400, la forme primitive Juliomagus s'efface ; elle est remplacée par le terme civitas, comme en témoigne le nom civitas Andecavorum. Ce changement est attesté dès le IVe siècle ailleurs en Gaule au Bas-Empire — par exemple, les villes de Paris ou Tours ont adopté le nom du peuple dont elles étaient la capitale. Par la suite, Angers est mentionnée au Moyen Âge sous les formes Andecava civitas au VIe siècle et Andecavis en 769, Andegavis entre 861 et 882, Angieus en 1127, Angeus en 1205 et Angiers dès le XIIe siècle. L'évolution phonétique Andecavis en Angeus est régulière et s'explique par la lénition des consonnes intervocaliques, le -s final étant celui de l'ablatif-locatif latin. L'évolution est comparable à Pictavis en Peiteus aux XIe et XIIe siècles donnant Poitiers. La variante Andecavum explique le nom d'Anjou (in Andecavo en 797). Celui d'angevin est un dérivé semi-savant. Le doublet Angers, Anjou est également comparable à celui de Poitiers, Poitou. Plusieurs surnoms ont servi à désigner Angers : « Ville des fleurs »La renommée de ses pépinières horticoles mais aussi de son vignoble ou de son arboriculture lui vaut ce surnom dès le Second Empire, tel que le rapportait Élisée Reclus. Sa spécialisation dans le domaine du végétal et le soin accordé à ses espaces verts remettent ce surnom au goût du jour. « Angers la Blanche » ou « Angers la Noire »Angers fut pendant longtemps une ville noire, en référence à ses maisons en schiste (ou à pans de bois pour les plus anciennes) et ses toits en ardoise, avant de devenir une ville blanche au XIXe siècle lorsque furent édifiés un certain nombre de bâtiments en tuffeau. « Athènes de l’Ouest »La paternité de ce surnom flatteur revient à Charles-Émile Freppel, évêque d'Angers, lors de l'inauguration de l'Université catholique de l'Ouest en 1875. Il se trouve en effet que de nombreuses écoles ouvrent à la fin du XIXe siècle (écoles des Beaux-Arts, de notariat ou d'agriculture) ; plusieurs sociétés savantes sont créées ; le Grand-Cercle accueille de grands compositeurs comme Camille Saint-Saëns , etc..

Histoire

La plus ancienne trace d’occupation humaine remonte à 400 000 ans av. J.-C. et a été découverte rue de Frémur. Le site est occupé dès le néolithique (vers 4500-3000 av. J.-C.) puisqu’un cairn a été retrouvé sur le site actuel du château. Des rejets de silex ont également été découverts sous le logis royal.

Politique et administration

La ville était le siège de la communauté d’agglomération du Grand Angers, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre, créée fin 2000 et qui prenait la suite du district urbain d'Angers créé en 1968 et qui, à l'origine, regroupait 10 communes rejointes progressivement par 20 autres. En 2005, l'intercommunalité intègre Soulaines-sur-Aubance et les Ponts-de-Cé et, tout en demeurant une communauté d'agglomération, prend le nom d'Angers Loire Métropole. En 2015, afin de bénéficier d'une plus importante dotation globale de fonctionnement, la communauté d'agglomération devient une communauté urbaine tout en gardant la même dénomination. Ce n'est pas une métropole au sens légal, comme son nom le laisse penser. Cette intercommunalité exerce de très nombreuses compétences qui lui ont été transférées par les 29 communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales et s'étend sur 55 000 hectares, principalement au nord de la Loire. Angers a une longue tradition de centre droit. En effet, il faut attendre 1945 pour qu'un maire de gauche Auguste Allonneau soit élu pour la première fois. De 1947 à 1977, ses successeurs sont soit gaullistes (Victor Chatenay, RPF, Jacques Millot UNR), soit de centre-droit (Jean Turc, CNIP), mais les choses changent à partir de 1977. Quelques mois avant les élections municipales, François Mitterrand a cette phrase devenue célèbre : « Quand Angers deviendra socialiste, c'est toute la France qui passera à gauche », et, la même année, Jean Monnier, syndicaliste CFDT, est élu à la mairie à la suite des dissensions de la droite locale. Cependant, le retour au centre s'opère dès les élections de 1983 lorsque Jean Monnier écarte les communistes, ouverture au centre amplifiée lors des élections de 1989. Aux élections de 1995, la liste d'union de la gauche modérée et du centre remporte à nouveau nettement les élections. Si le résultat des élections de 2008 est des plus serrés entre le maire sortant Jean-Claude Antonini et son opposant Christophe Béchu, une liste de droite redevient majoritaire pour la première fois depuis 1977 lors des élections de 2014. Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste LR-LREM-MoDem-Agir-MR menée par le maire sortant Christophe Béchu remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 17 267 voix (57,82 %, 49 conseillers municipaux élus dont 35 conseillers communautaires), devançant très largement les autres listes. Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 65,75 % des électeurs se sont abstenus. Au niveau législatif, cette tendance se vérifie également : jusqu'en 2007, les députés de la Cinquième République appartiennent tous à la mouvance gaulliste — de Victor Chatenay (1951-1959) et Jean Foyer (1959-1988) à Roselyne Bachelot (1988-2012) — ou au centre-droit à partir des années 1980,. La sociologie électorale montre, lors des élections nationales, un rééquilibrage vers le centre gauche : au second tour des élections présidentielles, Nicolas Sarkozy accuse un retard de six points par rapport à la moyenne nationale, tant aux élections de 2007 (47,2 % des voix) qu’aux élections de 2012 (42,8 %). Marc Goua (PS) devient quant à lui en 2007 le premier député socialiste élu au scrutin majoritaire de Maine-et-Loire, rejoint aux élections de 2012 par deux autres députés socialistes angevins. De manière générale, le FN obtient à Angers des scores nettement plus faibles que dans le reste de la France, à l’inverse du centre et du centre-droit. Ainsi lors de l’élection présidentielle de 2002, Jean-Marie Le Pen obtient un score inférieur de 7,2 points au premier tour et de 8 points au second par rapport à la moyenne nationale, permettant ainsi à Jacques Chirac d’obtenir 90,2 % des voix. De même lors de l’élection présidentielle de 2007 où le score du candidat FN est inférieur de 5,2 points à la moyenne nationale. À l’inverse, le candidat MoDem François Bayrou obtient 23,5 % des voix, soit un score de 5 points supérieur à la moyenne nationale. En 2012, Marine Le Pen n’obtient que 10 % des voix, 8 points de moins qu’au niveau national. Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 000 et 149 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 55. La commune annonce un budget de 290 000 000 € dont 203 400 000 € de fonctionnement et 61 200 000 € d'investissement, ainsi qu'une épargne brute de 27 700 000 € (en hausse de 25% par rapport à 2021), un budget en diminution de 2.99 % par rapport à 2014. Les recettes de fonctionnement sont financées à hauteur de 61 % par les impôts locaux, de 29 % par la dotation globale de fonctionnement. En 2014, ces indicateurs étaient pour les communes de la même strate, de plus de 100 000 habitants, respectivement de 41,56 %, 7,29 % et 18,50 %. En 2021, le taux d’imposition de la taxe foncière fixé par la commune est de 56,42 %, à comparer avec la moyenne départementale de 44,34 % et la moyenne nationale de 39,43 % ; la ville détient ainsi le taux le plus élevé du pays. La dette cumulée de la commune s’élève en 2022 à 158 000 000 €, soit 994 € par habitant, en hausse de 38.59% depuis 2015. La dette moyenne par habitant de la strate des communes de plus de 100 000 habitants s'élevait en 2014 à 1 176 €. Dès 1992, la ville est présente avec la délégation française au sommet sur la Terre de Rio de Janeiro, et adopte, la même année, une charte pour l’écologie urbaine. En 1996, elle adhère également à la charte d'Aalborg des villes européennes durables. La ville lance sa démarche d'Agenda 21 en 1998 et le premier agenda 21 local est élaboré en 2000. En 2010, la ville organise les Rencontres nationales du développement durable « RIO+10, l’après Johannesburg ». La commune a mis en place plusieurs initiatives en vue de sauvegarder la biodiversité locale : avec le concours de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), plusieurs dizaines de nichoirs ont été installés dans les parcs et jardins de la commune ; de même, cinq ruches ont été implantées dans le parc de l’arboretum afin de favoriser la pollinisation ; un objectif de suppression totale de l'usage des pesticides a été décidé à moyen terme, la ville utilisant alors des techniques alternatives (désherbage thermique, pièges à phéromones, recours aux insectes comme prédateurs naturels, etc.). La municipalité encourage également la « végétalisation » de l'espace public : les « mini-jardins » sont de petits espaces prélevés sur les trottoirs où les habitants volontaires entretiennent un espace fleuri ou potager, avec les plantes et les conseils des jardiniers municipaux. En 2014, Angers est la ville de France la plus verte selon un palmarès établi par l'Union nationale des entrepreneurs du paysage (UNEP), avec notamment 5 % de son budget consacré aux espaces naturels, parcs et jardins et grâce à la plus grande concentration d’espaces verts de France. Depuis 2013, la problématique de la pollution lumineuse fait l'objet d'une réglementation stricte : l’éclairage des magasins est majoritairement éteint avant 23 h, les façades des bâtiments le sont au plus tard à 1 h du matin et les bureaux une heure après la fin de l’activité,. En matière de traitement des déchets, l’agglomération angevine a décidé la fermeture de son usine d’incinération de la Roseraie afin de la remplacer par une toute nouvelle usine de traitement mécano-biologique, « Biopole », inaugurée en 2011. Cependant, les problèmes liés à la qualité du recyclage et aux conditions de travail ont conduit dès 2015 à sa fermeture. Dès lors, les ordures de la région angevine sont incinérées à Lasse ou enfouies à Changé, dans l’attente d’un nouveau projet communautaire. L’ancienne usine d’incinération a été transformée en 2011 en chaufferie à bois, « Biowatts », desservant 14 000 équivalents logements,. La ville d'Angers a instauré dès 1967 aux côtés de Haarlem et Osnabrück un système d'échange de jeunes. Ces « ambassadeurs » travaillent pendant une année pour le service relations internationales des villes partenaires. Ce système unique a valu en 2012 à la ville le label « Ville euro-citoyenne » décerné par le ministère des Affaires étrangères. En 2015, d'après la base de données officielle du ministère des Affaires étrangères, Angers est jumelée avec : Haarlem (Pays-Bas) depuis 1964 ; Osnabrück (Allemagne) depuis 1964 ; Wigan (Angleterre) depuis 1988 ; Yantai (Chine) depuis 2006.Angers a également signé des contrats de partenariat avec les communes de : Bamako (Mali) depuis 1974 ; Pise (Italie) depuis 1982 ; Södertälje (Suède) depuis 1999.Le site de la mairie cite également un partenariat avec : Toruń (Pologne) depuis 2011 ; Austin (Texas) (États-Unis) depuis 2012.

Équipements et services publics

En 2012, la ville compte 47 001 personnes scolarisées. L'enseignement privé tient une part importante dans le système éducatif angevin, de l'école maternelle à l'enseignement supérieur. L’activité hospitalière remonte à Angers au XIIe siècle lorsqu’Étienne de Marsai, sénéchal d’Henri II Plantagenêt fonde l’hôpital Saint-Jean. Un autre hôpital ouvre en 1615 pour les mendiants, les vagabonds et les personnes âgées alors qu’en 1745, dans l’actuel parc du Haras, est ouvert un troisième lieu d’accueil des malades. Ces trois structures seront transférées vers l’actuel site du centre hospitalier universitaire à partir de 1849. Le rôle de formation médicale du centre hospitalier universitaire d'Angers est très important. Il comprend en effet, outre la faculté de médecine : un institut de formation en soins infirmiers, un institut de formation d’aides-soignants, une école de puériculture, une école de sages-femmes, un institut de formation des cadres de santé, un institut de formation ambulancier et un centre d'enseignement de soins d’urgence. La ville compte également quatre cliniques : la clinique de l’Anjou dans le quartier Orgemont, la clinique Saint-Sauveur dans le quartier de l’Esvière et à Trélazé, le centre de la main et le village santé Angers Loire (issu du regroupement de plusieurs cliniques angevines). Il existe également un centre régional de lutte contre le cancer : le centre Paul Papin.

Population et société

Angers accueille chaque année plusieurs festivals et compagnies culturelles, dans des domaines aussi variés que le théâtre, le cinéma, la littérature, la bande dessinée ou les arts du cirque. La ville compte près de 36 000 licenciés et plus de 150 clubs dans une grande variété de disciplines : sports de combat (aïkido, Ju-jitsu, Vovinam Viet Vo Dao, kung fu, boxe anglaise ou encore savate), cyclisme, équitation, football américain, escrime, haltérophilie, hockey sur gazon et sur glace, parapente, water-polo, etc. À proximité de la ville se trouve un golf et un aérodrome (pour la pratique du vol à voile par exemple). Le sport traditionnel angevin demeure la boule de fort, jeu de boule traditionnel du Val de Loire. Malgré la désaffection qu'il subit depuis le début du XXe siècle, il reste néanmoins pratiqué dans la ville dans l'un des boulodromes ou cercles existants. La ville organise plusieurs compétitions sportives. En premier lieu, chaque année se déroule l’événement « Tout Angers bouge » visant à favoriser la pratique sportive. Plusieurs épreuves pour amateurs sont au programme (course de fond de 38 km, trails de 8 à 20 km, marche nordique de 14 km, courses de jeunes, etc.), le tout en grande partie dans le centre historique d’Angers. De même, sont organisés chaque année la descente de la Maine en nage libre (distances de 1 à 5 km), le triathlon d’Angers et chaque 11 novembre le cross du Courrier de l’Ouest (à Pignerolle, commune de Saint-Barthélemy-d’Anjou). Les Angevins disposent en 2015 de lieux de culte chrétien, bouddhique, israélite et musulman. La ville accueille le 6e régiment du génie et l’école du génie, tous deux depuis leur création en 1894. Angers est depuis longtemps une ville de garnison, en tant qu’ancienne place forte militaire. En 1873, est créé le 135e régiment d’infanterie (dissous en 1928) et en 1878 le 2e régiment d’artillerie-pontonniers. Celui-ci est remplacé dès 1894 par deux nouveaux régiments dont l’un, le 6e, s’installe à Angers. En 1946, il prend place au sein de la caserne Verneau. Par ailleurs, la cathédrale et le château d’Angers figurent sur l’insigne du 6e régiment du génie. En 1894, est également créée l’école du génie. Son rôle est d’apprendre aux recrues terrassements, maniement d’explosifs ou encore construction de ponts de bateaux. Angers est choisie notamment pour sa proximité avec les écoles de Coëtquidan, de Saumur (arme blindée) et Tours (train) ainsi que par la présence de deux « écoles » de ponts au débit différent, la Maine et la Loire. Elle possède également depuis 1974 une annexe en bord de Maine (caserne Berthezène). En 2010, l’École nationale supérieure des ingénieurs de l'infrastructure militaire (ENSIM) est créée. Elle est notamment chargée d’assurer la formation initiale des ingénieurs militaires de l’infrastructure de la Défense (IMI), ainsi que de l’ingénierie de formation continue des militaires et agents civils du service d'infrastructure de la Défense[réf. souhaitée]. En 2011, est créé sur la commune voisine de Montreuil-Juigné le pôle interarmées MUNEX dont le rôle est de neutraliser, enlever et détruire les engins explosifs. Il se trouve sous le commandement hiérarchique de l’école du génie. Le musée du génie à proximité de la caserne Éblé, qui accueille l’école, s’est ouvert le 14 juillet 2009.

Économie

La seconde moitié du XXe siècle voit les activités traditionnelles reculer (horticulture, extraction d’ardoise, distillerie et industrie textile) et de nouvelles entreprises s’installer : Thyssen en 1948, Thomson en 1957, Bull en 1961 puis Scania en 1991 et Nec en 1994. Cependant, la filière industrielle s’effondre en grande partie à partir des années 2000 : fermeture de l’usine Thomson-Technicolor en 2012, de l’usine Nec entre 2009 et 2013, plan social chez Thyssen en 2015, Bull ne compte plus que 230 salariés (contre 3 000 au cours des années 1970). Plus généralement, de 2002 à 2012, le secteur de la fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques dans l’agglomération a perdu 76 % de ses emplois. Angers se spécialise dorénavant d’une part dans la filière végétale et d’autre part dans l’électronique. L'importance de l'horticulture s’est ainsi renforcée jusqu'à faire d'Angers le premier pôle horticole d’Europe. En effet, le territoire compte dans ce domaine près de 30 000 emplois, 2 500 étudiants et 4 000 entreprises. La ville accueille en outre un pôle de compétitivité à vocation mondiale spécialisé dans le végétal – Végépolys – regroupant 450 chercheurs. Celui-ci s'appuie d'une part sur le haut niveau de formation et d'études supérieures dispensé à Angers et d'autre part sur la forte concentration de laboratoires de recherche. On y rencontre ainsi plusieurs écoles spécialisées (notamment l'École supérieure d'agriculture (ESA) et Agrocampus Ouest), des laboratoires du CNRS, l’INRA mais aussi la Station nationale d'essais de semences ou encore Plantes&Cité (le centre technique national sur les espaces verts et le paysage urbain). Le Campus du Végétal, à Belle-Beille, regroupe depuis 2015 d’une part la Maison de la Recherche et ses 250 ingénieurs et chercheurs de l'université d'Angers, d'Agrocampus Ouest, de l'INRA et de l'ESA et d’autre part la Maison du Végétal regroupant Végépolys et Plantes&Cité. Angers abrite le siège de l'Office communautaire des variétés végétales dont le rôle est de protéger les nouvelles variétés végétales au sein de l'Union européenne. Malgré la déliquescence de l’industrie électronique grand public angevine depuis les années 2000, la ville se spécialise également dans l’électronique de pointe. Outre la présence de l’usine Bull et de l'École supérieure d'électronique de l'Ouest (ESEO), la ville accueille depuis juin 2015 la « Cité de l'objet connecté ». Celle-ci propose sur son site de Saint-Sylvain-d'Anjou, au nord de la ville, des compétences en électronique, logiciel, plasturgie, mécanique, design, financement, etc. Cette société s’appuie sur un important réseau de PME spécialisées installées sur le territoire angevin. Ainsi, le 24 juin 2015, la ville s'est vu décerner le label French Tech dans le sillage de l’inauguration de la Cité de l’objet connecté.

Culture locale et patrimoine

Angers compte 2 892 lieux et monuments inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel et 100 monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques. La ville est par ailleurs labellisée Ville d’Art et d’Histoire. Les nombreux travaux d'urbanisme entrepris au XIXe siècle ont profondément transformé la ville et détruit de nombreux édifices anciens, médiévaux pour une part, comme le raconte en 1910 le chanoine Urseau : « Angers a bien changé d’aspect depuis cinquante ans. La ville a perdu une partie de sa grâce pittoresque. Ils ont disparu en effet presque tous ces logis en colombage, bariolés de vives couleurs, ces boutiques abritées par des auvents sculptés, ces vieilles maisons à oriels de pierre, à pignons pointus » — Charles-Théodore Urseau Le centre-ville voit se concentrer la majorité des monuments médiévaux et des hôtels particuliers, érigés de la Renaissance au XIXe siècle, même si le quartier de La Doutre en rive droite est riche en constructions médiévales. Le centre-ville comprend cependant une majorité d’édifices du XIXe siècle, notamment des immeubles de rapport, parfois de style haussmannien. L’architecture des faubourgs (urbanisés notamment au XIXe siècle) consiste principalement en maisons de ville à un étage sous combles. On trouve assez peu d’exemples de constructions présentant une architecture XXe siècle originale : l’architecture récente est le plus souvent celle de zones pavillonnaires ou d’ensembles collectifs, parfois en contradiction avec l’ensemble ancien. La commune compte plusieurs témoignages remarquables de l'architecture médiévale. Le palais épiscopal d’Angers ou Palais du Tau, attesté depuis le IXe siècle au chevet de la cathédrale, est un témoin de l’architecture romane. En appui du mur d’enceinte gallo-romain du IIIe siècle dont il conserve une tour, il est à rapprocher de l’archevêché de Reims dont il reprend le plan en tau. Les nombreuses modifications qui y ont été apportées en font un témoignage de huit siècles d’histoire architecturale. On y trouve en effet la salle synodale romane, la cheminée gothique de la bibliothèque, l’escalier d’honneur Renaissance ou encore un appartement d’honneur du XIXe siècle. L'hôpital Saint-Jean d'Angers est quant à lui un remarquable témoignage de l’architecture hospitalière. Situé dans La Doutre, sa construction remonte à 1180 environ. Il possède une salle des malades qui est un exemple majeur du gothique angevin. Bâti au point le plus resserré de la rivière, sur un promontoire de schiste, le château d'Angers voit sa construction débuter en 1232 sous l’impulsion de Blanche de Castille, concomitamment avec l’édification d’une enceinte fortifiée (actuels boulevards du centre-ville). La seule enceinte du château mesure 800 m de long, elle est composée de 17 tours d’une douzaine de mètres de diamètre et d’une trentaine de mètres de haut. La maison d'Adam est probablement la plus belle des maisons médiévales à pans de bois d’Angers. Bâtie après 1491, elle possède deux façades majestueuses de dix mètres chacune sur six niveaux. Situé à proximité de la cathédrale, ce chef-d’œuvre de charpenterie tire son nom des figures d’Adam et Ève qui y sont sculptées. L’ensemble de ses décorations en font la renommée, notamment ses personnages et animaux. De nombreuses autres maisons à pans de bois furent édifiées à Angers jusqu’à la fin du XVIe siècle. Cette architecture médiévale tardive, en pleine Renaissance, est assez surprenante par ailleurs. Architecture médiévale à Angers La Première Renaissance ne fait son apparition à Angers dans l’architecture urbaine qu’au milieu du XVIe siècle. La Seconde Renaissance française quant à elle offre de rares exemples d’architecture en bois, dans « un style maniériste au décor proliférant et aux figures anthropomorphes ». La maison de Simon Poisson dans la Doutre en est le plus bel exemple. Édifié à la fin du XVe siècle dans le quartier de la Doutre, l’hôtel des Pénitentes présente un ensemble architectural hétérogène, du gothique flamboyant de la fin du XVe siècle à la Première et à la Seconde Renaissance. Le logis Barrault est un exemple majeur de l’architecture des débuts de la Renaissance. Il s’agit de l’un des premiers hôtels « entre cour et jardin » remarquable par la magnificence de ses façades. Quant au logis Pincé, c'est un exemple très représentatif de la Première Renaissance. Il comprend deux corps de logis autour d'une tour d'escalier et possède de nombreuses similitudes avec le logis Barrault. L'aile droite est l'œuvre de l’architecte angevin Jean Delespine et comprend notamment une trompe d’angle conique. Architecture Renaissance à Angers L'architecture moderne se concentre principalement dans le centre-ville. Inauguré en 1871, le Grand théâtre, place du Ralliement, est l’édifice emblématique de la ville hausmannienne et des transformations du Second Empire et un exemple de l'éclectisme. La commune compte peu d'édifices à l'architecture contemporaine remarquable. Toutefois, l'architecture Art nouveau est représentée par l'Alcazar, un cabaret édifié en 1902. Sa façade de tuffeau possède un décor végétal et six bustes de femmes nues encadrant la porte d’entrée et la corniche ainsi que des arabesques. L'architecture Art déco est quant à elle mieux représentée. La Maison bleue en est un exemple majeur. Son originalité réside dans sa conception : un immeuble à gradins intégralement recouvert de mosaïques d'Isidore Odorico. Sobre et à dominante jaune au rez-de-chaussée, cette dernière monte en puissance et en bleu à mesure que s'élève l'immeuble. Autre témoignage d'importance de cette architecture, le bâtiment de la poste centrale possède une façade typique des années 1930 et de nombreux bas-reliefs. Ceux-ci sont consacrés aux nouveaux modes de transports et à ceux du passé ou aux monuments historiques d'Angers. Le bâtiment de la Compagnie française d'aviation est quant à lui un témoignage de l’architecture moderne à l'œuvre au cours des années 1930. La valeur artistique du bâtiment revient entre autres à Isidore Odorico qui conçoit notamment la mosaïque du hall d'entrée, ainsi qu'à René Guilleux qui réalise la statue du porche représentant un aviateur tenant une hélice d’avion. En 1956, Pierre Bourineau, architecte baulois, dessine la maison du 3, rue de la Pyramide dans un style balnéaire ; cet édifice du quartier Justices est versé à l’Inventaire général du patrimoine culturel en 2004,. Édifiés entre 1972 et 1975, les immeubles Kalouguine présentent une architecture unique faite de formes biomorphiques. Architecture moderne et contemporaine à Angers L'architecture religieuse à Angers est essentiellement médiévale. L'église abbatiale de l’ancienne abbaye du Ronceray est une œuvre majeure de l’art roman. Sa nef du XIe siècle, parfaitement conservée, et ses chapiteaux participent à l'intérêt de l’édifice : ils sont ornés de motifs végétaux, animaliers ou de scènes figuratives. Située dans la Cité, la cathédrale Saint-Maurice est érigée au début du XIe siècle et présente une architecture intermédiaire entre roman et gothique angevin. Sa large nef, couverte de trois grandes voûtes d’ogives bombées entreprises à l’initiative de l’évêque Normand de Doué (1149-1152), préfigure l’architecture gothique angevine. La façade, qui domine la montée Saint-Maurice et la Maine, est ornée d’un portail inspiré de celui de la cathédrale de Chartres. Elle possède également une importante collection de tapisseries exposée dans l'édifice de la Saint-Jean à la Saint-Maurice. L'église abbatiale de l'ancienne abbaye Saint-Serge est un témoignage majeur du gothique angevin, notamment son chœur. La tour Saint-Aubin est une ancienne tour-clocher isolée, un vestige de l'abbatiale de l'ancienne abbaye Saint-Aubin. L'église Notre-Dame-des-Victoires est une réalisation moderne. Édifiée à partir de 1899, elle est un rare exemple à Angers d'architecture romano-byzantine ; elle se caractérise en outre par sa luminosité et son esthétique intérieures. Architecture religieuse à Angers De nombreuses personnalités ont eu un attachement particulier à la ville d’Angers, notamment celles appartenant à la liste ci-après (classement par année de naissance) : Jean Bodin (1529-1596), jurisconsulte, économiste, philosophe et théoricien politique, est né à Angers. Pierre-Jean David d'Angers dit « David d'Angers » (1788-1856), sculpteur et graveur-médailleur, est né à Angers où se trouve exposée une part importante de ses œuvres. Maurice Sailland, dit Curnonsky (1872-1956), gastronome, humoriste et critique culinaire, est né à Angers. Hervé Bazin (1911-1996), écrivain et poète, est né et a grandi à Angers. Il a notamment décrit son enfance dans son roman Vipère au poing. Joseph Wresinski (1917-1988), fondateur du Mouvement des Droits de l'homme ATD Quart Monde est né et a grandi à Angers. Jeanne Moreau (1928-2017), actrice, chanteuse et réalisatrice, a été la marraine du festival Premiers Plans. Raymond Kopa (1931-2017), footballeur international et joueur du SCO Angers, il est revenu vivre à Angers après sa retraite sportive. Jean-Claude Brialy (1933-2007), acteur, réalisateur, scénariste et écrivain, a passé son enfance à Angers. Il a également été le directeur artistique du festival d'Anjou. Danièle Sallenave (1940-), écrivaine et membre de l'Académie française née à Angers. Roselyne Bachelot (1946-), femme politique et animatrice de télévision, a passé son enfance à Angers. Elle a également été députée de la première circonscription de Maine-et-Loire, située majoritairement sur la commune. Marc-Antoine Mathieu (1959-), dessinateur et scénariste de bande dessinée, a grandi et travaille à Angers. Pascal Rabaté (1961-), auteur de bande dessinée et réalisateur, a étudié la gravure à l'École des Beaux-Arts d'Angers où il réside. Anthony Lambert (1977-), humoriste, acteur, metteur en scène et animateur de télévision français né à Angers. Nicolas Mahut (1982-), joueur de tennis, est né à Angers. Jessica Houara-d'Hommeaux (1987-), ancienne joueuse de l'équipe de France féminine de football, consultante sportive à la télévision, est née à Angers. Sofiane Boufal (1993-), footballeur international et ancien joueur du SCO Angers, a grandi à Angers.

Voir aussi

: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Collectif, Angers, Paris, Hachette et Cie, coll. « Guides Joanne », [1886-1887], 120 p. (lire en ligne) Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, Angers, H. Siraudeau et Cie, 1965, 2e éd. (BNF 33141105, lire en ligne) René Rabault, Angers naguère, 1850-1938 : 147 photographies anciennes, Paris, Payot, coll. « Mémoire des villes », 1980, 207 p. André Sarazin, Évocation du vieil Angers, Cholet, Farré et fils, 1980, 197 p. Serge Chassagne, François Lebrun et Jacques Mallet, Histoire d’Angers, Toulouse, Privat, coll. « Univers de la France et des pays francophones », 1984, 344 p. Alain Jacobzone et Pierre David, Angers : intelligence d’une ville, Rennes, Ouest-France, 1994, 92 p. Roland Degouy, Angers, Rennes, Éditions Alan Sutton, 1995, 128 p. Claire Giraud-Labalte, Les Angevins et leurs monuments, 1800-1840 : l’invention du patrimoine, Angers, Société des études angevines, 1996, 361 p. Renaud Benoit-Cattin (dir.), Dominique Letellier et Olivier Biguet, Angers, Angers, Direction régionale des affaires culturelles des Pays de la Loire, coll. « Images du patrimoine », 1997, 127 p. (ISSN 0299-1020) Jacques Saillot, Histoire (et histoires) des rues d’Angers, Angers, Paquereau, 1998, 555 p. Jacques Maillard (dir.), Angers, XXe siècle, Angers, Le polygraphe, 2000, 320 p. Jean-François Bodin, Recherches historiques sur la ville d'Angers, Lorisse, coll. « Mvvf », 2004 (ISBN 978-2-84373-225-6) Christophe Belser et Serge Kiritzé-Topor, Angers : il y a 100 ans en cartes postales anciennes, Patrimoines & Médias, coll. « Il y a 100 ans », 2007 (ISBN 978-2-916757-07-0) Sylvain Bertoldi, Angers au cœur : chroniques d'une ville, Angers, Société des études angevines, 2007, 395 p. Bénédicte Fillion Braguet, Angers, ville douce et secrète, Geste éditions, 2009, 182 p. (ISBN 978-2-84561-603-5) Émile Gabory, Les Guerres de Vendée, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2009, 1504 p. (ISBN 978-2221113097). Jacques Hussenet (dir.), « Détruisez la Vendée ! » Regards croisés sur les victimes et destructions de la guerre de Vendée, La Roche-sur-Yon, Centre vendéen de recherches historiques, 2007, 634 p. (ISBN 978-2911253348). Jean-Clément Martin, La guerre de Vendée 1793-1800, Points, coll. « Points Histoire », 2014, 368 p. (ISBN 978-2757836569). Daniel Venjean, Catalogue raisonné des artistes angevins : Peinture, sculpture, Angers, Alien Rouge, 2009, 136 p. Jacques Sigot, Angers d’antan, HC éditions, coll. « La France d’antan », 2010 (ISBN 978-2-911207-76-1) Florence Macquarez, Angers, Éditions Déclics, coll. « Tranches de ville », 2011, 80 p. (ISBN 978-2-84768-280-9) Stéphanie Vitard-Gibiat (dir.), Angers : musées, architectures, paysages, Editions du Patrimoine Centre des monuments nationaux, coll. « Le Guide », 2013, 151 p. (ISBN 978-2-7577-0268-0) Liste des communes de Maine-et-Loire Angers Loire Métropole Maine-et-Loire Pays de la Loire Site officiel Ressources relatives à la géographie : Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative à la santé : Fichier national des établissements sanitaires et sociaux Ressource relative à plusieurs domaines : Annuaire du service public français Ressource relative aux beaux-arts : (en) Grove Art Online Ressource relative à la musique : MusicBrainz Ressource relative aux organisations : SIREN Site de l’office de tourisme d’Angers Loire Métropole